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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 08:00

"Les Roms" une fois ... "Les Roms" deux fois ... en tout, le ciblage sur eux est fait à 8 reprises dans cette fameuse circulaire. Circulaire inconnue du traître-étalon Besson, circulaire qui ne poserait aucun problème pour les plus zélés de l'UMP, qui déclarent assumer ! Elle pose d'ailleurs si peu de problèmes que ... Brice Halte-au-feu s'est empressé d'en rédiger une autre, plus "solft".

Les mensonges, la cacophonie et le foutage de gueule continuent ...

insecurite---sarko-vire-les-roms.jpg 

Circulaire Roms :

Besson botte en touche,

Bertrand s'étrangle

Source : marianne2.fr  -  le 13 septembre 2010

Invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC, Xavier Bertrand a tenté, tant bien que mal, de remettre un peu d'ordre dans la maison gouvernementale après les déclarations d'Eric Besson qui affirme n'avoir pas été mis au courant de la circulaire qui cible les Roms. Peu convaincant, le secrétaire général de l'UMP a éludé les questions de Jean-Jacques Bourdin et bafouillé son argumentaire.

Quand on est ministre, on ferme sa gueule, on démissionne, ou…on botte en touche, a rajouté ce matin Eric Besson à la loi édictée jadis par Jean-Pierre Chevènement. Invité des 4 vérités sur France 2, le ministre de l’immigration, interrogé sur la circulaire sur les roms, a joué l’ignorance, affirmant ne pas avoir été mis au courant de cette circulaire.
«Cette circulaire, je ne la connaissais pas, je n'en étais pas destinataire et je n’avais pas à la connaître» a indiqué Eric Besson, renvoyant la patate chaude au Ministère de l’intérieur : « Je ne sais pas si c'est une maladresse, c’est au ministère de l’Intérieur et plus exactement au directeur de cabinet d’en répondre», a-t-il ajouté. «Nous ne connaissons pas le concept de minorités ethniques, on ne connaît pas autre chose que des étrangers en situation illégale».

Et c’est peu dire que la confusion, la désorganisation, bref, le chaos qui règne au sommet de l’Etat commencent à poser des problèmes de positionnement et de communication même aux défenseurs les plus dévoués de l’exécutif.
Sur RMC, à peine assis, Xavier Bertrand se voyait éparpillé façon puzzle par un Jean-Jacques Bourdin des grands jours : « le gouvernement presse les préfets de cibler prioritairement les roms, n’est-ce pas honteux dans le pays des droits de l’homme ? »

Le secrétaire général de l’UMP élude et bafouille son argumentaire : « ce qui est honteux c’est cette nouvelle politique de la critique permanente de la part du Parti-Socialiste ». Le chef de l’UMP qui se plaint d’avoir une opposition qui s’oppose, Dans quel état le parti de la majorité doit-il être pour en arriver à ce niveau de non-argumentation.
« Ca veut dire qu’on cible prioritairement les roms, même Eric Besson dit « je n’étais pas au courant ! » Ca veut dire quoi ça !! » s’étrangle Bourdin qui se met à lire la circulaire en question : « vous désignez une population ! Est-ce que cette circulaire vous choque ? Oui ou non, je vous demande de répondre » insiste encore le présentateur des matinales de la station.

« Arrêtez ces faux-semblants » supplie Bertrand dont la réponse se fait attendre. Sur RMC, l’interview politique n’est pas un long fleuve tranquille. Difficile de s’échapper par une « porte » dérobée, entre deux jingles, face à un intervieweur tenace : « Ce que j’ai entendu sur cette circulaire : non aux camps illégaux et de roms quand il y en a, c’est la traduction de notre politique. J’assume tout à fait. C’est la polémique qui me choque » finira bien par lâcher Bertrand.

Le secrétaire général de l’UMP croît avoir gagné un peu de répit…Le deuxième coup au foie arrive très vite : « le ministre de l’immigration n’était pas au courant, qu’est-ce que ça veut dire ?!. Jeudi dernier il disait encore que la France n’avait pris aucune mesure spécifique à l’égard des Roms. S’il avait été au courant qu’aurait-il fait alors ? »  enchaîne Bourdin. Xavier Bertrand, qui ne saurait évidemment mettre sur la place publique le conflit qui dure entre Eric Besson et Brice Hortefeux, ne saura répondre, ne voudra pas répondre.
Nouvelle démonstration cruelle d’un état dirigé au doigt mouillé et d'un gouvernement qui donne l'impression d'une armée en déroute. Le navire prend l’eau de toutes parts. Un  remaniement n’est plus seulement nécessaire, il est désormais indispensable. Sera-t-il suffisant ?

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 20:00

Ségolène Royal était l'invité de Dimanche Soir Politique :

envoyé par franceinter

 

A propos des "niches fiscales" et des propositions émises par Ségolène (voir à la 16ème minute) :

J'ai retrouvé des idées qu'avec un groupe de camarades de Désirs d'Avenir nous avions rédigées dans une contributions thématique au moment du Congrès de Reims : les aménagements à apporter au système de participation et d'intéressement.

 

Je peux mettre ceci en parallèle avec les magnifiques promesses de Sarkozy, bien classées au palmarés des plus gros mensonges (soyons conciliants : annonces tonitruantes non suivies d'effet ... direction poubelle ... fosse aux oubliettes !)

Cela date du 27 février 2008. Avec Sarkozy, on allait voir que ça allait bouger sacrément  sur le financement des retraites, sur le calcul de la retraite, mais aussi sur la répartition du bénéfice dans les entreprises.

Vaste programme, mais ... c'était de la foutaise.

 

Face aux propositions énoncées par Ségolène, que pourront encore trouver les aboyeurs de l'UMP, alors qu'elles avaient été -- eh oui, finalement -- avancées par leur seigneur et maître ?

 

Source : lefigaro.fr  -  le 27 février 2008 :  Une cotisation retraite sur l'intéressement est à l'étude

 

On peut y lire que Sarko envisageait :

 

- que les primes d'intéressement aujourd'hui exonérées de cotisations (sauf CSG et CRDS) comptent aussi pour la retraite, ce qui suppose qu'elles soient soumises à cotisations vieillesse patronale et salariale

- que "la réflexion devrait déboucher dans les prochains jours" mais qu'il voulait que "les salariés ne puissent pas dire, on s'est moqué de moi, on me donne du pouvoir d'achat mais ça ne compte pas pour la retraite".   (!!!!!) 

Les autres balivernes sarkozystes :

 

Sarko avait annoncé début janvier 2008 son intention de "créer les conditions réglementaires et fiscales pour que la participation et l'intéressement puissent s'étendre à toutes les entreprises"

Bien sûr, le très docile Xavier Bertrand avait confirmé que le projet serait discuté "avant l'été" ... zut, il n'a pas précisé l'année !!!

 

Et les trois tiers, chef ???

Qu'est devenue l'idée géniale du partage des bénéfices en trois tiers ??? :

"Un tiers aux actionnaires qui prennent le risque, un tiers aux investissements pour que l'entreprise reste compétitive, un tiers pour les salariés qui ont participé à la création de richesse." 

C'EST BEAU !!!

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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 09:00

madame-irma.jpg

 

Le 9 septembre, tout à la fin de l'émission "A vous de juger" consacrée à la réforme des retraites, Alain Duhamel s'est livré à l'exercice favori de beaucoup de supposés spécialistes de la vie politique.

Pour lui, au PS c'est déjà réglé pour 2012 : ce sera DSK (attendu comme le messie) ou, s'il n'y va pas -- quel suspense insoutenable !  --  ce sera Martine Aubry.


Foin des primaires !!! Militants du PS, circulez, y'a plus rien à voir ! 

 

2012 : Duhamel connaît déjà le scénario, foin des primaires
envoyé par  daniel-c
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12 septembre 2010 7 12 /09 /septembre /2010 07:00

bannière Lettre d'actualité de Ségolène 

 

Je dénonce la destruction des droits à la retraite à 60 ans et à 65 ans.

 

C'est une régression sociale sans précédent, une atteinte grave à la sécurité sociale des Français et un cadeau injuste au capital qui va pouvoir faire main basse sur le pactole des retraites par capitalisation.

 

Il faut faire barrage à l'injustice criante de ce gouvernement qui enrichit les riches et qui fait payer les salariés qui travaillent depuis longtemps ainsi que les femmes qui vont basculer dans la précarité compte tenu de la baisse de leurs retraites.

 

signatute-SR.jpg

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 17:00

roms--le-splendide-isolement-de-sarko.jpg   

 

 

Expulsions de Roms :

le Parlement européen

met un carton rouge à la France

Source : La rédaction du Post.fr

le 9 septembre 2010

 

Le Parlement européen a adopté ce jeudi une résolution demandant à la France et aux autres Etats de l'Union européenne de "suspendre immédiatement" les expulsions de Roms.

Cette résolution a été présentée par une coalition gauche-libéraux. Elle a été adoptée par 337 voix contre 245 et 51 abstentions, précise Le Figaro.

Le Parlement "s'inquiète vivement, en particulier de la rhétorique provocatrice et ouvertement discriminatoire qui a marqué le discours politique au cours des opérations de renvoi des Roms dans leur pays, ce qui donne de la crédibilité à des propos racistes et aux agissements de groupes d'extrême droite".

Un carton rouge adressé par l'Europe, alors que Eric Besson et Pierre Lellouche sont en ce moment-même en Roumanie à Bucarest "pour demander aux dirigeants du pays de mettre en place un 'plan national d'urgence'" pour intégrer les citoyens roms à leur territoire, indique 20minutes.fr.

C'est un nouveau coup dur pour la politique d'expulsion des Roms souhaitée par Nicolas Sarkozy.

En août, l'ONU a aussi noté une "recrudescence notable du racisme et de la xénophobie".

En début d'après-midi ce jeudi,
le ministère de l'Immigration annonce que la France "refuse" de suspendre l'expulsion des Roms de son territoire, indique 20 Minutes.fr.


De son côté, la Commission européenne avait, toujours au mois d'août, aussi rappelé la France à l'ordre en lui demandant de "respecter les règles concernant la liberté de circulation et la liberté d'établissement des citoyens européens". 

 

(Sources: Le Figaro, 20minutes.fr)

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 13:00

 

emission-A-vous-de-juger.jpg

A nous de juger

Source : LEMONDE.FR  -  le 10 septembre 2010

 

Que retenir de l'émission "A vous de juger" consacrée jeudi soir 9 septembre sur France 2 à la réforme des retraites ? La prestation souriante, sereine et décontractée de François Fillon

Ou bien celle, plus vigoureuse et passionnée, mais toute aussi convaincante, de Ségolène Royal ?

Ce fut à l'évidence une soirée riche d'enseignements politiques. S'agissant du premier ministre, disons, au risque de nous tromper, qu'il semblait d'autant plus à l'aise qu'il donnait l'impression d'être sur le départ. Répondant aux questions, plutôt bienveillantes, d'Arlette Chabot et de Jean Boissonnat, il s'est livré à un exercice de pédagogie d'autant plus réussi que personne ne lui portait vraiment la contradiction. Calme, compétent, il entendait démontrer que le projet de réforme du gouvernement, étant donné la brusque aggravation de la situation économique du fait de la crise, est le seul susceptible de sauver le système par répartition. Attentif à ne pas sous-estimer l'ampleur de la mobilisation de mardi 7, il déclara : "Ce n'est pas une réforme facile. Je comprends parfaitement l'inquiétude des Français." Avant d'ajouter : "Il faut dire la vérité : si l'on ne travaille pas plus longtemps, on ne cotisera pas plus, et c'est tout le système qui sera en péril."

Bien entouré - de nombreuses personnalités de la majorité assistaient à l'émission, parmi lesquelles Christine Lagarde, Roselyne Bachelot, Nadine Morano, Xavier Bertrand, Gérard Larcher, Luc Chatel -, nulle tension ne semblait l'habiter. "Je vous trouve extrêmement détendu et serein, plus qu'avant", lui confia Arlette Chabot. Manière de sous-entendre qu'il y avait là peut-être anguille sous roche...

Si le premier ministre est peut-être sur le départ, Ségolène Royal, elle, est assurément de retour. Peut-être même est-ce la première fois qu'elle réussit à ce point une prestation télévisée. 

Evoquant le souvenir de son dernier conseil des ministres présidé par François Mitterrand, elle déclara : 

"Je le dis solennellement : oui, si nous accédons au pouvoir en 2012, nous rétablirons la liberté de partir à la retraite à l'âge de 60 ans." 

Les choses étaient dites, avec clarté, sans ambiguïté, et, plus surprenant, reconnaissons-le, de manière argumentée. 

En l'écoutant, on comprenait - enfin ! - qu'il y a bel et bien deux projets de réforme des retraites, et, plus profondément, deux visions différentes de la société qui s'opposent. 

"Le système que le gouvernement veut mettre en place est le plus sévère d'Europe", expliqua Ségolène Royal, chiffres à l'appui, avant de conclure par un vibrant : "Nous nous battrons le dos au mur."

Ceux qui pensaient que les primaires du PS allaient se résumer à un choix entre Dominique Strauss-Kahn et Martine Aubry ont peut-être parlé trop vite.

La Royale est toujours là. Il faudra dorénavant compter avec elle.

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 11:00

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Back on stage ! La surprise Royal

Source : MEDIAPART.fr  -  le 10 septembre 2010

 

Lorsque le vieil Alain Duhamel, qui est à la politique ce que Philippe Bouvard est à l'humour, s'énerve en direct et multiplie les rictus méprisants, c'est qu'il se passe quelque chose. Eh oui, Ségolène Royal venait de parler...

On somnolait, jeudi soir, pour ne pas trop culpabiliser face à Arlette Chabot et François Fillon. Oui, vautrés dans le canapé, nous étions un peuple de fainéants, dépensiers, inconscients, demandant toujours plus à un Etat hypertrophié, creusant la dette et faisant de ces fameux «prélèvements obligatoires» des sommets himalayens. François Fillon s'employait donc à nous réduire par une arithmétique à l'attention des mongolitos d'école primaire : 60+2=62 donc 65+2=67. Et tout irait mieux.

Et la parole fut accordée à Ségolène Royal. La République illustre, celle des frontons de cette même école primaire, déboula sur le plateau d'«A vous de juger». La Libération, le Conseil national de la résistance, la Sécurité sociale, la lutte «dos au mur» face au «Kâââââpital», face aux «patrons», aux banques et aux fonds de pension «tapis dans l'ombre», le dernier conseil des ministres de François Mitterrand, Sarkozy en porte-bidon du Medef... C'est la gauche des grandes heures et quelques-uns de ses mythes fondateurs que Ségolène Royal brandit du haut de sa barricade télévisuelle.

Les ricanants ricaneront. On remarquera aisément que Ségolène Royal, soudain transformée en porte-parole du parti socialiste, opéra un hold-up habile sur le programme du PS, fit un peu trop parler les morts (François Mitterrand), se prononça pour une réforme adoptée «par référendum» – ce que le PS n'a pas vraiment retenu – et s'engagea «solennellement», les yeux au fond de la caméra, à l'abrogation de la réforme Fillon-Sarkozy et au rétablissement de la retraite à 60 et 65 ans si les socialistes parvenaient au pouvoir en 2012. Abrogation qui divise les responsables socialistes, François Hollande se gardant de s'engager sur ce chemin, sans même parler de Dominique Strauss-Kahn.

Ségolène Royal est de retour. Elle a retrouvé cette parole et ce positionnement qui déstabilisent les appareils et laissent cois ou furieux les observateurs. « On peut aussi demander aux Français de décider s'il faut ou non supprimer la pluie au printemps», enragea Alain Duhamel. Balayer les comparaisons internationales ; jongler avec une batterie de chiffres contraires à ceux du premier ministre ; transformer le journaliste-revenant Jean Boissonnat (autre surprise de ce débat...) en agent propagandiste de Fillon et du Medef. Il fallait un certain souffle... Et cette brise ébouriffa un peu une morne soirée s'achevant par un pathétique Eric Woerth, condamné à un bref duplex depuis l'Assemblée sur le coup de 23 heures pour assurer que puisque «l'on vit plus longtempset tant mieux ! –, il faut accepter de travailler un peu plus longtemps».

Avec ses mots à elle, Ségolène Royal a taillé en pièces les injustices à facettes multiples d'une réforme qu'il faudra – de l'aveu même de François Fillon – remettre sur le métier... dans huit ans.

Son ambition est claire : parler, par-dessus les dites "élites" et les appareils, aux classes populaires, "aux ouvriers et aux employés", cibles de la "guerre sociale" déclarée par ce pouvoir. Ces mots sont-ils entendus ? Ce n'est pas sûr. Mais si cela s'avérait le cas, la volonté présidentielle intacte de Ségolène Royal trouvera une fois encore quelques débouchés dans un parti socialiste qui ne sait plus sur quel ton parler au pays.

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 09:00

 

Ségolène ROYAL fait mouche :

"Et taxer les pauvres, c’est le miracle ?"

Source : Philippe ALLARD, de DA-PARIS  -  le 10 septembre 2010

 

Dans l’émission "A vous de juger" sur France 2 :

Après la séance dendormissement collectif menée par le premier ministre, François Fillon, qui a joué la scène classique du répertoire gouvernemental : "tout va très bien braves gens, dormez tranquille !" Ségolène Royal est intervenue pour réveiller les Français et lancer lassaut contre le palais des mille et une nuits

De suite, elle a replacé le débat sur l'enjeu essentiel : la remise en cause de notre système des retraites vise à offrir aux rapaces de la finance la main mise sur les retraites des salariés. Cest la réforme du Medef! La socialiste a très clairement expliqué que progressivement, les Français ne feront plus confiance en la retraite par répartition et se tourneront vers des officines privées.

 

Puisque l'entrée dans la vie active recule, puisque les phases de chômage se multiplient, puisque les seniors sont virés des entreprises, progressivement les Français ne croiront plus à la retraite par répartition. Nous allons entrer alors dans le chacun pour soi en donnant aux prédateurs financiers nos retraites.

Faisant référence à François Mitterrand, elle a rappelé que "le dos au mur" la gauche doit résister pour maintenir, face à la droite et au grand capital, notre capital commun.

 

Condamnant la réforme injuste du gouvernement faite sans réelle concertation avec les partenaires sociaux et les Français, Ségolène Royal, avec les socialistes, sest engagée "solennellement" à restaurer la liberté de partir à la retraite à 60 ans. Pour financer nos retraites et notamment la prise en compte de la pénibilité du travail, la socialiste veut taxer davantage le capital pour une réforme plus juste qui garantisse une meilleure répartition des richesses produites dans notre pays.

A la remarque d’Arlette Chabot " taxer les riches, c'est le miracle ?", sa réponse a fait mouche : "et taxer les pauvres, c'est le miracle ?"

le chat - très riche

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11 septembre 2010 6 11 /09 /septembre /2010 08:00

 

Ségolène ROYAL le jeudi 9 septembre sur France2 : 

 

Ségolène Royal sur les retraites - 1
envoyé par Dailygratuit

 

 

Ségolène Royal sur les retraites - 2
envoyé par Dailygratuit

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 18:00

 

La sentence vient d'un journal ouvertement libéral et convaincu aux vertus de la finance !
Mais attention, il montre sa déception envers un président timoré, qui pourtant fut "grand" (!!!). 
Désamour donc, constatant que "la réforme des retraites défendue par le président est bien trop timide, un leader plus courageux aurait repoussé encore plus loin l'âge légal de la retraite" !!!
.
Cela dit, depuis des mois, et de tous bords politiques, monte la même image : celle d'un homme qui a perdu le contrôle, qui n'est pas rentré dans les habits de la fonction présidentielle.
.
Nous sommes quand même un certain nombre à penser qu'il n'était pas taillé pour le rôle. 
Pas assez d'envergure.
Du culot oui, un sacré bagout, de la com, beaucoup de numéros de boni-menteur ... et donc un nez qui s'allonge de plus en plus. 

Un-president-retreci---The-economist.jpg 

Pour "The Economist", Nicolas Sarkozy est

un "président rétréci"

Source : LEMONDE.FR  -  le 9 septembre 2010

 

"L'incroyable président qui rétrécit" Le titre barre la "une" du très sérieux hebdomadaire britannique The Economist à paraître vendredi 10 septembre. On y voit une Carla Bruni pimpante suivie par un chapeau de Napoléon muni de courtes jambes. On devine un Nicolas Sarkozy enseveli par un couvre-chef trop grand pour lui. Dans la lignée de certaines "unes" humoristiques, le visuel n'en est pas moins clair :

Nicolas Sarkozy a perdu aux yeux de l'influent journal sa stature présidentielle.

 

L'éditorial qui accompagne un dossier sur un bilan de la présidence Sarkozy est tout aussi clair : "Un peu plus de trois ans après le début de son mandat de cinq années, Nicolas Sarkozy semble être l'ombre du réformateur qu'il a été sur les questions sociales."

[ euhhh ... je demande à voir !!! ]

 

Et de citer pêle-mêle toutes les difficultés et erreurs stratégiques auxquelles est confronté le président français. Question des Roms, baisse dans les sondages, séries de scandales, "même son propre camp commence à douter de lui pour la présidentielle de 2012", note l'éditorial.

Le journal est clair, il voudrait revoir le "grand Sarkozy" qui osait dire aux Français ce qu'ils ne voulaient pas entendre : qu'il faut travailler plus dur. Pour lui, la réforme des retraites défendue par le président est bien trop "timide", et "un leader plus courageux aurait repoussé encore plus loin l'âge légal de la retraite", insiste l'hebdomadaire, qui réclame plus de réformes encore. "Le Sarkozy timide et réactionnaire d'aujourd'hui ne verrait peut-être pas grand avantage à des réformes plus profondes. Mais son alter ego d'hier comprendrait peut-être qu'il n'a pas grand-chose à perdre à essayer." 

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