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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 17:00

allergique-a-la-TV--et-a-Sarko.jpg

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 15:00

borloo-s-en-va-fache.jpg

REMANIEMENT - La tragédie Borloo

Source : LePoint.fr  -  le 14 novembre 2010

 

C'est par un communiqué qu'il a annoncé son refus. Celui de participer à un gouvernement où il ne devait occuper qu'"un" poste de ministre.

Jean-Louis Borloo, ministre d'État en charge de l'Écologie jusqu'à samedi, âgé de 59 ans, avait cru qu'il investirait Matignon à l'occasion de ce dernier remaniement. Mais Nicolas Sarkozy, qui n'a pas manqué ces dernières semaines de le flatter ("il est remarquable, dynamique, intelligent"), lui a préféré François Fillon. En pleine contestation de la réforme des retraites, sa fibre sociale n'aura pas suffi pour lui permettre d'atteindre le poste qu'il a déjà à deux reprises raté, en 2007 et 2006.

L'hypothèse Borloo à Matignon n'était pas qu'un rêve intouchable du chef de file du Parti radical, elle a été aussi explorée par l'Élysée. En quelques années, celui qui a été le dernier à rallier Sarkozy en 2007 a su séduire le président de la République. "Aux yeux de Nicolas Sarkozy, il fait partie de la classe "très intelligente", expliquait Jean-Pierre Raffarin. Sa façon d'être, de réfléchir, d'intervenir a déclenché de la curiosité chez le président." Mais voilà, le chef de l'État a préféré opter pour la continuité tandis que d'aucuns à l'UMP décrivaient à l'envi Borloo comme "ingérable et imprévisible".

Riposte

Ne pas participer au nouveau Fillon, c'est clairement un refus de plier et un refus teinté d'orgueil. Borloo ne digère guère la "cabale" lancée contre lui par les proches de Fillon. Certains d'entre eux ont critiqué son look et esquissé l'image d'un homme passablement aviné. Qualifié tour à tour de "zozo", "dilettante", "bordélique", "lève-tard" ou de "Gainsbourg", l'ex-maire de Valenciennes organise sa riposte. L'homme aux légendaires cravates et aux cheveux grisonnants réunira, lundi soir, les dirigeants de tous les courants du centre droit, du Parti radical à l'Alliance centriste en passant par le Nouveau Centre, pour examiner les leçons à tirer du remaniement.

Depuis quelques mois, Borloo a entrepris un travail de refondation de la famille centriste qui pourrait se traduire par le prochain lancement d'une "confédération". Certains centristes imaginent déjà une candidature de Jean-Louis Borloo à la présidentielle de 2012. Une stratégie qui pourrait justement contrarier celle de Nicolas Sarkozy qui entend, dès le premier tour, rassembler toute la droite.

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 13:00

 

Une chose semble se dessiner : les grandes manoeuvres au centre.

Cela dit, attendons un peu : un nonos par çi, un nonos par là, et les rancooeurs pourraient  s'adoucir, voire disparaître. A moins que la volonté de créer une véritable force de la famille centriste, indépendante,  soit la plus forte ... et sincère.

Wait and see comme on dit de l'autre côté de la Manche. 

 

REMANIEMENT - Hervé Morin s'en va et dénonce

une "équipe de campagne électorale UMP"

Source : LePoint.fr  -  le 14 novembre 2010

 

Le ministre sortant de la Défense Hervé Morin a confirmé dimanche qu'il ne ferait pas partie du prochain gouvernement français, dans lequel il a dénoncé une "équipe de campagne électorale UMP".

"Ma conviction est qu'il doit y avoir une voie centriste indépendante au moment des grands rendez-vous électoraux", a dit le président du Nouveau centre à la presse, à son ministère. "Le chef de l'État est en désaccord avec cette démarche et donc, pour ma part, je ne pouvais pas rester au gouvernement."

"J'attendais de la composition du gouvernement un geste de rassemblement", a-t-il ajouté avant même que la nouvelle équipe formée par le Premier ministre François Fillon ne soit annoncée.

"J'ai vu apparaître une équipe de campagne électorale UMP et je pourrais même dire (...) proche du RPR (ancêtre gaulliste de l'UMP). Je le regrette."

Hervé Morin a lancé un appel à tous les centristes pour qu'ils rejoignent son Nouveau centre. 

 

Morin claque la porte du gouvernement
envoyé par LePostfr

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 12:00

le-petit-theatre-de-l-Elysee.jpg

 

Ca y est, Sarko a suivi les conseils de certains UMP : faire enfin l'ouverture à droite (dixit Devedjan je crois). Les voilà entre eux, donc, il y a même le rescapé traître-étalon Eric Besson qui est resté dans la bande.

La pantomime de l'ouverture à "gauche" est enfin terminée. 

Je me souviens avoir lu, au moment de cette fameuse ouverture à "gauche" des flopées de louanges sur le grand intérêt à réunir toutes les compétences, toutes les bonnes volontés, dans l'intérêt de la France ... roulement de tambours, et son des trompettes !!!

Alors, que vont-ils nous raconter maintenant ? Sarko aurait renoncé - pas possible ? - à former une équipe gagnante avec les énergies de tous bords ... mince alors, je croyais qu'il s'était autoproclamé DRH exploitant au mieux les compétences du Parti Socialiste, je l'ai rêvé ??

 

Non non, j'en avais d"ailleurs fait un billet le 11 décembre 2009 :

"J'ai choisi d'être le DRH" du PS : Sarkozy ou la décadence d'un président

 

Faisant rire sa Cour, en se félicitant des bons tours qu'il a joués au PS grâce à l'ouverture, Sarko dans toute sa splendeur :

"Et vous savez au fond ce qui manque au Parti socialiste ? C'est d'un directeur des ressources humaines. Ils ont des talents, ils ne savent pas s'en servir. Franchement, donc, j'ai choisi d'être leur directeur des ressources humaines."  [rires]

"Je suis devenu leur directeur des ressources humaines. Savez vous que le problème des socialistes, c'est qu'ils ont des talents, mais ils ne les connaissent pas. Donc, Kouchner avec moi, Strauss-Kahn à New York avec un bon salaire. Jack Lang, pas loin de moi, en tout cas pas à La Rochelle. Et s'il faut continuer avec Claude Allègre, on continuera ! "

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 10:00

 

Plusieurs commentateurs relèvent que le "remaniement" récent lance (s'il en était besoin !) la campagne de Sarko pour 2012.

Certes, il est en campagne permanente. Mais quand on souligne qu'il vient de mettre sur les rails "un gouvernement UMP-RPR de campagne", ça veut dire ce que ça veut dire : il engage dès maintenant la phase de combat électoral, sur son nom.

 

On peut penser ce que l'on veut de la manoeuvre, mais j'ai l'impression qu'en face, à gauche, on ne soit pas particulièrement en ordre de bataille. Quand on pense que le PS se choisira (par des primaires, peut-être !) son candidat dans un an pratiquement, on peut se monter inquiet. C'est mon cas. 

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Au cours de l'interview sur Europe1 hier matin, Ségolène ROYAL a remis, à juste titre selon moi, la question de l'organisation des primaires à l'ordre du jour de l'opposition, avec les modalités pratiques indispensables : 

"Il faut que les socialistes accélèrent aujourd'hui la préparation de 2012, accélèrent leur projet ... sans doute aussi le calendrier ... rediscuter ensemble pour savoir si tout le monde est d'accord ..."


 

A propos de l'engagement de tous pour déloger Sarkozy en 2012, un bémol tout de même sur sa réponse concernant KOUCHNER, ancien ministre d’ouverture à gauche (paraît-il) : je ne peux imaginer que ce bouffeur à tous les rateliers, ce larbin de la Sarkozye puisse venir se refaire une santé politique en se rapprochant de ses anciens "amis".

Non, là vraiment ce serait à vomir !!!

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 09:00
 

Royal : "un gouvernement de fermeture"

Source : europe1.fr  -  le 15 novembre 2010

 

Ségolène Royal "n’attend rien" du nouveau gouvernement et lance un appel aux centristes.

Sans surprise, le remaniement opéré dimanche par Nicolas Sarkozy s’est attiré les foudres de l’opposition. Ségolène Royal s’est ajoutée lundi sur Europe 1 au concert de critiques venues de la gauche. 

envoyé par Europe1fr

 

"La fonction présidentielle humiliée"

"C’est un gouvernement de fermeture, qui ne tient pas compte de ce qu’ont dit les Français et dont on n’attend rien", a déploré la président socialiste de Poitou-Charentes. "Il y a un contraste entre gravité de la situation économique et sociale de notre pays et le manque de sérieux et de hauteur de vue."

Pour la candidate socialiste à l’élection présidentielle de 2007, ce remaniement est celui de l’affaiblissement de Nicolas Sarkozy. "Il n’a pas choisi son Premier ministre, imposé par sa majorité parlementaire. Il n’a même pas choisi le moment du remaniement, puisqu’il a dû revenir précipitamment du G20, humiliant ainsi la fonction présidentielle", a-t-elle énuméré. "Il fallait changer les hommes et la politique. Or, François Fillon est reconduit sur la même ligne. Il n’a rien fait de particulier. Il profite simplement de l’usure de Nicolas Sarkozy."

"Tendre la main aux centristes"

Ségolène Royal s’est également tourné vers les centristes, grands déçus du remaniement, en rappelant sa volonté d’ouverture au centre. "Je l’ai toujours dit, et je l’ai démontré dans région que je préside, puisque dès le premier tour, j’ai fait un accord avec les centristes", a-t-elle rappelé. "Il faut que la gauche tende la main aux centristes, en leur demandant de prendre leur autonomie. Ils ont été très maltraités".

Et quid des anciens ministres d’ouverture, comme Bernard Kouchner ? "Tous ceux qui voudront en finir avec le sarkozysme, c'est-à-dire ce pouvoir brutal qui dégrade notre pays. Tous ceux-là seront bienvenus", a clairement répondu Ségolène Royal. "Et ce sera d’autant plus facile si les socialistes défendent farouchement leur unité et s’ils sont capables, et ils le sont, ils le seront, de proposer une alternative enthousiasmante et crédible.

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 15:00

deux-clowns-sur-le-perron-de-l-Elysee.jpg

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 14:00

remaniement---les-affiches-sont-pretes.jpg 

Un gouvernement UMP-RPR,

un remaniement de campagne

Source : marianne2.fr  -  le 14.11.2010 

Après six mois de tergiversations, l'Elysée a finalement publié la liste des 31 ministres et secrétaires d'Etat du gouvernement Fillon 4. L'annonce a été parasitée par des dissidences ouvertes d'Hervé Morin et de Jean-Louis Borloo. Vraiment, un magnifique succès pour le Président...

Le remaniement auquel vient de procéder le président de la République après six mois de tergiversations sera sans doute l'un des épisodes les plus lamentables du sarkozysme. Il ne reste plus rien des oripeaux de ce que fut la nouvelle donne de 2007 : ouverture à des transfuges de la gauche, alliance avec le Centre, ouverture à la diversité.


Sur tous ces points, le sarkozysme comme méthode de gouvernement s'avère un fiasco total. Avant même l'annonce du nouveau gouvernement sur le perron de l'Elysée, Hervé Morin a donné l'impression de prendre le maquis par une déclaration tonitruante dans laquelle il avouait sa déception devant un gouvernement qui s'annonçait comme une équipe de campagne plus RPR qu'UMP... Avant d'annoncer son intention d'aller à la rencontre des Français. On sentait que ce n'était pas pour dire du bien de Sarkozy.... 

Auparavant, l'autre ténor de l'univers centriste, Jean-Louis Borloo, a mis en scène avec application la guérilla qu'il a menée, toute la journée, contre un Président qui tenait absolument à le garder. En demandant Bercy, où l'on aime les gens bien coiffés et en costume rayé pour ne pas effrayer « Monsieur Marché », il devait bien se douter qu'il mettait la barre trop haut. Manifestement, à la différence de ce qui se passait voici quelques années, quitter le gouvernement n'est pas forcément une mauvaise affaire pour qui tient à sa carrière politique. Résultat : Nicolas Sarkozy avait déjà deux candidats centristes pour 2012 (Villepin et Bayrou), il risque à présent d'en avoir un troisième. Et il n'est pas certain cette fois-ci que Michel Mercier et Maurice Leroy, deux ministres promus du Nouveau Centre, sacrifieront leur courant au gouvernement. Bref, la hache de guerre risque fort d'être déterrée entre les deux familles de la droite française.

Quant à l'ouverture, ses représentants les plus capés n'ont guère tenu leurs promesses. Bernard Kouchner n'aura été qu'un collaborateur de second rang pour le Président. Fadela Amara a été d'une discrétion exemplaire. Ce soir, elle dénonce le sectarisme de la politique menée. Jean-Marie Bockel a été docile jusqu'au bout, mais ça ne lui a servi à rien.
Côté diversité, la bérézina a été totale. Rama Yade et Rachida Dati sont devenues des personnalités importantes dès lors qu'elles se sont opposées au Président. 
On souhaite bien du plaisir à Nora Borra et à Jeanette Bougrab.
Autre trait qui montre l'affaiblissement élyséen, le Président a dû négocier avec un François Fillon impérial la composition du gouvernement. Certains ministres ont été écartés à la demande du Premier ministre. Et la composition du gouvernement montre que les anciens RPR, chiraquiens ou villepinistes, tous plus ou moins proches du Premier ministre, sont représentés en force dans le gouvernement. Outre Alain Juppé, François Baroin, Mam, Bruno Lemaire, Patrick Ollier, Mme Marie-Anne Montchamp.  Sarkozy-Fillon, ce n'est pas encore la cohabitation, mais c'est déjà une coexistence entre deux ténors et non plus un roitelet qui convoque son collaborateur.

Enfin, ce gouvernement, on le comprend immédiatement, est censé constituer une équipe de campagne pour 2012. Celle-ci illustre, hélas, une donnée politique essentielle du sarkozysme et de son Président : Nicolas Sarkozy est le meilleur candidat que la France ait jamais connu, mais il postule aussi au rang de président le plus calamiteux de toute son histoire. Le drame est que si l'on peut souhaiter l'inverse, un piètre candidat a toujours beaucoup de mal à se faire élire...

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 11:00

 

J'ai changé ... voyez comme j'ai changé en deux ans, hein ?

"Je le dis, je le redis, je ne sais pas comment il faut le dire ..." : je vous prends vraiment pour des cons !

Le montage vidéo trouvé sur LePost est édifiant.

Après cela, moi qui commence à faire partie des "vieux", je comprends mieux la signification profonde de ce mot utilisé par les jeunes : "bouffon" !!!

 

Françaises, Français, vive BORDEAUX, vive LA FRANCE !!!

Pom-pom-pom-pom ... pom-pom-pom-pom ! 

 

Juppé: "Je n'irai pas au gouvernement" (2008)
envoyé par LePostfr

 

En 2008 Alain Juppé répète qu'il ne rejoindra pas le gouvernement. Il affirme tirer ainsi les leçons de sa défaite aux élections législatives. Le candidat à la mairie de Bordeaux promet de se consacrer à plein temps à sa fonction de maire.


"Je ne vais pas changé d'avis" déclarait-il au micro de RMC après sa victoire.


En 2009 il se convertit même au non-cumul des mandats.

Promesse non tenue : 2 ans après sa réélection comme maire de Bordeaux, Alain Juppé n'a pu résister aux sirènes sarkozystes ... dans l'intérêt des Français, évidemment !!!

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15 novembre 2010 1 15 /11 /novembre /2010 10:00

juppé, le bon profil pour être ministre

Communiqué de presse de Michèle DELAUNAY  -  le 15.11. 2010

Alain Juppé : Ministre de la Défense et des "anciens combattants" 

 

"Après beaucoup d’efforts et d’offres de service répétées, Alain Juppé retourne là où il a passé la majorité de sa carrière politique et d’où il ne supporte pas d’être éloigné : à Paris et dans la proximité du pouvoir.

C’est pour les Bordelais qui ont cru à ses engagements de 2008 de ne plus jamais briguer un autre mandat que celui de Maire une interrogation, mais bien davantage une inquiétude après l’annonce qu’il continuera d’occuper sa fonction de premier magistrat. Ils gardent en effet un médiocre souvenir du triumvirat mis en place dans son dernier mandat par Jacques Chaban Delmas.

Plus récemment et contrairement à ce qu’il cherche à faire croire, il a fallu attendre la dissolution et la venue enfin à plein temps d’Alain Juppé à Bordeaux en juin 1997 pour voir la machine municipale tourner à plein régime.

Le plus grave pourtant est ailleurs.

Alors que tant de Français peinent à trouver un emploi et assistent impuissants à l’érosion continue de leur pouvoir d’achat, le seul sauveur, la surprise d’un remaniement qui tourne à la farce, est justement celui qui détient le triste record de la rigueur, de la paralysie du pays et des plus grosses manifestations de revendication sociale, Alain Juppé.


Un homme sans parole, un bilan de premier ministre calamiteux, voilà l’homme providentiel d’un pouvoir de droite qui n’en finit pas de sombrer.

La précipitation d’Alain Juppé à rejoindre aujourd'hui ce gouvernement évoque celle de Kouchner ou de Lang l’année passée : la conscience d’avoir un destin national lui impose de ne pas tenir le bateau trop loin du gué."

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