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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 12:00

les questions que pujadas devra poser   

Sarkozy s'adresse ce soir aux Français

pour tenter de déminer l'affaire

Woerth / Bettencourt

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 12 juillet 2010 

 

Le chef de l'Etat ne manquera pas de s'appuyer sur le rapport de l'Inspection générale des Finances, rendu public dimanche, qui affirme qu'Eric Woerth, "n'est pas intervenu" dans le dossier fiscal de Liliane Bettencourt.

Nicolas Sarkozy va s'exprimer pendant une heure sur France 2, lundi soir 12 juillet. Objectif : tenter de relativiser l'affaire Bettencourt/Woerth pour se recentrer sur d'autres sujets, à commencer par la réforme des retraites qui sera présentée mardi en Conseil des ministres.
Le président ne manquera pas de s'appuyer sur le rapport de l'Inspection générale des Finances, qui affirme que son ministre du Travail, Eric Woerth, "n'est pas intervenu" dans le dossier fiscal de la milliardaire Liliane Bettencourt quand il était au Budget (2007-mars 2010). Attendu lundi, le rapport a finalement été rendu public dès dimanche soir sur le site du ministère du Budget.
Dès sa publication, le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre s'est d'ailleurs empressé, dans un communiqué, d'en conclure que ce rapport mettait "un terme à la suspicion volontairement entretenue à l'encontre d'Eric Woerth et à des semaines de malveillance". Une déclaration qui préfigure probablement celle du chef de l'Etat ce soir. 

"Tous les sujets seront abordés"

Sur la forme, Nicolas Sarkozy va s'exprimer face à un seul intervieweur, David Pujadas, alors que sa cote de confiance est au plus bas depuis son élection (30% de satisfaits, selon une enquête Opinion Way pour Metro).

A l'Elysée, on affirmait, dimanche, que "tous les sujets seraient abordés" y compris l'affaire Bettencourt.
Nicolas Sarkozy devrait répéter sa confiance à son ministre du Travail qui présentera dès mardi en Conseil des ministres la réforme des retraites, avant de la défendre en commission à l'Assemblée nationale la semaine suivante.
"Eric est l'honnêteté faite homme", avait-il dit le 30 juin devant des députés UMP à l'Elysée. Pas question de le limoger car "ça voudra dire qu'il y a donc quelque chose" à lui reprocher.
Nicolas Sarkozy devrait répéter qu'il n'y aura pas de remaniement avant le mois d'octobre, n'ayant pas l'intention de "se laisser dicter son calendrier". 

La parole du chef de l'Etat "s'est beaucoup usée"

Le député UMP Claude Goasguen a estimé dimanche à Maussane (Bouches-du-Rhône) que "les Français avaient besoin d'être rassurés", en conseillant au président Nicolas Sarkozy de ne "pas lancer des attaques" lors de son intervention télévisée lundi.
L'opposition ne semble rien attendre de cette intervention : la parole du chef de l'Etat "s'est beaucoup usée", a estimé le président PS de la Commission des Finances de l'Assemblée, Jérôme Cahuzac.

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 10:00

rien d'illégal a dit le procureur à sarko

"Une affaire d’État que l’UMP veut enterrer"

par Jean-Louis BIANCO  -  le 9 juillet 2010

 

Comme je le demande depuis maintenant plusieurs semaines, il faut dans l’affaire Bettencourt à la fois une commission d’enquête parlementaire et une instruction judiciaire parfaitement indépendante.

Le procureur qui est chargé d’une enquête préliminaire dans cette affaire n’est autre que Philippe Courroye. Ce dernier a été nommé à son poste en 2007 contre l’avis du Conseil supérieur de la Magistrature et est un ami du chef de l’État, pourtant cité dans ce dossier. Mardi dernier, il a ouvert une enquête préliminaire à l’encontre de son principal témoin, Claire Thibout, ancienne comptable de Liliane Bettencourt qui a mis en cause le Parti Républicain, l’UMP, Éric Wœrth et Nicolas Sarkozy. Le nom de Philippe Courroye est lui-même mentionné à plusieurs reprises dans les enregistrements réalisés par le majordome de Liliane Bettencourt et à l’origine de l’affaire. L’Union syndicale des magistrats lui a demandé publiquement mercredi de se dessaisir au profit d’un juge d’instruction indépendant. Hier, l’Association française des magistrats instructeurs a pris la même position, en estimant qu’il n’était pas possible à Phlippe Courroye de conduire une enquête impartiale.

Face aux révélations chaque jour plus accablantes, les responsables de l’UMP tiennent des propos honteux et scandaleux à l’égard de Mediapart, média Internet indépendant qui a révélé l’existence des enregistrements.

Pour Philippe Bilger, magistrat dont les sympathies politiques sont connues pour être plutôt à droite mais toujours soucieuses de l’intérêt républicain : "L’État, l’État de droit sont mis à mal par ces joutes et ces accusations (…) Cet abus de langage [des responsables de l'UMP] comparant Mediapart à une officine de caractère ‘fasciste’ est d’autant plus inconcevable que toutes les expériences étrangères, sous l’égide de la royauté ou de la République, s’accordent pour signifier qu’avec le millième de ce qui est soupçonné chez nous, des décisions drastiques auraient été prises et des démissions immédiates opérées. On ne peut pas tout vouloir en même temps : demeurer en place et faire taire."

(Je vous invite également à lire l’article de Michèle Delaunay sur le sujet : c’est ici)

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 08:00

 

De nouveau, Frédo Lefebvre s'en est pris très violemment à la presse le 9 juillet,, dans la même veine que les remparts UMP ayant sévi ces jours derniers : Xavier Bertrand, Christian Estrosi, Nadine Morano ... 

Mais attention, il se surpasse. Rien que le titre : "J'accuse" !Emile Zola

On en a pris l'habitude, Sarko et  l'UMP adorent  citer Jean JAURES et Léon BLUM. Voici maintenant Emile ZOLA et son célèbre pamphlet de 1898 !

On pourrait rappeler à Frédo que ZOLA s'était toujours montré très critique vis-a-vis du personnel politique, considéré trop compromis, mais qu'il croyait au pouvoir de la presse pour faire éclater la vérité.

 

"... que l'enquête ait lieu au grand jour"   

 

La nouvelle charge de Fréderic Lefebvre contre la presse

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 9 juillet 2010 

 

Le porte-parole de l'UMP dénonce dans une tribune libre "l'alliance immonde" de l'opposition avec "certains médias aux relents d'extrême droite et de trotskisme".

Le porte-parole de l'UMP Frédéric Lefebvre s'en est de nouveau pris violemment à la presse dans une tribune intitulée "J'accuse" publiée dans France-Soir jeudi 8 juillet. Dans ce texte de quatre colonnes, Frédéric Lefebvre se place sur la même ligne que Xavier Bertrand, Christian Estrosi ou Nadine Morano mercredi et dénonce cette fois-ci une "alliance immonde" de l'opposition avec "certains médias aux relents d'extrême droite et de trotskisme" dans le "torrent de boue" de l'affaire Bettencourt. Il ne cite toutefois à aucun moment Mediapart. 

"Le déferlement populiste"

"Dans quelle France vit-on ? L'opposition au président de la République n'excuse pas tout! ", lance Frédéric Lefebvre dans cette "tribune libre".

"J'attendais qu'une voix s'élève contre ce torrent de boue. L'attente est trop longue!" et "je le fais, moi (...) car le déferlement populiste qui s'abat sur notre pays me donne la nausée", affirme-t-il.

Il dénonce "l'alliance d'une opposition rageuse et sans idées et de certains médias aux relents d'extrême droite et de trotskisme mêlés, auxquels s'ajoute la vengeance de riches fraudeurs qui ne pardonnent pas à un ministre de les avoir combattus". 

"La République irréprochable"

"Cette alliance immonde veut mettre à bas les principes qui fondent notre société", accuse-t-il.

Il s'en prend nommément à Ségolène Royal et Martine Aubry "aux avant-postes" (qu'ils ne nomment dans ce texte que par leurs prénoms) pour accuser le ministre du Travail Eric Woerth alors qu'"elles officiaient dans les cabinets à l'époque où les fonds secrets étaient la règle, où le pouvoir a été condamné par la justice pour avoir déclenché des écoutes illégales, où les ministres se logeaient aux frais de la République sans déclaration aux impôts, et j'en passe".

Selon le porte-parole de l'UMP, ces "mauvaises habitudes appartiennent au passé grâce à la volonté de deux hommes : Lionel Jospin (ex-Premier ministre PS) et surtout Nicolas Sarkozy qui installe depuis trois ans la République irréprochable".

"J'accuse parce que j'ai mal à la politique, mal à la démocratie, mal au peuple, mal à la France", conclut Frédéric Lefebvre grandiloquent.

Les propos de Xavier Bertrand et Christian Estrosi avaient déclenché mercredi de vives réactions de rédacteurs et syndicats de journalistes ainsi que de l'opposition. Médiapart a d'ailleurs porté plainte en diffamation contre le secrétaire général de l'UMP.

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 07:00

 

le poulpe va choisir le prochain inculpé

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10 juillet 2010 6 10 /07 /juillet /2010 09:00

 

Mediapart : le site "à part" à abattre...

Source : larageauventre.blogspot.com  -  le 9 juillet 2010 

 

Médiapart qualifié de "site de ragots, de déclarations anonymes" par N.Morano , accusé d'utiliser des méthodes fascistes par X.Bertrand , comparé à "une certaine presse des années 30 par C.Estrosi  : est-ce la rançon de la gloire ?
"Oui Mediapart est un site d'information ; oui ses journalistes sont titulaires de la carte d'identité des journalistes professionnels ; oui ils ont vérifié leurs sources, recoupé les propos tenus par l'ex-comptable de Lilianne Bettencourt en se basant sur les livres de compte[...]", commente le syndicat SNJ-CGT

"La profession n'a pas besoin que la ministre d'un gouvernement et d'un président de la République aux abois, emmêlés dans les affaires de fric roi, vienne nous donner des leçons",
conclut-il.
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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 10:00

 

Affaires : recherche procureur Henri Volney désespérément ... 

 

"I comme Icare" - Film d’Henri Verneuil (1979)

 

"Si on considère le soleil comme le symbole de la vérité,

alors Icare se brûle les ailes parce qu'il s'approche

trop près de la grande vérité"

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9 juillet 2010 5 09 /07 /juillet /2010 08:00

 

les-FARC-se-sont-trompes-d-otage.jpg

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 18:00

Sarkozy met en garde le boss de Mediapart :

"Ça va lui retomber sur la tête"

Source : La Rédaction du Post  -  le 7 juillet 2010

 

Après les attaques de plusieurs membres de l'UMP contre le site d'infos, au tour du président lui-même.

Mediapart, qui est à l'origine de la plupart des révélations sur l'affaire Bettencourt, est devenu la cible des attaques de l'UMP.
Ce mercredi, le chef de l'Etat a déclaré, devant les députés du Nouveau Centre reçus à l'Elysée, au sujet du directeur de la rédaction de Mediapart et des révélations de ses journalistes dans l'affaire Woerth-Bettencourt: "Au niveau déontologie, c'est inimaginable. Mais ça va lui retomber sur la tête", selon un témoin de cette réception.
Avant de lâcher cette phrase, le chef de l'Etat a rappelé mercredi les écoutes dont a été l'objet Edwy Plenel sous François Mitterrand... pour souligner que le fondateur de Mediapart utilise le même procédé: des écoutes illégales.

"Edwy Plenel, dont on connaît les affinités politiques et qui a fait pleurer Margot pour être victime des écoutes, il utilise des écoutes illégales d'un maître d'hôtel viré" par Liliane Bettencourt (...) Il s'est drapé dans le rôle du martyr des écoutes de Mitterrand et maintenant il les utilise sans réserve éthique ni méthodologique., a ajouté le chef de l'Etat, selon le même témoin.

"Imaginez si moi, j'écoutais les journalistes, qu'est-ce qu'on dirait !", a conclu Nicolas Sarkozy.


Edwy Plenel a réagi, dans la soirée, sur BFM TV  :

"Il y a eu une décision d'un juge indépendant"  ...

la diffusion des informations a été considérée "légitime"

(Images: BFM TV)

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 15:00

 

Le boss de Mediapart : "Comme par hasard,

l'ex-comptable a rétracté ses propos sur Sarkozy"

Source : LePost.fr  -  le 8 juillet 2010 

 

Le contexte: C'est ce site qui a publié le témoignage de l'ancienne comptable de Liliane Bettencourt. Elle y déclarait avoir fait des retraits en liquide pour le financement de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007. Ces sommes auraient été remises, entre autre, au ministre du Budget d'alors Eric Woerth.

Interrogée une deuxième fois mercredi soir, celle-ci se serait néanmoins rétractée, affirmant que ses propos sur Nicolas Sarkozy avaient été "romancés".


Edwy Plenel : les témoins sont soumis à de fortes pressions :

(Images: BFM TV)

 

"Elle a rétracté, devant les policiers, partiellement ses propos en fait sur un point, comme par hasard, ses déclarations qu'elle nous a bien faites, évidemment, sur Nicolas Sarkozy", déclare Edwy Plenel, à BFM TV

"Je rappelle juste que les policiers n'agissent pas vraiment dans un cadre totalement indépendant. Ils sont sous le contrôle du Procureur de la République, dans le cadre d'une enquête préliminaire. Lequel procureur de Nanterre, Philippe Courroye, est de manière connue, publique, très proche de la Présidence de la République", ajoute-t-il.

 

"Claire Thibout, comme d'autres témoins, sont soumis à une très forte pression policière, dans le cadre d'une enquête qui n'est pas menée par un magistrat indépendant, qui n'est pas menée par un juge d'instruction, qui n'est pas menée dans le cadre d'une enquête ou l'on instruirait à charge et à décharge, en confrontant chaque point de vue", explique-t-il.

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8 juillet 2010 4 08 /07 /juillet /2010 14:00

 

logo-mediapart.JPG 

Mediapart maintient les propos

de l'ex-comptable de Bettencourt

Source : fr.news.yahoo.com  -  le 8 juillet 2010

 

 

Le site d'information Mediapart assure avoir "scrupuleusement retranscrit" les propos de l'ex-comptable de Liliane Bettencourt accusant Eric Woerth et Nicolas Sarkozy de financement illégal.

François Bonnet, rédacteur en chef de Mediapart, a affirmé que les déclarations de Claire Thibout avaient été faites lors de "deux entretiens en présence d'une tierce personne".

Il n'a pas précisé dans l'immédiat s'il s'agissait d'entretiens téléphoniques ou directs, ni si ces propos avaient été enregistrés, soulignant que des précisions seraient données dans la journée sur le site d'information.

"On maintient ces propos, on garantit le caractère méticuleux, rigoureux des propos rapportés", a-t-il dit à Reuters.

Selon Lemonde.fr, Claire Thibout a affirmé n'avoir jamais dit au site internet d'information Mediapart que Nicolas Sarkozy recevait des enveloppes d'argent en espèces des Bettencourt entre 1983 et 2002, à l'époque où il était maire de Neuilly.

Le quotidien étaye cette version par un extrait d'une déclaration faite mercredi soir aux enquêteurs, sans citer sa source.

L'Elysée a vu dans ce rebondissement "un tournant judiciaire" disculpant tant Nicolas Sarkozy que le ministre du Travail Eric Woerth des soupçons de financement illégal, un volet de l'affaire Bettencourt.


Des rebondissements, il risque d'y en avoir d'autres ...

Et dans un "tournant", il se pourrait que la route soit glissante

pour les coupables  les prévenus  les acteurs de ce feuilleton de l'été !!!

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