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10 février 2010 3 10 /02 /février /2010 15:00
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On peut se laisser aller à parler d'amateurisme, quand on analyse le déroulement du feuilleton des Régionales en Languedoc-Roussillon :
- la décison du PS de laisser Frêche, pourtant exclu du PS, conduire une liste, avec des socialites
- une consultation des militants
- le prétexte "pas catholique" ...
- une improvisation de liste PS, à un mois de l'élection
- puis des tentatives de rassemblement avec les écologistes


Les habitants de la règion trancheront, mais tout cela risque de leur apparaître bien peu crédible. Un fiasco à l'horizon, peut-etre ...

Qu'il y ait des enjeux nationaux derrière tout ça ne fait aucun doute !
Jusqu'à ce jour, les commentateurs politiques y allaient de leurs conclusions sur le leadership du PS :  Martine Aubry s'y affirmait ... sondages à l'appui.
Mais je cherche pour ma part la réalité de "la politique par la preuve" dont nous a parlé Ségolène ROYAL.
Elle ne fait pas qu'en parler : malgré les critiques, les sarcasmes, surtout dans sa propre famille politique, elle a développé une stratégie de rassemblement en POITOU-CHARENTES qui pourrait donner de bien meilleurs résultats, n'en déplaise aux ségophobes patentés.

PS et Verts partent séparément face à Frêche
en Languedoc-Roussillon
Source : LIBERATION.FR  -  le 10 février 2010


La maire de Montpellier, Hélène Mandroux, officiellement investie par le PS, et Jean-Louis Roumégas, tête de liste Europe Ecologie, ne sont pas parvenus à un accord.

Le PS et Europe Ecologie se sont séparés mercredi sans avoir trouvé d'accord pour une liste d'union au premier tour des élections régionales en Languedoc-Roussillon face à George Frêche (divers gauche).

La socialiste Hélène Mandroux et Jean-Louis  Roumégas, tête de liste écologiste, s'étaient retrouvés mercredi pour un second round de discussions après leur première rencontre mardi à Montpellier, mais ce second round a duré moins d'une demi-heure, d'après Roumégas, également porte-parole national des Verts.

«On avait abordé mardi la question du projet, des listes, du positionnement de la campagne et de la tête de liste», a rappelé Roumégas. "C'est pas compliqué: ils n'avaient pas de projet, ils n'avaient pas de liste, ils nous ont proposé trois ou quatre noms, et par contre ils revendiquaient la tête de liste pour Hélène Mandroux au niveau régional", a-t-il ajouté.

Hélène Mandroux et son entourage, qui présentent, dans un communiqué, la maire de Montpellier comme "la meilleure pour rassembler la gauche", regrettent "l’absence d’un accord": "Les discussions ont achoppé sur le nom de la tête de liste, alors même que la rencontre (de mardi) avait permis de définir une juste représentation, dans le respect de l’identité et du poids de chacun."

Selon un sondage publié mardi, face au président sortant de la région, Georges Frêche (divers gauche), lâché avec fracas par le PS, fin janvier, après son dérapage sur la "tronche pas très catholique" de Laurent Fabius, Mandroux et Roumégas recueillent respectivement 11% et 10% des intentions de vote au premier tour, en partant chacun de leur côté. Dans le cas d’un accord, ils étaient crédités de 20% des intentions de vote pour une liste conduite par Mandroux et de 17% avec une liste emmenée par Roumégas. Au second tour, Frêche gagnerait les élections.

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