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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 07:00

Je viens de voir le clip que ma camarade Dominique (DA Rueil-Malmaison) a inséré sur son blog.

Un grand merci, Dominique.
D'y avoir pensé, d'avoir déniché ce superbe film sur JAURES.

Avec des phrases inoubliables de cette grande figure socialiste et humaniste,
Avec la magnifique chanson de BREL, interprété par ZEBDA
 
Avec beaucoup d'émotion ...

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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 19:00

Ségolène ROYAL :
Les accusations d’opportunisme,
ça suffit !

Source : site Désirs d'Avenir  -  le 04-09-2009


Gentille coutume, la sorcière au bûcher !

Tous les jours, furieux d’être obligés de s’expliquer devant les Français, la droite, certains verts, certains socialistes et certains journalistes m’accusent de démagogie, d’opportunisme, d’avoir improvisé une position sur la Taxe Carbone.
Non, Je n’ai pas changé d’avis depuis 2007. Lorsque j’ai signé le Pacte Ecologique de Nicolas Hulot c’est avec de très fortes réserves sur la Taxe Carbone comme le prouve la lettre que j’ai personnellement écrite, signée et adressée à Nicolas Hulot le 5 Janvier 2007, pendant la campagne présidentielle.
Comme l’a dit Nicolas Sarkozy a propos de la Taxe Carbone, "un homme politique doit être courageux". Nicolas Sarkozy dénonce "ceux qui disent qu'ils sont pour l'environnement et n'ont pas le courage de l'assumer".
Moi, je dis que le courage en politique, c'est de dire la vérité et de s'expliquer. Quand Nicolas Sarkozy dit que la Taxe Carbone n'est pas un impôt et va servir l'environnement, ce n'est pas la vérité.
Vous trouverez ci-dessous l’intégralité de cette lettre (lire sur le site DA) et dans la dernière page ma prise de position sur la Taxe Carbone.

LETTRE DE SEGOLENE ROYAL A L'ADRESSE DE NICOLAS HULOT  (extrait)
Paris, le 5 janvier 2007


Monsieur le Président,

Vous m’avez invitée, en même temps que les autres candidats à la Présidence de la République, à réagir aux propositions formulées par le Comité de veille écologique.

Je soutiens sincèrement les orientations du Pacte écologique et je vous propose d’aborder ici les principales mesures qui me permettront, si je suis élue, de mettre en œuvre une politique ambitieuse pour le respect de l’environnement et la promotion du développement durable dans notre pays mais aussi à l’échelle planétaire.

.................

Instaurer une taxe carbone en croissance régulière

Une taxe carbone qui s’appliquerait à tous les combustibles fossiles, si j’en ai bien compris la logique, ne me semble pas la meilleure solution dans le contexte énergétique français marqué par une surproduction et une surconsommation d’électricité. Cette taxe risque de favoriser la consommation d’électricité et donne un avantage comparatif indu à la production électronucléaire. Surtout, son caractère indifférencié la rend socialement injuste et difficile à supporter pour les catégories les plus défavorisées de la population auxquelles les responsables politiques doivent garantir l’accès aux énergies et aux technologies propres.

Plutôt que de mettre en exergue la taxe carbone, je propose, puisque c’est l’objectif qui compte, de mettre en place une politique énergétique ambitieuse fondée sur les économies d’énergie, l’efficacité énergétique et la promotion des solutions renouvelables diversifiées et décentralisées. J’intègrerai la transformation du secteur des transports dans cette politique énergétique. La fiscalité - dissuasive et incitative – sera un instrument de cette politique.

Cependant, je retiens l’idée d’engager un débat une taxe additionnelle sur les carburants et le fuel domestique sur le modèle proposé dans le Pacte écologique pour anticiper l’augmentation forte du prix des carburants à laquelle la société doit se préparer. Je veillerai à ce que cette taxation supplémentaire s’intègre dans un schéma de pression fiscale constante et qu’elle s’accompagne de mesures compensatoire pour les populations les moins favorisées pour ne pas entamer leur pouvoir d’achat.

Enfin je commanderai une étude détaillée, dès le début du quinquennat, pour évaluer les impacts sociaux et les effets sur les émissions de CO2 d’une telle mesure afin d’en préciser les contours et les règles d’application.

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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 13:00

L’exécutif de plus en plus fumeux
sur la taxe carbone Ecologie

S
ource : LIBERATION.FR  -  le 4 septembre 2009

Sarkozy contredit Fillon sur le montant de l’impôt vert.

Nicolas Sarkozy aimerait en finir avec la cacophonie autour de la taxe carbone. Pas simple. Il doit encore réfléchir. Et n’hésite pas à contredire son Premier ministre. Dans un entretien au Figaro Magazine, François Fillon avait assuré mercredi que la taxe carbone serait fixée à 14 euros par tonnes de CO2. Mais en fin d’après-midi, hier, le chef de l’Etat a expliqué à Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts, et au représentant d’Europe Ecologie Jean-Paul Besset qu’il n’en était rien.

"Il nous a dit qu’il voulait encore approfondir les consultations", rapportait hier Cécile Duflot, stupéfaite de cette confidence en forme de camouflet pour le Premier ministre. "Il nous a dit qu’il n’avait pas lu" l’interview de son Premier ministre, a ajouté Jean-Paul Besset. Assassin.


"Bonne volonté". Les deux leaders écologistes ont expliqué qu’à 14 euros par tonne, la taxe carbone perdait "toute efficacité"."Le Président nous a répondu que rien n’était arbitré, ni sur le taux, ni sur la progressivité, ni sur le mode de redistribution de la taxe", a dit encore Besset.

Selon lui, "Nicolas Sarkozy a plaidé sa bonne volonté" et il a demandé "l’appui" des écologistes. "Nous soutiendrons les mesures qui vont dans le bon sens", lui ont répondu les deux écologistes. A Matignon, on refusait hier soir de commenter "les propos de Madame Duflot".

L’Elysée s’efforce de banaliser ce qui ressemble pourtant à un sévère désaveu : "Le Premier ministre a donné un ordre de grandeur, mais sur ce sujet, c’est le chef de l’Etat qui fixe les arbitrages".


Rejetée par les socialistes Ségolène Royal et Laurent Fabius, critiquée par plusieurs élus de la majorité, la taxe carbone fait donc polémique jusqu’au sein de l’exécutif. Le ministre de l’Ecologie Jean-Louis Borloo martèle que cette Contribution-climat-énergie (CCE) doit être intégralement redistribuée, pour qu’en aucun cas elle ne puisse apparaître comme un impôt nouveau.


"La taxe carbone, je l’assume […], demain c’est trop tard, c’est aujourd’hui qu’il faut prendre des décisions", a déclaré hier matin le chef de l’Etat, en marge d’un déplacement dans l’Orne.

Aujourd’hui, les ministres concernés (Jean-Louis Borloo, Christine Lagarde et Eric Woerth) sont convoqués à l’Elysée pour une réunion. Imprudemment qualifiée de "réunion d’arbitrage" par Christine Lagarde. Encore un couac. L’entourage de Nicolas Sarkozy a aussitôt corrigé : "Il ne s’agit en aucun cas d’une réunion conclusive."


Le feuilleton devrait donc continuer. Même si on se dit persuadé, au ministère de l’Ecologie, que le chef de l’Etat ne veut surtout pas d’une Contribution-climat-énergie perçue comme un impôt nouveau. "Un homme politique doit être courageux", a insisté hier Sarkozy, dénonçant "ceux qui disent qu’ils sont pour l’environnement mais n’ont pas le courage" de l’assumer.


Scepticisme.

Première visée, la socialiste Ségolène Royal, partie en guerre contre un impôt qu’elle juge "injuste" et "insupportable".

Mais dans la majorité aussi, des élus affichent leur scepticisme. Les chefs de file des groupes UMP au Sénat et à l’Assemblée nationale, Gérard Longuet et Jean-François Copé, ont prévenu que les parlementaires n’étaient pas disposés à voter cette réforme les yeux fermés.

La question de la fiscalité écologique sera évoquée aujourd’hui au campus d’été de l’UMP à Seignosse (Landes). Un "tchat géant" est organisé avec de nombreux ministres. Il faudra au moins ça pour éclairer les militants sur la position du gouvernement.

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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 12:00

FILLON AU CHARBON POUR LA TAXE CARBONE ... 
Le jeu de mots n'est pas de moi !
 
Il faut rendre à Chaffoteaux ce qui appartient à Maury !   (ça, c'est de moi, peut-être)


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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 11:00

Marc VASSEUR, blogueur libre (comme moi), n'y va pas par quatre chemins à propos de la rencontre hier entre les Verts et Sarko.

Et "si y'en a qu' ça les défrise ..." (pour parler comme le monsieur qui nous sert pour l'instant de président de la République)  "y z'ont qu'à"  ... se faire une raison !

Plus sérieusement : dans la perspective des élections régionales et tout ça, il serait donc politiquement incorrect de tenir des propos qui pourraient froisser de possibles alliés, ici ou là.
Soit. Mais attention : les Verts peuvent répliquer vertement à ceux qui expriment des positions différentes des leurs, ça c'est possible.
Les tympans de Ségolène ROYAL, par exemple, doivent s'en souvenir : que des douceurs, genre "elle fait de la démagogie ... ce qu'elle dit est idiot" ...

Elle est la seule, c'est vrai, à trouver bien peu de vertus à cet impôt   cette taxe   cette  contribution juste et jugée efficace par la grande majorité des français !!!
(désolé, j'avais préparé l'article avant la parution d'un sondage, qui dit tout le contraire)



Marc VASSEUR, sur son blog, se pose la question :

Cécile Duflot et Europe Ecologie,
nouveaux porte-parole de Sarkozy ... ?

Heureux d'apprendre par la représentante des verts que notre bon Président n'a pas encore tranché sur la taxe carbone...

A l'issue de cette belle rencontre, elle a déclaré "Le président nous a assuré que les arbitrages n'étaient pas rendus ni sur le montant, ni sur les modalités des compensations". "Nous ne sommes pas rassurés mais en tout cas nous sommes toujours déterminés".

C'est tellement chouette... Sarkozy qui réussit la synthèse Nihous-de Villiers-Europe Ecologie ... franchement ?

On dirait que le succès enivre... il faut juste faire attention au coma éthylique...

Ah oui, Vincent Peillon a fait adopter par le Parlement Européen une motion sur le principe d'une Taxe Tobin Verte... Petite précision aux "mal-comprenants".... cela concerne les flux financiers et pas le citoyen de base.... Ca me parait plus intelligent mais bon le dogmatisme a la vie dure même chez les écolos.
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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 10:00

Bon, c'est un point de vue. Ce que je retiens :

- "Qu'on ne se moque pas du monde" ...  trop tard, c'est fait !

- Il ne fallait pas un "impôt indolore" ... ouais, "fais-moi mal !" semble souhaiter Christophe  Barbier

- et il prévient : 14 euros la tonne de CO2 en première année ... vous revenez en 2ème année avec 40 ... et puis 60 ... le temps de changer de comportement
Il est sympa quand même, il nous averti !!!  


Edito sur le site Internet de l'Express :


Taxe carbone insuffisante
envoyé par LEXPRESS

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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 09:00

Petite explication sur le titre. C'est une allusion à l'un de ces commentaires, délirants la plupart du temps, que l'on trouve sur les journaux en ligne.
Donc, un intervenant bave sur "le français", nous expliquant qu'en refusant de payer 300 euros par an (c'est l'exemple qu'il donnait), il montre là sa radinerie.

D'ailleurs, cette taxe-qui-n'est-pas-un-impôt (c'est nouveau, ça vient de sortir !) serait redistribuée aux ménages ...

Bein oui quoi, 300 euros c'est une broutille, bande de radins ! Je saisis ma calculette :
- prenons un salaire mensuel net de 1200 euros
- le patron de ce radin l'augmente généreusement de 1,5% sur un an, ce qui fait 216 euros
- pactole faramineux, certes ... mais complètement bouffé par la taxe hyper-écolosociale du plus social des gouvernements !

Elle est pas belle la vie ???

Deux tiers des Français
opposés à la taxe carbone

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 4 septembre 2009

L'opposition à cet instrument fiscal est largement partagée, quelles que  soient  les  opinions politiques des  personnes interrogées. 73% des Français estiment que la taxe sera inefficace pour diminuer la consommation d'énergie.

A la veille d'une réunion présidée par Nicolas Sarkozy sur les modalités de la mise en place de la taxe carbone prévue en 2010, un sondage réalisé pour Europe 1 et rendu public jeudi 3 septembre, révèle que deux tiers des Français sont opposés à cette fiscalité.
L'opposition à cet instrument fiscal, dont l'objectif affiché est d'encourager des comportements plus "verts", est largement partagée, quelle que soit la couleur politique des personnes interrogées.
Les sympathisants de gauche (67% d'opposants), de droite (63%), du MoDem (69%) ou même des Verts (60%) se prononcent contre.
Le regard porté sur cette taxe carbone varie cependant assez nettement en fonction de la catégorie sociale: les ouvriers s'y opposent massivement (à 75%), contrairement aux cadres, plus partagés (57%).

Les entreprises ne font pas assez d'efforts
En outre, près de trois Français sur quatre (73%) estiment que cet instrument serait inefficace pour diminuer la consommation d'énergie.
Enfin, une très large majorité de Français (63%) estime que, d'une manière générale, les particuliers font assez d'efforts pour consommer moins d'énergie. Plus d'un sur deux juge en revanche que les entreprises ne font pas assez d'efforts pour consommer moins d'énergie d'une part, et pour proposer des produits économes en énergie et à des prix abordables d'autre part.

- Enquête TNS Sofres/Logica réalisée par téléphone les 1er et 2 septembre 2009, auprès d'un échantillon national de 1000 personnes représentatif de l'ensemble de la population française âgée de 18 ans et plus.
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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 08:00

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4 septembre 2009 5 04 /09 /septembre /2009 07:00

Et toc ! Z'ont bien l'air cons, les UMPistes et ségophobes patentés !!!

Ségolène Royal a reçu Christophe NUTTALL,
directeur des partenariats innovants du PNUD (ONU)

Source : site Désirs d'Avenir  -  le 3 septembre 2009

M. NUTTALL : "Si je suis là, c'est que nous confirmons
les propos de Mme ROYAL"


Ce Jeudi 3 Septembre, Ségolène ROYAL a reçu à Paris Christophe NUTTALL, directeur de la plateforme pour les partenariats innovants du PNUD (ONU) pour une réunion de travail d'une heure destinée à préparer sa participation à la réunion de New York sur le réchauffement climatique, fin Septembre. Une réunion préparatoire du Sommet de Copenhague.

A l'issue de cette réunion, Ségolène ROYAL a tenu un point presse et répondu aux questions des journalistes.


 

A la suite des inepties publiées dans les commentaires sur les journaux en ligne (c'est consternant !), on peut encore s'attendre à tout : certains handicapés des boyaux de la tête iront même -- si, si ! -- jusqu'à écrire ... allez, je donne des exemples, mais je n'ai pas leur imagination débordante :

- la folle du Poitou a donc réussi à ensorceler M. Nuttall pour poser devant la presse !

- mais vous ne voyez pas que c'est une photo truquée ?

- "l'ambassadrice" est contente, mais le monsieur semble crispé, ça cache quelque chose !

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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 17:00


Cumul des mandats : pourquoi les élus résistent
Source : LEMONDE.fr  -  le 1er septembre 2009


C'EST UN SUJET ULTRASENSIBLE. En annonçant, vendredi 28 août à La Rochelle, qu'elle proposerait aux militants socialistes de se prononcer, en octobre, sur la fin du cumul des mandats, Martine Aubry a remis sur le tapis un de ces sujets qui font le charme de la vie politique française et sont aussi sa plus grande plaie.


Alors qu'en Allemagne, au Royaume-Uni, en Italie, seuls 20% des parlementaires détiennent un autre mandat, en France, malgré la loi du 5 avril 2000 qui a déjà limité le cumul le chiffre est proche de 80%.

Selon les calculs du PS, 80 députés, sur les 185 que compte le groupe, cumulent leur mandat avec un mandat exécutif local : 64 sont aussi maires, douze présidents de conseil général, quatre présidents de région. Seule une vingtaine d'entre eux se consacrent pleinement à leur mandat parlementaire. Les autres sont conseiller municipal, général ou régional sans responsabilité exécutive.

Parmi les 99 sénateurs socialistes, ils sont 43 à cumuler avec un exécutif (25 maires, 14 présidents de conseil général, 4 présidents de région). Et une vingtaine à n'avoir qu'un mandat unique.


L'UMP n'est pas moins cumularde : 160 députés sur 308 et 82 sénateurs sur 151 cumulent leur mandat parlementaire avec un exécutif local.


Autre type de cumul : la majorité des conseillers généraux exercent un autre mandat local qui s'ajoute souvent à une présidence de structure intercommunale ou de société d'économie mixte (SEM). Le PS, qui doit débattre mardi 1er septembre lors d'un bureau national, ne devrait pas étendre son interdiction jusque-là.


S'il parvient à appliquer l'interdiction du cumul mandat parlementaire/exécutif local, ce sera déjà beaucoup, car les élus résistent. Avec le cumul, ils peuvent additionner les indemnités (dans un plafond équivalent à 1,5 fois l'indemnité parlementaire), asseoir leurs pouvoirs politiques en éliminant leurs rivaux, et renforcer leur popularité.

Et il n'est pas certain qu'ils trouvent d'autres moyens de maintenir leurs pouvoirs. La loi sur la parité a ainsi vu nombre d'hommes, écartés des listes électorales pour faire place aux femmes, " basculer " vers les organisations satellites des collectivités locales (SEM).


Une limitation du cumul ouvrirait le champ du renouvellement du personnel politique. Et permettrait de pallier notamment l'absentéisme parlementaire. En avril, seuls 36 députés avaient participé au vote du projet de loi Hadopi. Le socialiste Paul Quilès s'en était ému sur le site Internet Rue 89.
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