"Triste spectacle public ... chacun devine que la fin arrive
On ne songe plus qu'à soi.
Chacun se fait, sans pitié pour le pays, une petite fortune particulière dans un coin de la grande infortune publique. On est courtisan, on est ministre, on se dépêche d'être heureux et puissant ...
Les ordres de l'État, les dignités, les places, l'argent, on prend tout, on veut tout, on pille tout.
On ne vit plus que par l'ambition et la cupidité."
Victor HUGO (Ruy Blas, préface)