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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 09:00

retraites---les-senateurs-mis-au-pas.jpg

Woerth : la réforme des retraites sera votée"

dans les heures qui viennent"

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 22 octobre 2010

 

Après trois semaines de débats et dans un climat de forte contestation, les sénateurs devraient voter ce vendredi la réforme des retraites après le recours du gouvernement au "vote bloqué".

Le ministre du Travail Eric Woerth a déclaré sur France 2 ce vendredi 22 octobre que la réforme serait votée "dans les heures qui viennent".

Les deux assemblées se mettront ensuite d'accord sur un texte définitif et "le vote final aura lieu à la fois à l'Assemblée et au Sénat la semaine prochaine", a-t-il ajouté, "entre mardi, mercredi et jeudi".

La réforme devrait être définitivement adoptée par le Parlement selon la procédure, sept sénateurs et sept députés doivent d'abord s'entendre en début de semaine sur une version commune en commission mixte paritaire (CMP).

Le gouvernement a eu recours jeudi à la procédure dite du "vote bloqué" pour accélérer l'examen des quelque 250 derniers amendements.

"Le débat ne doit pas durer pour durer", a estimé le ministre du Travail, Eric Woerth. Le secrétaire général de l'Elysée, Claude Guéant, avait aussi pressé le Sénat de voter et de ne pas se "perdre en manoeuvres dilatoires". 

"Ultime provocation"

Cette décision a été dénoncée de l'extrême gauche jusqu'à François Bayrou (MoDem) et passant par Martine Aubry. La première secrétaire du PS a dénoncé "le coup de force permanent de Nicolas Sarkozy".

"Cette ultime provocation n'arrêtera pas la volonté populaire et ne peut qu'amplifier la mobilisation", a dénoncé le secrétaire national du Parti communiste français (PCF) Pierre Laurent.

Les syndicats ont appelé à deux nouvelles journées de mobilisation, jeudi 28 octobre et samedi 6 novembre, malgré l'accélération du vote au Sénat. Les lycéens de l'UNL et de la Fidl et les étudiants de l'Unef ont relayé cet appel.

Jeudi, lycéens et étudiants, ils ont manifesté partout en France et près d'un quart des stations-service étaient en attente d'approvisionnement et la situation restait difficile, notamment en région parisienne, malgré le déblocage de dépôts.

A la veille des vacances de Toussaint, le gouvernement promet un retour "progressif" à la normale sans s'avancer sur une date.

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 19:00

l-inflexible-et-le-roseau---fable.jpg

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 18:00

manif Retraites à Paris - 23 sept 2010 

Les syndicats, à l'exception de FO et Solidaires, appellent à deux nouvelles journées d'action : le jeudi 28 octobre et le samedi 6 novembre. Avec nouvelle intersyndicale prévue le 4 novembre.

"Fortes du soutien des salariés, des jeunes et d'une majorité de la population et face à une attitude intransigeante du gouvernement et du chef de l'Etat, les organisations syndicales décident de continuer et d'élargir la mobilisation", indique le texte, signé par six organisations (CFDT, CGT, CFTC, CFE-CGC, Unsa et FSU).

Les centrales syndicales appelle "solennellement le gouvernement et les parlementaires à ne pas adopter cette réforme en l'état".

 

Nouvelles journées de mobilisation le 28 octobre et le 6 novembre

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 21 octobre 2010

 

L'intersyndicale, qui s'est réunie ce jeudi au siège de la CFDT, appelle donc non pas à une mais à deux journées de mobilisation.

L'intersyndicale, qui s'est réunie jeudi 21 octobre au siège de la CFDT, appelle les Français à deux nouvelles journées de mobilisation contre les retraites, le jeudi 28 octobre et le samedi 6 novembre, a annoncé une source syndicale, confirmant une information du Figaro.

 

Le jeudi 28 octobre correspond au moment où la commission mixte paritaire députés-sénateurs, qui doit harmoniser les points de divergence des textes votés par les deux assemblées, se réunira. Les syndicats appellent ce jour-là à des grèves et des manifestations.

Ils appellent en outre à une journée de manifestation le samedi 6 novembre, soit juste avant la promulgation de la loi.

Selon Le Figaro, l'intersyndicale devait publier jeudi soir une déclaration plus solennelle que les précédentes à l'égard du gouvernement.

C'est donc sans surprise que les syndicats décident de maintenir, malgré le handicap des vacances de la Toussaint, la dynamique du mouvement après les défilés massifs de mardi (de 1,1 à 3,5 millions de manifestants).

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 10:00

logo 8 syndicats

 

Les syndicats s’orientent vers un nouveau tour de manifs

Source : LIBERATION.FR  -  le 21 octobre 2010

 

Encouragées par une base très motivée, les confédérations restent unies.

Le mouvement d’opposition à la réforme des retraites joue les prolongations. Réunies cet après-midi au siège de la CFDT, les organisations de salariés devraient décider d’une nouvelle journée nationale d’action, peut-être mardi ou mercredi prochain, dates probables du vote définitif de l’Assemblée et du Sénat sur le projet de loi. Avec le risque d’une moindre participation dans les cortèges, les vacances débutant vendredi soir.

Revirement. Cette décision, qui peut paraître naturelle, constitue en réalité un quasi-revirement des syndicats par rapport à ce week-end, où la tendance était plutôt à vouloir lever le pied. Preuve en est : aucun point presse n’était initialement prévu à l’issue de l’intersyndicale d’aujourd’hui, avant que la CFDT, où se tient la réunion, ne change d’avis lundi. Deux événements ont depuis relancé la machine à manifs, que certains responsables confédéraux auraient pourtant préféré voir ralentir. Le premier est le succès de la journée de mardi, qui a surpris plus d’un syndicaliste. «Après une telle mobilisation, impossible de ne pas appeler à une nouvelle action», confiait ainsi un dirigeant réformiste dans le cortège parisien. Le second : l’étirement du débat au Sénat. D’abord programmé pour mercredi, le vote de la Haute Assemblée sur le texte devait marquer, pour la CFDT, l’entrée «dans un nouveau contexte». Traduction : on ne s’oppose pas à une loi adoptée par les représentants du peuple de la même manière que lors du débat parlementaire. Plus forcément, en tout cas, par de grandes journées de manifestations. Sauf que les sénateurs traînent. Le vote, désormais programmé pour ce soir, pourrait même être repoussé à demain, voire à ce week-end. Et l’adoption définitive du texte, issu de la commission mixte paritaire, pourrait n’intervenir qu’en milieu de semaine prochaine. Bref, autant de nouvelles occasions de défiler avant que la loi ne soit adoptée.

Le mystère sur une nouvelle date de mobilisation a d’ailleurs été levé dès hier par la CGT, qui réunissait ses unions professionnelles et départementales. Dans un communiqué publié à la suite de la réunion, elle a appelé à «l’organisation de nouvelles mobilisations comportant grèves et manifestations interprofessionnelles, unitaires, le plus rapidement possible». Ce qui, en langage non-cégétiste, confirme la piste d’une nouvelle date de manifs en début de semaine prochaine. «La mobilisation s’amplifie, on ne peut pas s’arrêter là», confirmait hier soir un dirigeant du syndicat. La CFDT, qui réunissait elle aussi son «parlement», devrait approuver, d’autant que la base «est très motivée», selon une source interne. La direction confédérale l’a de toute façon répété plusieurs fois : pas question d’arrêter sans la CGT.

L’autre syndicat réformiste, l’Unsa, qui se serait bien contenté de rassemblements symboliques le jour du vote de la loi, devrait également suivre. Tout en mettant en garde contre le risque d’un essoufflement des cortèges en cette période de congés. «Il ne faudra pas donner l’image d’un mouvement qui s’arrête faute de combattants», prévient son secrétaire général adjoint, Jean Grosset. Quant aux plus radicaux, la priorité est de donner des perspectives aux militants qui entretiennent, depuis le 12 octobre, l’agitation sociale au quotidien. «On ne peut pas laisser le mouvement sans nouveau rendez-vous, soutient Annick Coupé, responsable de Solidaires (syndicats SUD). Impossible d’attendre la fin des vacances, soit dix jours, sans nouvelle journée nationale.» Même chose à la FSU, où l’on est aussi pour «une journée d’action au plus vite», selon sa dirigeante, Bernadette Groison.

"Radicalisation". Reste le cas de la CGC (syndicat de cadres) qui avait d’ores et déjà annoncé que la journée du 19 serait sa dernière. «On va en débattre en interne, modère son président, Bernard Van Craeynest, qui n’est plus du tout sûr de vouloir quitter le train de l’intersyndicale. Mais l’évolution du mouvement, par sa radicalisation, risque de nous couper du soutien de l’opinion.» Organisée pendant les vacances, cette septième journée permettra surtout de tester la capacité du mouvement à survivre aux congés. Et si oui, tout sera alors ouvert… 

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 07:00

 

Jean-louis BIANCO était à LILLE le 13 octobre 2010, venu dédicacer son livre '"Si j'étais Président ..." et répondre à quelques questions.

Il a notamment abordé le sujet des primaires pour 2012, ses inquiétudes et ses espérance sur le déroulement des opérations prévues au PS :

 

Jean-Louis Bianco - les primaires pour 2012
envoyé par daniel-c

 

Un groupe de militants Désirs d'Avenir de la région lilloise, de Dunkerque et du Pas-de-Calais, était présent à la librairie "Le Furet du Nord". Puis nous avons profité de sa présence toute la soirée pour échanger avec lui, dans un moment convivial que nous avons tous apprécié (à suivre ...)

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20 octobre 2010 3 20 /10 /octobre /2010 12:00

 

On l'a toujours su qu'il avait un p'tit vélo !!!  :

 

penurie-de-carburant---sarko-en-velo.jpg

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20 octobre 2010 3 20 /10 /octobre /2010 10:00

avec-Dominique-Bertinotti.jpg 

 

 "Les jeunes ont leur mot à dire !"

par Dominique Bertinotti, Maire du 4ème arrondissement

 

Prétendre que la réforme des retraites ne concerne pas les jeunes est une aberration.

Passons rapidement sur l’argument de leur « immaturité politique », brandi par une majorité qui s’obstine au même moment à abaisser à 16 ans la responsabilité pénale ! Les jeunes auraient leur place dans les prétoires, dans les prisons, dans les mêmes conditions et sous les mêmes rigueurs que leurs aînés, mais n’auraient pas le droit d’entrer dans l’arène politique, voilà une étrange conception de l’équilibre des droits et des devoirs de la citoyenneté.

Laissons aussi de côté l’absurde « cela ne les concerne pas ». De deux choses l’une : soit cette réforme prétend résoudre durablement l’équation financière des retraites, et dans ce cas, elle intéresse au premier chef ceux qui entament aujourd’hui leur vie active ; soit elle n’y parvient pas et, alors, les jeunes sont les premiers à devoir nous réclamer des comptes, au nom d’un avenir que nous sommes incapables de leur garantir.

Oui, les jeunes ont leur mot à dire. Pour la simple raison qu’ils sont les premières victimes de cette réforme.

Je pense d’abord aux jeunes travailleurs, ceux qui paieront la réforme en travaillant plus longtemps, et plus durs, pour tous les autres.                                               

70 000 jeunes de 17 ans, soit 10% de cette classe d’âge, ne sont dans aucune formation ni contrat aidé. A 18 ans, ils ne sont pas moins de 180 000, soit 22%, à avoir définitivement quitté le système éducatif.

lyceens---nous-sommes-la-parce-que-nous-le-voulons.jpgCes jeunes sont précipités dans le marché de l’emploi. Les plus chanceux d’entre eux, qui parviennent à trouver un emploi, sont précisément ceux qui devront attendre 62 ans avant de jouir d’une retraite méritée, alors même qu’ils auront bouclé leurs 41 annuités bien avant cet âge.

A cela s’ajoutent les 400 000 apprentis, qui, eux aussi, commencent à travailler bien avant les autres. 

Inutile de préciser que les métiers auxquels les destine leur fragile formation, quand ils en ont une (16% des jeunes de 20 à 24 ans n’ont aucun diplôme, ni le bac, ni le BEP, ni le CAP…), sont rarement les moins pénibles !

Où est la justice d’une réforme qui fait travailler plus dur, et plus longtemps, les « oubliés » de notre Education Nationale ?

Mais la réforme ne se contente pas de s’acharner sur les plus fragiles. Les retraites de tous les jeunes seront profondément amputées.

Bien sûr, là encore, les moins qualifiés paieront le plus lourd tribut. Comment constituer une carrière complète, et s’offrir une retraite décente, lorsque le chômage des 15-24 ans dépasse désormais les 25%, à partir d’un socle hors temps de crise solidement arrimé au 20%... Sans compter tous ceux qui, découragés, ont abandonné la recherche d’emploi, le taux d’activité des jeunes en France, à 32%, étant l’un des plus faibles d’Europe (moyenne de 37%, avec 45% en Allemagne, ou 67% au Danemark et aux Pays-Bas).

Dans cette population, les jeunes sortis tôt du système éducatif subissent la plus violente discrimination : 49% des jeunes sans diplôme sortis depuis moins de 4 ans du système éducatif sont au chômage ; ils sont encore 27% dans les dix ans qui suivent leur « entrée » sur le marché du travail.

Mais cette insertion difficile dans le marché de l’emploi concerne tous les jeunes, la variable d’ajustement des à-coups du marché du travail. Ainsi, le chômage des diplômés de l’enseignement supérieur dans l’année qui suit la fin de leur formation a subi en 2009 une hausse de 18%.

A l’autre bout de la chaîne, les 40% de jeunes qui bénéficient d’une formation tertiaire rentrent de plus en plus tard dans l’emploi, soumis à la course aux diplômes dans laquelle se joue leur carrière tout entière. Eux subiront de plein fouet le passage à 67 ans de la retraite sans décote, qui deviendra leur vrai âge de départ à la retraite s’ils ne veulent pas réduire de plus d’un quart leurs futures retraites. 

Et pour quelle retraite ? Car il faudra enfin aborder lucidement la question de la justice de la répartition des rémunérations selon les générations. Chacun peut aujourd’hui faire l’expérience d’une très nette différence non seulement dans le salaire d’embauche, mais dans les perspectives d’augmentation au fil de la vie entre les générations entrées dans l’emploi au début des années 70 et celles d’aujourd’hui. Or, la réforme ne demande rien à ceux qui jouissent aujourd’hui d’une retraite garantie et consolidée, quand elle demande tout à ceux qui ne croient même plus aujourd’hui à la promesse d’une retraite méritée.

Tous ces enjeux sont liés. N’oublions pas ainsi que la retraite devient de plus en plus le « seul patrimoine de ceux qui n’en ont pas ».

Au fond, la réforme des retraites cristallise des malaises plus profonds et pousse plus que jamais une question tout en haut de l’agenda politique : quelle place notre société fait-elle à ses enfants ? Et comment oser en débattre sans écouter les principaux concernés ? Les jeunes ont raison de s’exprimer, pacifiquement et solidairement. Car c’est leur avenir qui se joue aujourd’hui.

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20 octobre 2010 3 20 /10 /octobre /2010 09:00

 

sarko-arretera-t-il-de-debloquer.jpg

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20 octobre 2010 3 20 /10 /octobre /2010 08:00

envoyé par daniel-c

 

Un cortège suivi hier et des manifestants déterminés

"à amplifier le mouvement" dans les jours à venir

Source : lavoixdunord.fr  -  le 20 octobre 2010

 

Bataille de chiffres, une nouvelle fois dans les rues de Dunkerque... 

Selon notre propre comptage, effectué par deux journalistes de la rédaction au niveau de la place de la République, 3 600 manifestants ont défilé dans les rues, hier. À l'issue de la manifestation, une source policière évoquait le chiffre de 5 000 personnes. Au mégaphone, quelques minutes plus tôt, la CGT annonçait « pas loin de 13 000 ».

Dès 15 h, la foule compacte est partie de la place Jean-Bart après une prise de parole musclée des représentants des syndicats.

"Nous sommes des millions dans les rues depuis des semaines, à défiler pacifiquement et on ne nous écoute pas. On va donc taper plus fort, clame Christelle Veignie, secrétaire de l'union locale. Ils veulent nous intimider ? - elle fait référence aux convocations de manifestants pour délit d'entrave à la circulation - ça ne marche pas, ça nous renforce !".

Dans le cortège, la détermination prend le pas sur la lassitude : « J'étais présente à toutes les manifs depuis septembre, glisse Marjolène, 29 ans, qui travaille dans le social. Et je serai aux suivantes. L'attitude de Sarkozy et de son gouvernement est tout bonnement insupportable, ils nous méprisent... Ils ne veulent pas voir la rue qui enfle et qui ne se laissera pas faire. On ne lâchera pas . » Crachés des baffles de la camionnette CGT, les refrains s'enchaînent. Les airs de carnaval ont la cote : « Riches, riches riches, riches », est repris sur l'air de Wiche, Wiche... « À Dunkerque, quand vient la lutte sociale... », remplace aussi une chanson bien connue.

Pour Jacques, retraité de la sidérurgie, le recul de l'âge légal à la retraite est « l'affaire de tous. J'ai une fille de 32 ans, salariée. Je m'inquiète vraiment pour elle avec cette réforme. Elle a commencé à travailler très jeune. Elle devra contribuer plus que les autres pour financer ce système. Et mes petits-enfants ? C'est pour eux aussi que je manifeste aujourd'hui ». 

'Révolte sociale"

Venus pour la première fois manifester depuis début septembre, Alexandre et Marc, 22 et 24 ans, respectivement vendeur et magasinier en intérim, ont estimé que cette fois, leur place était au milieu des manifestants. « On n'a pas eu l'opportunité de le faire lors des précédents rassemblements, alors on a profité d'un jour de repos pour venir », raconte Alexandre. Marc, lui, a « l'impression qu'on s'achemine vers des actions plus dures. La volonté des gens n'a pas l'air de faiblir. Je me dis que quelque chose est en train de se jouer. Une révolte sociale, ce n'est pas rien. Et ce pourquoi on se bat est légitime. Je regretterais de ne pas y avoir pris part d'une manière ou d'une autre . » Pour les représentants syndicaux, qui ont brûlé quelques pneus dans le calme en guise de feu de joie sur la place Jean-Bart à l'issue du cortège, « on va vers une amplification de la lutte »

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19 octobre 2010 2 19 /10 /octobre /2010 17:00

 

Mars 2009, une vidéo montrant Sarko dans ses oeuvres, tenant des propos indignes d'un Président de la République.

Il est vraiment très fort, capable de tout, surtout du pire.

Le mépris qu'il affichait alors, on le retrouve aujourd'hui, le même face à la mobilisation sociale sur sa réforme des retraites.

 

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