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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 15:00

la-corrida-est-une-torture.jpg

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21 septembre 2012 5 21 /09 /septembre /2012 10:00

 

BREL : "Les taureaux s'ennuient le dimanche, quand il s'agit de souffrir pour nous" 

Les Toros - Concert 1964

 

CABREL : "Je ne pensais pas qu'on puisse autant s'amuser autour d'une tombe "

La Corrida

 

Après la décision du Conseil Constitutionnel sur la tauromachie,

RAPPEL DE MON BILLET DU 12 AVRIL : 

Sur un point, la plupart des candidats hésitent à "prendre le taureau par les cornes" : :

 

Pas une priorité des français, certes. Et pourtant, côté humanité ...

Echangeant avec un ami avant de mettre en ligne ce billet, cet ami m'écrivait :

"Ne pas prendre position contre la corrida, c'est accepter que continue la barbarie. Et avoir besoin des voix de barbares ne donne pas vraiment une idée noble de la politique."

Je partage avec lui ce point de vue.

 

Tauromachie : qu'en pensent les 10 candidats ?

Source : LaProvence.com  -  le 7 avril 2012

 

Alors que le Feria de Pâques bat son plein ce week-end à Arles, La Provence décrypte la positions des 10 candidats à la présidentielle sur la tauromachie

Entre les garants de la tradition et les défenseurs de la cause animale, les positions sont inconciliables. Les premiers ne comprennent pas que l'on puisse remettre en cause la corrida. Les seconds s'offusquent des souffrances infligées aux toros.

À quelques jours du premier tour de la présidentielle, c'est aux candidats de jouer les arbitres. Mais, si quelques-uns s'engagent, dans un sens ou dans l'autre, il y a aussi ceux qui esquivent, dans l'idée de ne se fâcher ni avec les "pro", ni avec les "anti".

"Un manque de courage politique", dénonce Claire Starozinsnki, fondatrice de l'alliance anticorrida, qui met dans le même panier les candidats de droite comme de gauche. Car avec la corrida, il faut oublier les clivages politiques traditionnels, nous explique Francis Wolff, philosophe et auteur du livre "50 raisons de défendre la corrida". Chacun sa sensibilité. Voici donc celle des dix candidats à la présidentielle.

Lire  ICI

 

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18 septembre 2012 2 18 /09 /septembre /2012 12:00

jean-louis-bianco.jpg 

 

 

Jean-Louis Bianco arrête la politique
Source : NouvelObs.com  -  le 13 septembre 2012

Le président socialiste du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence, ancien ministre, passe le flambeau pour se consacrer à sa famille.

 A 69 ans, l'ancien ministre Jean-Louis Bianco, actuel président PS du conseil général des Alpes-de-Haute-Provence, annonce jeudi 13 septembre qu'il arrête la politique, une décision saluée par Ségolène Royal, dont il est proche, comme "le geste d'un homme libre".

"Je souhaite passer plus de temps avec ma femme, mes enfants et mon petit-fils. Il faut savoir passer la main, à d'autres désormais de reprendre le flambeau", déclare l'ancien secrétaire général de l'Elysée, se disant "fier du chemin parcouru", lors d'une conférence de presse à Digne-les-Bains.

Député de la 1ère circonscription du département de 1997 à juin dernier, l'ancien ministre, sous les gouvernements d'Edith Cresson et de Pierre Bérégovoy, ne commente pas plus sa décision, qualifiée de "mûrement réfléchie", se contentant de lire un communiqué.

Trente ans de politique

"J'ai décidé de renoncer, à compter du 1er octobre, à mon mandat de conseiller général et ma fonction de président du conseil général", précise-t-il, soulignant qu'il était "engagé dans l'action militante depuis (son) plus jeune âge, dans la vie politique depuis plus de 30 ans".

En janvier, il avait annoncé qu'il ne solliciterait pas un nouveau mandat de député et soutiendrait la candidature de son suppléant Gilbert Sauvan, premier secrétaire de la fédération du PS dans les Alpes-de-Haute-Provence. Ce dernier a été élu le 17 juin avec 58,60% des voix.

Né à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) en 1943, marié et père de trois enfants, Jean-Louis Bianco a été secrétaire général de l'Elysée de 1982 à 1991, puis ministre des Affaires sociales du gouvernement Cresson et ministre de l'Equipement du cabinet Bérégovoy.

Conseiller régional de 1992 à 1998, il était entré en 1994 à l'assemblée départementale -qu'il préside depuis mars 1998- et avait conquis la mairie de Digne-les-Bains en 1995, avant d'en démissionner en 2001 pour cumul des mandats.

Royal salue un responsable d'une "grande envergure politique"

Proche de Ségolène Royal, il avait été son codirecteur de campagne lors de l'élection présidentielle en 2007, avant de la soutenir lors des primaires socialistes à l'automne 2011.

Interrogée, Ségolène Royal rend hommage à Jean-Louis Bianco, un "responsable" d'une "grande envergure politique" et d'une "rare simplicité". "Une fois de plus, son geste est celui d'un homme libre", dit-elle.

"C'est un ami d'une exceptionnelle fidélité qui date des années 1980 à l'Elysée, un responsable politique d'une grande droiture qui a exercé tous les mandats et toutes les responsabilités et qui, malgré sa grande envergure politique, a toujours gardé une rare simplicité, vertu unique dans le monde politique", ajoute-t-elle.

"Une page se tourne, mais Jean-Louis Bianco fait une nouvelle fois le bon choix : celui de la vie", commente Christophe Castaner, député PS des Alpes-de-Haute-Provence. Le maire UMP de Sisteron, Daniel Spagnou, dit lui "regretter" la décision de Jean-Louis Bianco, "un homme avec lequel nous pouvions toujours discuter".

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 08:00

 

Claude Dilain, sénateur PS de Seine-Saint-Denis :

"La proximité avec ses électeurs,

ça ne dépend pas d'une fonction" 

 

Des mesures transitoires ?

Attention, "en France, le transitoire peut durer longtemps" !!!

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24 juillet 2012 2 24 /07 /juillet /2012 14:00

la girouette politique 

Cumul : rien ne serait plus grave

que trahir la parole donnée

par Chaynesse Khirouni, députée (PS)

de Meurthe-et-Moselle 

 

La question du cumul des mandats des parlementaires avec des fonctions dans un exécutif local a souvent été au cœur de nos débats. C’est devenu un véritable serpent de mer. 

Une nouvelle députée 

Chaynesse Khirouni a été élue en juin députée (PS) de Meurthe-et-Moselle. A travers cinq lieux, elle nous avait raconté son itinéraire politique en février dernier.

Nous voilà enfin au pied du mur. Souvent annoncée, toujours différée, cette réforme profonde de la vie publique est maintenant une impérieuse nécessité. Nous devions nous y engager pour les régionales, puis pour les sénatoriales, puis après les élections législatives.

Nous allons enfin rompre avec cette "exception culturelle française". Faut- il rappeler qu’aucune autre des grandes démocraties ne se trouve dans une situation comparable à la nôtre ? Comme le soulignait Paul Quilès, en avril 2009, dans un article publié sur Rue89 :

"Cette “particularité” française s’est accentuée sous la Ve République : en 1936, environ 33% des députés exerçaient un mandat local ; sous la IVe République, ce chiffre est monté à 40%."

Aujourd’hui, plus de 80% des parlementaires français sont en situation de cumul, contre 10% de nos homologues allemands ou 15% des représentants italiens.

Avec l’élection de François Hollande à la présidence de la République et l’arrivée d’une nouvelle majorité à l’Assemblée, nous devons nous engager, sans attendre plus longtemps, à changer vraiment le visage de notre démocratie.

Le visage de la société française actuelle

Durant cinq ans, nous n’avons eu de cesse de dire combien notre République avait été abaissée, combien il fallait rétablir un équilibre nécessaire entre l’exécutif et le législatif, combien il fallait lutter contre la concentration du pouvoir entre les mains d’un seul homme.

Or, si nous souhaitons un Parlement plus fort, nous devons aussi faire en sorte que notre Parlement soit plus représentatif. Nous ne pouvons plus nous satisfaire des lacunes actuelles en termes de parité, de diversité sociale, ou de renouvellement des générations qui sont la conséquence directe du cumul des mandats et des fonctions.

Enfin, le niveau d’abstention et la poussée de l’extrême droite, lors du dernier scrutin, témoignent d’une défiance qui s’accroît envers la représentation nationale. Il nous faut entendre ce message. Nos concitoyens aspirent à ce changement.

Ce qui a été une norme ne l’est plus. Ce n’est plus l’époque. Nos concitoyens sont à juste titre plus exigeants. Nous devons impérativement répondre à cette attente en matière de renouvellement de la classe politique et de nos pratiques démocratiques.

L’enjeu est de permettre une représentation plus conforme au visage de la société française actuelle.

Le non-cumul dès le 1er octobre 2012

Comme le montre une récente enquête de l’Ifop pour Acteurs Publics, 92% des personnes interrogées approuvent l’engagement pris par le chef de l’Etat d’interdire à un député ou à un sénateur de cumuler ses fonctions avec un mandat exécutif local (maire, président de conseil régional, de conseil général, de communauté de communes, de communauté urbaine, etc.).

J’entends pourtant que certains de nos amis souhaitent rouvrir ce débat. Faut-il rappeler que cette question a d’ores et déjà été tranchée, à de multiples reprises, à l’intérieur du Parti socialiste ? On rappellera simplement ces votes :

  • celui du 1er octobre 2009, où 71% des militants ont répondu oui à la question : « Etes-vous favorables, comme étape vers le mandat parlementaire unique, à l’impossibilité de cumuler, sans attendre le vote d’une loi, dès les prochains renouvellements un mandat de parlementaire avec une présidence d’exécutif local ou la participation à un exécutif ? » ;
  • celui du 24 juin 2010, où les militants socialistes ont approuvé le projet de rénovation des statuts et du fonctionnement du Parti socialiste à une très large majorité de près de 77% ;
  • enfin, celui du 19 mai 2011, où plus de 95% de nos militants ont approuvé le projet socialiste pour 2012.

Comme l’a rappelé le président de la République le 12 octobre 2011, le Parti socialiste se doit d’appliquer ces dispositions anticumul dès le 1er octobre 2012 sans attendre le vote de la loi.

Ne pas rompre avec la parole donnée

J’entends pourtant certains de nos amis avancer des arguments afin d’attendre l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi en 2014 pour mettre en pratique cet engagement :

  • "Nous n’avons pas le temps de préparer la succession." Depuis 2008, Martine Aubry a fait de la rénovation la priorité de son action à la tête de notre parti. De plus, Jean Marc Ayrault a mis en œuvre le non cumul pour les ministres de son gouvernement. Ce qui a été possible pour eux l’est tout autant pour les parlementaires, d’ici au 1er octobre 2012.
  • "Nous ne pouvons pas délaisser notre ancrage local." Cet argument ne tient pas. Faut-il avoir une fonction exécutive pour rencontrer nos électeurs ? Faut-il être maire pour rencontrer des chômeurs, des salariés, des entrepreneurs, des parents inquiets pour l’avenir de leurs enfants ?
  • "Nous ne pouvons pas nous désarmer unilatéralement face à la droite avant 2014." Pour ma part, j’estime que rien ne serait plus grave pour la gauche que de trahir la parole donnée.

Tous les candidats du Parti socialiste se sont engagés, par écrit, à se démettre de leurs fonctions dans les exécutifs locaux dans les trois mois suivant l’élection.

Pouvons-nous, à l’heure où il nous faut redresser le pays, débuter cette mandature en rompant avec la parole donnée ?

Parce que la gauche a toujours porté haut les valeurs de la République, elle ne doit pas renoncer à transformer les institutions pour construire une République exemplaire.

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21 juillet 2012 6 21 /07 /juillet /2012 17:00

 

Commission par-ci, commission par-là 

LEMONDE.fr  -  le 17 juillet 2012 

 

Dix ans après son élimination à l'élection présidentielle de 2002, Lionel Jospin fait un certain retour sur la scène politique. Dans son intervention télévisée du 14-Juillet, François Hollande a annoncé la création d'une commission " chargée de la rénovation et de la déontologie de la vie publique ". Paritaire, composée de quatorze membres - hauts fonctionnaires, universitaires, magistrats -, elle sera présidée par l'ancien premier ministre, qui aura à ses côtés une ancienne ministre UMP, Roselyne Bachelot.

La " commission Jospin ", qui se réunira dès le 25 juillet, doit rendre ses travaux début novembre. Elle se penchera sur le statut pénal du chef de l'Etat, la réforme des scrutins législatif et sénatorial, le non-cumul des mandats. Et elle " définira des règles déontologiques de nature à garantir la transparence de la vie publique ".

Le choix de M. Jospin, qui vient d'avoir 75 ans, n'est pas en soi contestable. L'ancien dirigeant du PS a toujours été vigilant sur les questions d'éthique. En 1997, il avait interdit à ses ministres de cumuler leurs fonctions avec celles de maire.
C'est l'idée même d'une commission sur des questions sur lesquelles M. Hollande avait lui-même tranché durant sa campagne qui apparaît inutile.

Le président s'était engagé à réformer le statut pénal du chef de l'Etat, à porter à dix ans la durée d'inéligibilité des élus condamnés pour faits de corruption, à faire voter une loi sur le non-cumul des mandats, à introduire " une part de proportionnelle " à l'Assemblée. Dans sa fameuse anaphore, le 2 mai, face à Nicolas Sarkozy - " Moi président de la République... " -, M. Hollande avait précisé ses engagements, soulignant que ses ministres, à qui il a fait signer une " charte de déontologie ", " ne pourraient pas cumuler leurs fonctions avec un mandat local ".

Dès lors que le cadre de cette " République exemplaire " est fixé, à quoi bon une telle commission ? M. Hollande est un adepte de la concertation, et il a raison. Mais le pouvoir semble frappé d'une " commissionnite aiguë ", comme si la démocratie ne pouvait avancer qu'au rythme des commissions. Pour ne prendre qu'un exemple, la conférence sociale des 9 et 10 juillet a débouché sur dix commissions, comités de pilotage et groupes de travail.

"Si vous voulez enterrer un problème, nommez une commission ", disait Clemenceau. En 1963, le général de Gaulle jugeait que l'essentiel " ce n'est pas ce que pensent le comité Gustave, le comité Théodule ou le comité Hippolyte ", mais ce qui est " utile au peuple français ". Le syndrome du comité Théodule guette le " comité Lionel ".

M. Hollande ne songe pas à enterrer le non-cumul des mandats. Mais il cherche à gagner du temps et à calmer les impatiences du PS, Martine Aubry ayant souhaité le vote d'une loi sur ce sujet dès l'été 2012. La commission Jospin va renvoyer un tel vote début 2013. Alors qu'un groupe de parlementaires socialistes, à l'initiative du sénateur de Seine-Saint-Denis Claude Dilain, vient de rappeler la portée " plus que symbolique " d'une telle loi, ce retard est très dommageable.
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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 11:00

 

"Ca a toujours existé, tout le monde triche" ... oh la belle excuse !

Summum de cynisme.

Toujours, ça veut dire que le phénomène a continué de prospérer pendant les mandats des 1ers secrétaires successifs ... dont celui de Jospin, non ?

 

Une vidéo - août 2010 : Tricheries et manipulations au PS

"Petits meurtres entre camarades"
Oh l'argument de Jospin ! qui s'étonne qu'un journal de gauche (Libération) aide si peu le PS ... faudrait qu'il se taise sur ses turpitudes, peut-être ??????

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 10:00

homme se prenant la tête 

La commission "Jospin" (bon sang que j'ai du mal à le citer !) rendra son rapport en novembre 2012.


Faut-il rappeler que les sénateurs PS élus en 2011 (après avoir mené une fronde contre M. Aubry) avaient obtenu de différer à septembre 2012 leur choix pour éviter une situation de cumul. En vertu du vote des militants d'octobre 2009 (!) ... vous savez, ces cochons de payants d'adhérents !


Nouveau sursis, donc, et qui peut se prolonger jusqu'au vote d'une loi ... peut-être. Et fichue comment, surprise du chef !

Question posée aux militants du PS (72% pour) :
Etes-vous favorables, comme étape vers le mandat parlementaire unique à l'impossibilité de cumuler, sans attendre le vote d'une loi, dès les prochains renouvellements un mandat de parlementaire avec une présidence d’exécutif local ou la participation à un exécutif ?


"SANS ATTENDRE LE VOTE D'UNE LOI" !!!



Question posée aux militants du PS (75% pour) :
Êtes-vous favorables à limiter à trois les mandats successifs des présidents d’exécutifs locaux (Maires, Présidents de Conseil Général, Conseil Régional et d'Intercommunalité) ?

Y'aurait pas une arnaque quelque part ???

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 09:00

les-3-singes.jpg

Ainsi donc, Glavany se réjouit du retour de Jospin !

 

Mais qui est Glavany, et surtout qu'a t-il dans la tête ? On peut remonter à 2002 et à son rôle de directeur de campagne de Jospin battu brillamment par Le Pen.

 

Mais, histoire très récente, il a pu démontrer son immense attachement à la parité, à la place des femmes. Formidable, ce pote de Jospin et Falorni, candidat au perchoir, avait déclaré -- visant Elisabeth Guigou, elle aussi candidate : 

"C'est "l'adéquation d'un homme pour le poste" qui compte et cela "ne se mesure pas à la longueur des cheveux ou de la jupe" !!!

 

Charmant personnage, non ?

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17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 08:00

les-3-singes.jpg14 juillet, intervention de F. Hollande ... Je suis sidéré par le rôle confié à Jospin, chargé de la commission sur la "moralisation" de la vie politique.

Une couleuvre de plus à avaler. Et un affront supplémentaire pour Ségolène Royal. Dans l'affaire de la Rochelle, on sait qui était dans l'ombre ... Quelqu'un qu'on ne peut soupçonner de se complaire dans les cancans, Jean-Louis BIANCO, avait relevé le silence jospinien au moment des faits ...
Il n'aurait plus manqué que Falorni soit intégré à la commission, tiens !!!
Quant au cumul des mandats, ne serait-ce pas encore une arnaque pour faire durer, différer les décisions évidentes ??? 
Quelle que soit la qualité de l'intervention -- et c'est tout de même "normal" à ce poste de responsabilité ... oublions le prédécesseur -- la décision concernant Jospin est selon moi une très grave erreur, une grande déception. Tout le monde ne sera pas d'accord, mais j'ai le droit de le dire, je ne vais pas m'en priver !

 

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