SECOND PORTE-AVIONS
LE MINISTRE HERVE MORIN FAIT MARCHE ARRIERE
Pourtant durant la campagne des présidentielles Nicolas Sarkozy avait déclaré qu'il restait très attaché au projet d'un second porte-avions.
Aujourd'hui les premières estimations ont, néanmoins,démontré qu'il serait impossible de tenir dans l'enveloppe budgétaire fixée, soit 2,5 milliards d'euros, sans renforcer la coopération avec les Britanniques.
Pour mémoir Ségolène ROYAL avait pourtant été critiquée lors de la campagne présidentielle, puisqu'elle avait fait un choix de négocier une mutualisation des moyens techniques et financiers avec la Grande-Bretagne.
En attendant le projet fait actuellement l'objet d'études en coopération avec la Grande Bretagne.
Aujourd'hui c'est plutôt une marche arrière toute... puisque le dossier est renvoyé à l'automne.
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