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17 novembre 2009 2 17 /11 /novembre /2009 12:00

Ségolène ROYAL invitée du Grand Journal
Source : site Désirs d'Avenir  -  le 16 novembre 2009


Ce mardi 17 novembre, Ségolène ROYAL sera l'invitée du Grand Journal sur Canal+, à partir de 19h.

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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 07:00

Un jour, un destin :
Ségolène ROYAL, mardi 20 octobre sur France 2

L’émission "Un jour, un destin" de Laurent Delahousse sur France 2, mardi 20 octobre à 20h35, sera consacrée à Ségolène ROYAL.

Document inédit de 2 heures.

La vidéo bande-annonce :

 

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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 10:00

Le dimanche 11 octobre 2009, Ségolène ROYAL était l'invitée du Grand Jury RTL LCI


Ségolène Royal au Grand Jury RTL LCI
envoyé par  segolene-royal

Sur Obama  : ce prix Nobel sera une pression supplémentaire et positive pour lui et pour les USA,. Sur l'Afghanistan, tout son soutien militaire aux américains s'il le faut pour éradiquer les bases du terrorisme.

Sur les affaires Mitterrand et Polanski : la loi doit s'appliquer à tous quel que soit son statut social. C'est le président qui nomme son ministre, c'est à lui d'apprécier la situation. Pas de condamnation des camarades socialistes : il  est normal d'avoir des opinions parfois personnelles sur un sujet aussi sensible.
Pour lutter contre la délinquance sexuelle il y a d'autres pistes que la suppression de la détention anticipée. Mais cela demande un vrai suivi social et psychologique comme c'est le cas au Québec par exemple. Bref un investissement dans les services publics de la prison et de la santé.

Sur l'économie et le social : rappel de la souffrance actuelle en entreprise. Que ce soit pour les salariés ou pour les patrons de PME qui n'ont toujours pas reçu de soutien bancaire même après les dernières mesures qui ne concerneront que très peu d'entre elles.
Là aussi d'autres pistes possibles comme l'orientation industrielle vers une croissance verte et la rentrée des pouvoirs publics au sein du conseil d'administration des banques comme en GB. La fin des taxes sur tout et n'importe quoi tout en remettant de le justice sociale et fiscale dans ce pays.

Alors que Mougeotte tenait son satisfecit sarkozyste de la hausse de consommation : la structure de cette hausse est basée notamment sur les produits primaires comme l'alimentation et une baisse sur les produits culturels, signe d'une société qui se replie sur l'indispensable.

Sur l'éducation : le droit à l'expérimentation concernant la valorisation financière pour les classes d'élèves assidus, tout en proposant d'autres pistes plus efficaces comme les internats relais et les tuteurs d'élèves décrocheurs du système.

Enfin sur le parti socialiste : réitération de sa demande pour Kamel Chibli; c'est cela la rénovation par la preuve. Elle n'a pas besoin d'être à l'intérieur du Bureau National pour être utile au parti. Rappel, avec une pointe d'ironie, qu'elle était présente lorsque le parti avait besoin d'elle, comme lors du dernier meeting européen.

A noter qu'était présente autour d'elle toute son équipe et notamment Jean-Pierre MIGNARD et Pierre BERGE. A bon entendeur ...
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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 11:00

Ségolène ROYAL était invitée du Grand Journal sur Canal+
le mercredi 30 septembre 2009


envoyé par  segolene-royal
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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 19:00

Mercredi 9 septembre 2009,
Ségolène ROYAL sera l'invitée de l'émision
"Les 4 Vérités" à 7h40 sur

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30 août 2009 7 30 /08 /août /2009 07:00

Dimanche 30 août 2009,
Ségolène ROYAL sera interviewée au JT de 20 heures sur

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10 mai 2009 7 10 /05 /mai /2009 09:00

Encore une photo légèrement truquée ... les bras m'en tombent !!!

Normal ! Une femme à 4 bras pour un homme à 6 cerveaux !!!

Le couple Sarkozy en Espagne fin avril 2009

Voir le site Marianne2 : Carla Sarkozy : abracadabra… et les journalistes sont aveugles

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8 mai 2009 5 08 /05 /mai /2009 17:00


PS : le problème avec Ségolène

par Gérard GRUNBERG, Directeur de recherche au CNRS / Sciences Po
www.telos-eu.com   



Chaque jour qui passe, le Parti socialiste paraît plus incapable de gérer sa relation à Ségolène Royal.
Le répit de Reims, qui a permis aux anti-ségolénistes de conserver la direction du parti, n’a été que de courte durée. Certes, la popularité et surtout la crédibilité de l’ancienne candidate socialiste à la présidence de la République sont en baisse et Martine Aubry a réussi à construire une popularité qui, jointe à l’appui de ceux, nombreux dans le parti, qui veulent faire obstacle à Ségolène Royal à tout prix, la mettent pour l’instant à l’abri d’un danger immédiat. Pour autant, le Parti socialiste est loin d’avoir résolu son problème avec Ségolène. Très loin !
La posture volontairement offensive, voire agressive et provocatrice de Ségolène Royal, la concentration de ses tirs sur la seule personne du président de la République, la manière dont elle construit son personnage comme celui de la "contre-présidente", son intuition, servie par son culot, qui la conduit à privilégier toujours la petite phrase qui sera reprise le jour même par tous les médias, fait d’elle la bête noire de la droite et désormais du centre. Mais elle la place en bonne position pour incarner le radicalisme anti-sarkoziste. Tout son pari, dans cette période de crise, repose sur l’existence d’une volonté générale de rejet de la personne du président de la République lors de la prochaine élection présidentielle, et, alors, de sa capacité à polariser sur son nom l’ensemble de la gauche, de cette gauche qui tiendra personnellement responsable le chef de l’Etat des difficultés du pays.
Totalement indifférente à ce que peut penser ou dire d’elle le Parti socialiste, Ségolène Royal trace sa route. Qui l’aime la suive. Mais les autres… ? C’est ici qu’apparaît dans toute sa clarté l’impuissance qui paraît caractériser l’attitude du Parti socialiste à son égard.
Un jour, il lui emboîte le pas pour la défendre contre "le machisme" dont elle serait victime de la part de la droite. Le lendemain, il se désolidarise de ses provocations. Le surlendemain, il entonne l’air de l’unité dans la perspective des élections européennes. Comme une poule qui a trouvé un couteau, il ne sait pas trop par quel bout la prendre. Il attend, la détestant trop pour l’accepter pleinement mais la craignant trop pour l’attaquer de front.
Et d’ailleurs, sur quel front l’attaquer ? Outre le fait que le Parti socialiste donne toujours la priorité à l’unité, pour de bonnes et de mauvaises raisons, il a toujours privilégié, depuis l’élection présidentielle, l’anti-sarkozisme systématique, toujours convaincu que malgré les défaites de 2002 et de 2007, cette posture reste la meilleure pour revenir au pouvoir (sortez le sortant). Il propose peu, fait peu de compromis, critique souvent de manière polémique alors même que la critique, légitime, pourrait être mieux argumentée et plus convaincante. Bref, entre Ségolène et le Parti socialiste, la posture politique diffère sur la forme mais peu sur le fond. Or sur la forme c’est Ségolène qui gagne, plus à l’aise que Martine Aubry dans les médias, plus libre de sa parole, plus déterminée. Certes, elle peut exagérer, énerver, voire se faire du tort. Mais, en matière d’antisarkozisme, à gauche, elle tient la corde. Dès lors les socialistes oscillent dans leur attitude à son égard entre les fausses embrassades et la critique ronchonne. Comment pourraient-ils l’attaquer de front ? Au nom de quelle ligne politique, de quelle posture de grand parti d’opposition le pourraient-ils, quand, à la veille des élections européennes, dans une crise mondiale d’ampleur considérable, alors que se pose plus encore aujourd’hui qu’hier la question du rôle et de l’avenir de l’Union européenne, le porte-parole du Parti socialiste déclare que l’enjeu principal de ces élections est… de sanctionner Nicolas Sarkozy ?
Dès lors, le Parti socialiste risque de subir le phénomène Royal sans disposer d’aucune réponse jusqu’à l’élection présidentielle. Il peut certes parier sur son usure. Ce pari n’est pas insensé, mais encore faudrait-il qu’il ait son propre discours d’opposition pour combler alors le vide politique à gauche. Si ce pari lui semble ingagnable, la seule chose qu’il puisse tenter alors est de régler d’une manière ou d’une autre, le plus rapidement possible, la question du mode de désignation du futur candidat socialiste à l’élection présidentielle. Ici, le pari à faire est d’une autre importance. Il est de savoir, pour les adversaires de Ségolène Royal, si le plus grand danger pour eux est un vote des militants ou un vote des sympathisants organisé au moyen d’une primaire ouverte.
En admettant que la direction du parti refuse la primaire ouverte, pensant que le vote des militants sera plus facilement hostile à l’ancienne candidate qu’un vote des sympathisants –pari d’ailleurs hasardeux comme a failli le montrer le vote de désignation du Premier secrétaire après le congrès de Reims – le risque est que Ségolène Royal en prenne prétexte pour se présenter en dehors du parti, pouvant alors le détruire à l’occasion du premier tour de l’élection présidentielle, en le déchirant profondément. Certes, une primaire ouverte pourrait ouvrir la voie à la désignation de Ségolène Royal. Mais une telle situation montrerait simplement que le Parti socialiste n’avait aucun candidat sérieux à lui opposer. Si les socialistes se décidaient pour la primaire ouverte, alors il serait temps que les adversaires de Ségolène Royal trouvent le candidat capable de l’emporter sur elle dans une primaire ouverte, candidat qui par sa ligne, sa personnalité, son rapport au parti, soit un(e) candidat(e) crédible. Sinon, la déchirure pourrait avoir lieu également, mais, cette fois, les anti-ségolénistes quittant un parti dont la candidate aurait pu alors s’emparer.
Pour le Parti socialiste, les dangers qui se profilent pour son unité comme pour sa crédibilité sont donc considérables.
Dans ces conditions, l’immobilisme, l’attentisme de ses dirigeants, est incompréhensible. Ou plutôt il est compréhensible s’ils n’ont d’autres idées ou personnalité à mettre en avant que celles de Ségolène Royal. Finalement, le problème avec Ségolène, c’est peut-être bien le Parti socialiste lui-même !
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27 avril 2009 1 27 /04 /avril /2009 17:00

Pourquoi le sondage de Viavoice a t-il si peu d'écho ???

On trouve sur internet quelques éléments, plutôt succincts, bizarre. Après le G20, combien d'articles, de commentaires dans la presse pour souligner que Sarko profitait logiquement (!) des magnifiques résultats obtenus, particulièrement sur la moralisation du système financier ...


Quelque chose doit gêner, quelque part. J'y suis : de nouveau, Ségolène ROYAL apparaît comme "meilleur opposant" à Sarkozy. Devant Besancenot, Bayrou, Aubry.
Ce qui provoque un réflexe bizarre sur Nouvelobs, qui titre :
"Bayrou meilleur opposant qu'Aubry"
Imaginez les gros titres sur Ségolène si cette folle (dixit Lefebvre) était reléguée à la 4ème place !

Sarkozy recule de 3 points à 40% de satisfaits

PARIS (Reuters) - La cote de popularité de Nicolas Sarkozy recule de trois points en avril, passant de 43 à 40% de Français satisfaits, selon un sondage Viavoice pour Libération rendu public dimanche.

Au total, 57% des personnes interrogées disent avoir une opinion négative de l'action du chef de l'Etat contre 54% en mars.

.

Interrogés sur le "meilleur opposant" au président de la République, les sondés citent en premier la socialiste Ségolène Royal (29%), puis le leader du Nouveau parti anticapitaliste, Olivier Besancenot (26%) et le fondateur du MoDem, François Bayrou (21%).

Martine Aubry, premier secrétaire du PS depuis le mois de décembre, arrive en quatrième position (19%) devant Dominique Strauss-Kahn (17%) et Dominique de Villepin (10%). 

Le sondage a été réalisé par téléphone du 23 au 25 avril auprès d'un échantillon représentatif de 1.020 personnes.


Sympathisants PS et MoDem disposés à une alliance

 

La majorité des Français est opposée à l'idée d'un gouvernement d'alliance entre le Parti socialiste et le MoDem mais les sympathisants des deux formations la plébiscitent, selon un sondage Viavoice pour Libération rendu public dimanche.

 

La question d'une alliance entre le centre et le PS a été au coeur de la bataille du deuxième tour de la présidentielle, en 2007, et du congrès du PS, à Reims cet automne.

Globalement, 52% des personnes interrogées ne souhaitent pas que le PS et le MoDem dirigent la France ensemble contre 41% qui pensent que ce serait une bonne chose.

Cette perspective a beaucoup plus d'adeptes parmi les sympathisants de la gauche: 56% l'approuvent.

Les sondés se déclarant proches du PS sont pour à 65% et ceux du parti centriste à 64%.

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Voilà qui conforte la justesse de vue de Ségolène ROYAL qui, au Congrès de Reims, face aux manoeuvres orchestrées de ses opposants, au tohu-bohu artificiel sur la question des alliances, avait proposé que les adhérents du PS tranchent la question par un vote.

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25 avril 2009 6 25 /04 /avril /2009 09:00
Bravo les filles !

L’édito politique de Françoise Degois - France Inter  -  le 24 avril 2009


Martine Aubry, la première secrétaire du Parti Socialiste, lance aujourd'hui à Toulouse la campagne du PS pour les élections européennes, sur fond de réconciliation au sommet avec Ségolène Royal.

Les deux femmes défileront ensemble le 1er mai et ce matin, j'ai juste envie de dire "Bravo les filles !" Non pas par idéologie, ou candeur... Qui peut croire aujourd'hui que Martine Aubry et Ségolène Royal s'entendent comme larronnes en foire ? Personne Non !

Bravo car par les temps qui courent, deux femmes qui affichent, même une unité de façade dans cet univers de macho, et ben laissez-moi vous dire que ça fait du bien. Et ne m'en veuillez pas si ce matin, je me lance dans une défense totalement subjective des femmes en politiques.

Prenons le cas médical - si on en croit l'UMP - de Ségolène Royal, qualifiée de folle. Ça évite de dire hystérique, atteinte de délire, priée d'aller se faire interner d'urgence. Voilà grosso modo ce qu'en pensent Frédéric Lefevre et même François Bayrou. J'ai donc été chercher la définition de folle dans un dictionnaire : étrange, imprévisible, bizarre. Bien... Au-delà de la grosse ficelle qui consiste à enfermer l'adversaire dans un registre qui l'abîme inévitablement, je me demande si dans un passé récent, nous n'avons pas assisté à ce type de comportement : bizarre, imprévisible, peu sensé... Je me souviens notamment d'un certain  "casse-toi pauvre con" qualifié par l'UMP de réaction un peu excessive certes mais démontrant la marque d'un franc parler qui honorait le franc parleur.


Je guette aussi les critiques qui montent sur Martine Aubry, notamment sur son absentéisme. Toujours à Lille, jamais à Solférino... elle tient pas la boutique ! Je ne voudrais pas avoir la cruauté de rappeler que sous le règne précédent, il était impossible d'apercevoir à partir de mercredi soir, le moindre costume cravate dans les couloirs de la maison. Et puisqu'on parle d'absentéisme, je ne voudrais pas avoir la cruauté de rappeler le classement récent des députés européens. Tiens, tiens... c'est la socialiste Pervenche Beres, toutes étiquettes confondues, qui arrive en tête. Et, bon dernier... qui ça ? Vincent Peillon, qui a pourtant, reconnaissons-le, une tête de premier de la classe.


Prenons enfin le cas de Rachida Dati, certes très légère sur ce fameux meeting européen... Ça, ça n'arrange pas mes affaires mais qui, après avoir été portée aux nues, essuie depuis des mois les effets disproportionnés de sa répudiation ? Quel homme aurait eu à subir, en l'espace de 3 mois, 2 livres à charge ? Aucun... 

Il n'y a pas d'exception française, apparemment.

Parlons d'Hillary Clinton. Vu d'ici, la campagne des primaires américaines fut digne d'un épisode de la « petite maison dans la prairie ». Combien de photos publiées en critiquant ses rides, sans parler des photo-montages porno et des pancartes à l'entrée de certains meetings sur lesquels on pouvait lire "Repasse ma chemise". Imaginez le ramdam si, à l'entrée des meetings de Barack Obama, on avait eu des pancartes sur lesquelles ont pouvait lire "Cire mes chaussures !"

Oui... Si l'homme noir, selon Nicolas Sarkozy, n'a jamais pris sa place dans l'histoire, que dire des femmes ! On ne reviendra même pas sur ce qu'a subi Angela Merkel en Allemagne, face à ce monument d'élégance, de beauté et de courtoisie dénommé Gerhard Schroeder. Une pensée aussi ce matin pour Tzipi Livni, qui a gagné deux fois des élections et ne gouverne pas. La faute au système, la faute aussi au déluge machiste de la campagne. Procès en incompétence, en indécision, en mauvais caractère... et patati et patata... Exit Tzipi, et place à ce gouvernement israélien qui fait un peu famille Adams ! 

Mais les femmes ne sont pas des anges non plus ...

Dans un monde d'hommes, il faut forcément développer un système de défense et d'attaque qui s'accorde assez peu avec les qualités supposément attribuées aux femmes. Mais trop soumises, trop rebelles, trop masculines, trop féminines, pas assez gentilles, pas assez... le plafond de verre est bien là. Coup de poing après coup de gueule, il finira bien par céder, ça aussi par des images symboliques, comme Martine Aubry et Ségolène Royal ensemble pour le 1er mai.... Bravo les filles !

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