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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 12:00

Ségolène ROYAL était l'invitée des "4 Vérités" ce mercredi 9 septembre 2009.

Elle a d'abord été interrogée sur la sortie du livre "HOLD-UPS, arnaques et trahisons", qui tend à démontrer qu'il y a eu tricherie lors de l'élection au poste de 1ère secrétaire du PS en novembre 2008.

Les autres sujets évoqués : taxe carbone, retraites de femmes, la question des alliances pour les
élections régionales

"Je suis dans un combat politique

pour protéger les français contre un nouvel impôt"

Source : le site Désirs d'Avenir  -  le 9 septembre 2009


Ségolène a expliqué de nouveau son "combat politique pour protéger les Français contre un nouvel impôt."

Elle est donc revenue sur la taxe carbone :
"On nous aujourd'hui qu'un nouvel impôt va protéger la planête. Est-ce que c'est vrai Roland Sicard ?
Est-ce que c'est vrai ? Les Français savent bien que ce n'est pas vrai.
Ce n'est pas aujourd'hui rendre du pouvoir d'achat en augmentant encore le prix de l'essence et du fuel alors que des millions de Français n'ont pas le choix entre le fait de prendre leur voiture pour aller travailler - et ils travaillent dur - ou pour ce chauffer (...) ils n'ont pas la possibilité de changer du jour au lendemain..
."

"Vous avez remarqué que je prends la parole pour lever un certain nombre de tabous et pour protéger les Français contre le recul des acquis sociaux (...) si je n'avais pas pris la parole sur la taxe carbone, le débat n'aurait pas eu lieu."


Ségolène Royal est également revenue sur les retraites des femmes qui "risquent de perdre 2 ans de cotisation au nom de 'l'égalité des droits' (...) aujourd'hui déjà, les femmes ont des niveaux de salaires inférieurs de 30% (...) leur retraite est déjà inférieure de 40% !"



envoyé par  segolene-royal
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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 11:00

Congrès du PS - Ségolène ROYAL :
"On savait que cela avait triché
mais pas avec cette ampleur"...
Source : NOUVELOBS.COM  -  le 9 septembre 2009


On savait que cela avait triché mais pas avec cette ampleur", a réagi mercredi Ségolène Royal à la publication d'extraits de "HOLD-UPS, arnaques et trahisons", d'Antonin André et Karim Rissouli (Ed. du Moment). Selon les deux journalistes, "la victoire de Martine Aubry a été fabriquée de toutes pièces".


"Très sincèrement, j'ai ressenti un choc en pensant aux dizaines de milliers de militants qui se sont fait voler leur vote", a commenté Ségolène Royal sur France-2, ajoutant qu'elle allait faire "une déclaration solennelle dans quelques jours".


"Les résultats du Nord sont gelés pour pouvoir être 'ajustés' jusqu'au dernier moment afin d'assurer une avance suffisante à Martine Aubry", racontent les auteurs dans leur ouvrage dont "lepoint.fr" publie des extraits. Et de citer le propos d'un proche de la secrétaire nationale du PS :

"On ne prend plus de gants, on bourre les urnes".


Pour Ségolène Royal, "on savait que cela avait triché mais pas avec cette ampleur, ni avec ce système d'organisation".

"On ne peut pas laisser passer ça pour les militants qui ont voté, pour l'opinion publique, pour les Français, pour le principe-même de la démocratie, pour la morale en politique", a-t-elle observé.

"Je vous dirai dans quelques jours ce que nous comptons dire ou que nous comptons faire" mais "on ne peut pas passer sous silence ou minimiser ce qui se passe", a ajouté la présidente de la région Poitou-Charentes.

"En même temps, je suis consciente de la lassitude des militants et de l'image déplorable que cela donne des dirigeants actuels du PS".


"Après le congrès, quand on a vu qu'il y avait eu des tricheries, Robert BADINTER avait fait une proposition que j'avais soutenue, que j'avais proposée à Martine Aubry, qui était de revoter dans les fédérations litigieuses. Cette solution qui était une solution responsable a été refusée, je comprends mieux pourquoi elle a été refusée", a lancé Ségolène Royal.


"On aurait pu faire un recours, on a choisi de calmer le jeu en demandant des responsabilités dans le parti", a rappelé l'ancienne candidate à la tête du PS. "On va faire le point de la situation".

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 09:00





Tricher, c'est pas du jeu !!!


Un livre intitulé "Hold-uPS, arnaques et trahisons" écrits par les journalistes Karim Rissouli (Canal +) et Antonin André (Europe 1) revient sur les conditions de l'élection de Martine Aubry au poste de première secrétaire. Ce livre est "une charge sévère contre Martine Aubry, élue patronne du premier parti d'opposition avec seulement 102 voix d'avance...", écrit le site du Point.



Le Point.fr publie des extraits de ce livre. "Des documents permettent aujourd'hui d'affirmer que la victoire de Martine Aubry a été fabriquée de toutes pièces. Ils sont sans appel. Premier exemple : la section de "Lille-Fives". Dans ce bureau, le score de Martine Aubry a été gonflé de 30 voix. Le mandataire de Ségolène Royal, après le décompte des voix en section, a pointé 58 bulletins pour Martine Aubry, 8 pour Ségolène Royal."

"Lille ne serait pas un cas isolé dans le Nord. Certaines voix, sous couvert d'anonymat, évaluent l'ampleur de la fraude à 1 000 votes en faveur d'Aubry. Les résultats 'adaptés' du Nord finissent par tomber vers minuit. Ils sont les derniers à arriver Rue de Solferino. Minuit : les amis de Martine Aubry débouchent le champagne, le hold-up a fonctionné selon leurs plans."

"Le mercredi 18 mars 2009, à quelques jours de la convention nationale qui doit ratifier les listes socialistes aux européennes , Martine Aubry finit par se trahir. 'Je n'ai pas triché! Fabius, d'accord! Mais pas moi...' La première secrétaire fait allusion à son score écrasant obtenu dans la Seine-Maritime, fief de l'ancien Premier ministre."

Le Post - le 8 septembre 2009 :

Le livre sur la triche au PS : "La victoire d'Aubry a été fabriquée de toutes pièces"


LePoint  -  le 8 septembre 2009 :
Cette enquête qui accable Martine Aubry
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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 07:00

Six syndicats appellent à la mobilisation le 7 octobre
Source : NOUVELOBS.COM  -  le 8 septembre 2009

Six syndicats (CFDT, CFE-CGC, CGT, FSU, Solidaires et UNSA) appellent à une nouvelle mobilisation interprofessionnelle le 7 octobre, date choisie par la Confédération syndicale internationale (CSI) pour une journée mondiale d'action pour la défense du travail décent.


Les six organisations, réunies au siège de la CFE-CGC mardi après-midi à Paris, entendent ainsi donner un prolongement aux manifestations organisées depuis le 29 janvier afin d'exiger un changement de cap dans la politique du gouvernement face à la crise, malgré les divisions apparues ces dernières semaines au sein de l'intersyndicale.

Le syndicat FO ne s'est d'ailleurs pas joint à cet appel et la CFTC réserve sa réponse, alors qu'aucune des deux organisations ne participaient à la rencontre de mardi après-midi, officiellement pour cause "d'indisponibilité".

Dans un communiqué commun diffusé à l'issue de plus de deux heures de réunion, les six organisations appellent "les salariés" à "participer massivement" à cette nouvelle journée "selon des modalités qu'elles préciseront", formulation qui permet de ne froisser personne malgré de fortes divergences sur les actions à mener.

Sur le constat en revanche, les syndicats sont tombés d'accord. "Quoiqu'en disent les augures sur la sortie de la crise, les dégâts économiques et sociaux s'aggravent, ce qui rend d'autant plus urgentes les réponses en matière d'emploi et de lutte contre les inégalités, alternatives aux choix patronaux et gouvernementaux actuels", écrivent-ils dans le communiqué commun.

Les six syndicats ont également décidé de se revoir le 28 septembre prochain, et précisent qu'ils "souhaitent" que les huit organisations qui composaient l'intersyndicale jusqu'au début de l'été "soient présentes".

"Il y a une volonté commune de poursuivre le travail intersyndical et de le poursuivre aussi à huit", a souligné le secrétaire général de la Fédération syndicale unitaire (FSU) Gérard Aschieri, interrogé par l'Associated Press.

"Quant au 7 octobre", a-t-il précisé, "c'est vrai que tout le monde n'a pas la même interprétation de ce que doit être cette journée". "Ce sera de toute façon des modalités (d'action) décentralisées", a-t-il ajouté, en raison notamment de "l'inconnue sur la capacité de mobilisation des salariés à cette date".

Il faut dire que la cinquième journée de manifestations interprofessionnelles organisée le 13 juin n'avait mobilisé que 150.000 personnes dans toute la France, contre 1,2 million le 1er mai, ou encore 2,5 millions le 29 janvier, selon les syndicats.

Et à cette occasion, FO et la CGT avaient affiché clairement des positions divergentes quant à la forme à donner à la mobilisation.

Depuis, les écarts se sont encore creusés, certaines organisations jugeant même la plateforme de revendications, rédigée à huit au plus fort du mouvement, "trop large".

 

Source : LIBERATION.FR  -  le 8 septembre 2009

 

Le secrétaire général de Force ouvrière, Jean-Claude Mailly, avait alors répondu que son organisation "avait prévu autre chose" à cette date: "le 7 octobre est une journée mondiale pour sensibiliser au respect du travail décent respectueux des normes internationales», avait-il précisé sur Canal +, voulant rester "dans le cadre de cette approche internationale".

 

Bis repetita : FO ne s'était pas associé à la journée d'action du 7 octobre 2008, et l'avait joué en solo !

A l'époque j'avais souligné qu'on pouvait aussi regretter l'absence du PS, comme cela avait été le cas également en juin 2008, pour les manifestations sur l'avenir des retraites ...

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 18:00


Najat VALLAUD-BELKACEM,
porte-parole de Ségolène ROYAL :

Projet de hausse du forfait hospitalier,
une suite logique à la taxe carbone


Source : le site Désirs d'Avenir  -  le 8 septembre 2009


De couac en couac, mais dans une logique de plus en plus affirmée, le gouvernement poursuit son acharnement contre le pouvoir d’achat des classes moyennes.


Hier, l’ajournement de toute réforme sur les niches fiscales les plus injustes et la création d’un nouvel impôt sur les déplacements et le chauffage de tout un chacun ; aujourd’hui, une hausse historique du coût de la santé au quotidien pour les Français…


Sans jamais revenir sur le train des mesures fiscales iniques prises en faveur des plus hauts revenus (bouclier fiscal, allègement de l’ISF et des droits de succession, etc.), Nicolas Sarkozy et François Fillon sont en train de multiplier les prétextes démagogiques et d’organiser la confusion pour mieux accélérer leur logique destructrice d’inégalité fiscale.

Au-delà des couacs entre ministres instrumentalisés, il faut maintenant dénoncer cette stratégie pour ce qu’elle est vraiment car elle mine en profondeur les valeurs républicaines d’équité devant l’impôt et menace gravement la cohésion sociale du pays.

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 16:00


Ce mardi 8 septembre, Ségolène ROYAL  a répondu aux questions

de Jean-Jacques Bourdin sur BFM.

Ségolène ROYAL : "Les français ont le droit de savoir ce qu'est la Taxe Carbone !"



Interview de Ségolène Royal sur BFM
envoyé par segolene-royal

A noter : interrogée, relancée sur les déclarations de Jack Lang (ce           !!!), Ségolène ROYAL n'a pas relevé !
("Je ne veux pas répondre à des invectives")
Aucune injure, aucun mot blessant, pas de petites phrases ...
Ca nous change
des pratiques détestables de certains petits camarades !!!

Et que dire de ces ramollis du cerveau qui,
sur les forums en ligne, déversent des inepties du genre : "il faut dénoncer l'ignominie des calomnies de Ségolène"  ???

Il faut prévenir Fredo Lefebvre, il va leur réserver un lit à l'hôpital psychiatrique du coin !!!
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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 08:00

La "commissionnite" de Sarkozy !
Ah, c'est bien loin de ce qu'il disait en 2007 !
Souvenez-vous du débat télévisé de l'entre-deux tours de la présidentielle : il avait fustigé  Ségolène ROYAL, moquant sa supposée indécision sur différents dossiers, puisqu'elle parlait de discussions préalables (avec les partenaires sociaux notamment).
Avec lui, disait-il, le pouvoir n'aurait pas sans cesse recours à des discussions, à des commissions pour régler les problèmes !
FOUTAISE !!!

Vu sur le blog DA Loire-Atlantique :
Quand J-F Kahn dénonce l'improvisation de Sarkozy ...



envoyé par  politistution
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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 20:00

Cet individu est toujours député PS, mais on peut sans doute aucun l'assimiler à ces personnages inqualifiables que sont Besson, Kouchner, Bockel, une liste qui peut être complètée par le nom de Rocard ...

Par ses précédentes prises de position, comment la direction du Parti Socialiste peut-elle encore faire endurer sa présence parmi les militants ???

Cet épisode est une étape de plus dans son naufrage.
Et avec quel aplomb il ose parler d'engagements, lui qui ne cesse de trahir le parti !!!

Taxe carbone : Ségolène Royal mène "une opération
populiste et opportuniste", selon Jack Lang

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 7 septembre 2009

En se déclarant opposée à la taxe carbone, Ségolène Royal "se livre à une opération populiste et opportuniste", estime le député socialiste Jack Lang.
"Je le dis tout net: sur la taxe carbone Ségolène Royal a tort", déclare le député du Pas-de-Calais dans un entretien publié mardi dans "Le Parisien/Aujourd'hui en France".

"J'ai appartenu à son équipe présidentielle en 2007. Elle avait soutenu avec enthousiasme le pacte écologique de Nicolas Hulot dans lequel figurait le principe de cette contribution climat. Et voici aujourd'hui qu'elle renie les engagements pris", explique-t-il.
"C'est désolant. La parole politique se démonétise, se dévalue. L'infidélité à ses promesses est une des formes les plus inacceptables de la vie publique".


[ Gonflé !!! C'est lui qui parle d'infidélité ! ]

Alors que Nicolas Sarkozy doit rendre cette semaine son arbitrage sur la contribution climat énergie (CCE), Jack Lang "souhaite que le président de la République tienne bon".

 

TIENT BON, CHOUCHOU !

C'EST TON AMI DJAK QUI T'EN SUPPLIE !!!

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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 12:00

Sujet intéressant qui devrait interpeller le citoyen, le salarié ... l'électeur.
Qui devrait. Et les intervenants friands de commentaires sur tant de sujets polémiques ? Hé non, ça ne les a pas inspiré : 3 commentaires !!!

Les ruptures conventionnelles,
des licenciements déguisés

Source : Marianne2.fr  -  le 5 septembre 2009

Franck Stassi de Problématiques.fr, évoque les nombreuses interrogations que suscite le recours croissant à la rupture conventionnelle de contrat. Le cadre juridique de cette procédure de plus en plus utilisée doit être précisé afin d'éviter toutes dérives.

Le succès de la procédure de rupture conventionnelle, en vigueur depuis juillet 2008, soulève de nombreuses questions d’ordre juridique. 

Après avoir mollement progressé au début de l’année, le nombre de demandes homologuées de ruptures conventionnelles a littéralement bondi en juin, avec 17.173 ruptures de contrat à l’amiable acceptées pour ce seul mois. C’est près de 4.300 de plus qu’en mai. Ces chiffres, dévoilés début août par le ministère du Travail, confirment le succès de cette procédure entrée en vigueur en juillet 2008: au total, ce ne sont pas moins de 111.670 dossiers qui ont été acceptés par les directions départementales du Travail depuis l’introduction du dispositif.

L’accord national interprofessionnel du 11 janvier 2008, complété par l’article 4 de la loi de modernisation du marché du travail (en date du 26 juin 2008) ont introduit une nouvelle catégorie de licenciement: la rupture conventionnelle. Tandis que le licenciement s’avère particulièrement long mais plus avantageux pour le salarié, et que la démission n’ouvre pas droit aux indemnités, ce nouveau cadre juridique de rupture de contrat ouvre la possibilité d’une séparation à l’amiable entre les parties. 

L’employeur et le salarié doivent, pour en bénéficier, se mettre d’accord sur la rupture du contrat. Une demande doit alors être transmise au directeur départemental du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle. Les autorités procèdent alors à une vérification des termes de l’accord. L’indemnité de rupture, exonérée d’impôt sur le revenu et de charges sociales, ne peut être inférieur à celui de l’indemnité légale de licenciement. Dans le cas des salariés protégés (membres du comité d’entreprise, délégués syndicaux…), la procédure à suivre est plus complexe.

Ces nombreux garde-fous s’avèrent aujourd’hui essentiels pour assurer la bonne marche du dispositif. "La plupart du temps, c’est l’employeur et non le salarié qui propose une rupture conventionnelle. Si le salarié a deux ans d’ancienneté et que ce licenciement est non causé (sans faute de l’employé ni cas de force majeure), ce dernier a droit au minimum à six mois de salaire, c’est ce que prévoit la loi ", rappelait récemment au Monde.fr l’avocat au barreau de Paris Xavier-Philippe Gruwez.

Ce spécialiste met en garde les salariés quant à la nécessité d’une information complète sur leurs droits, la signature de ce type d’accord n’étant pas exempte de risques. Le caractère relativement récent du dispositif limite la base juridique à disposition des professionnels.


Risque de dérives

Faute d’expérience suffisante, des ajouts ponctuels s’avèrent nécessaires pour parfaire ce dispositif innovant en matière de simplicité de la procédure. Ainsi, dans une circulaire en date du 10 juillet, la Direction de la Sécurité Sociale a apporté de multiples précisions quant au régime social appliqué à l’indemnité de rupture. Ces mesures, rendues publiques au début de l’été, s’appliquent pourtant depuis presque un an: le cadre juridique et social de la rupture conventionnelle, même s’il est établi, reste encore mouvant.

Les barrières mises en place par le législateur pour contenir les risques de dérives semblent toutefois ne pas permettre de dissiper les doutes quant au risque de licenciements déguisés: avec une telle procédure, la rupture du contrat n’est pas seulement portée par l’employeur, comme dans le cadre d’un licenciement, mais également par le salarié. Une répartition des risques… qui n’est pas sans risque.

Il est difficile, pour le salarié, d’expliquer que son consentement a été vicié: la CFDT et la CGT pointent du doigt des cas délicats chez IBM ou chez Hertz, où un plan de sauvegarde de l’emploi a été validé l’an dernier. De récents arrêts de la Cour de cassation remettent en cause pour leur part les articles tels que "les parties au présent accord amiable renoncent donc expressément à diligenter toutes instances ou actions dont les relations de travail les ayant liées pourraient être l’objet, la cause ou l’occasion".

Le cadre juridique de la rupture conventionnelle semble donc amené à s’étoffer dans les prochains mois, à la faveur de nouvelles décisions. Un point fait également débat : celui de l’impact de l’explosion du nombre de ruptures vis-à-vis de l’assurance-chômage. Le débat est déjà ouvert…

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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 10:00



Désavoué par Sarkozy,
Fillon fait diversion

Source : site Désirs d'Avenir  -  le 7 septembre 2009



Guillaume Garot, porte-parole de Ségolène Royal, dénonce les attaques misérables de Francois Fillon contre Ségolène Royal. Le Premier Ministre s’en est pris à l’ancienne candidate de la gauche, l’accusant de ne pas tenir ses engagements de la campagne présidentielle.

Selon Guillaume Garot, "les accusations de Francois Fillon sont parfaitement malhonnêtes".


Lors de la campagne présidentielle, Ségolène Royal avait très clairement posé les conditions à la taxe carbone, dans une lettre à Nicolas Hulot, en date du 5 janvier 2007. Elle avait écrit :

"Son caractère indifférencié la rend socialement injuste et difficile à supporter pour les catégories les plus défavorisées […] Plutôt que de mettre en exergue la taxe carbone, je propose, puisque c’est l’objectif qui compte, de mettre en place une politique énergétique ambitieuse fondée sur les économies d’énergie, l’efficacité énergétique et la promotion des solutions renouvelables, diversifiées et décentralisées."

 

Guillaume Garot conclut :

"Ségolène Royal s’est toujours exprimé avec constance et cohérence.Ses positions n’ont pas varié.

L’UMP cherche une nouvelle fois à discréditer Ségolène Royal, qui a eu le courage de dénoncer une taxe injuste contre les classes populaires.

Le Gouvernement ferait mieux de travailler à une fiscalité écologique juste et réellement incitative".

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