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15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 23:54

 

Le retour, enfin, du clivage "Gauche / Droite",

qu'ils disaient tous !

 

Tous les observateurs de l'élection présidentielle, avant le résultat du 6 mai, semblaient d'accord : on avait assisté à un véritable clivage Droite / Gauche. Et même les politiques, à l'UMP aussi, en prenaient acte avec une certaine satisfaction.

Ils critiquaient assez l'option Bayrou ...

 

... ça avait le mérite d'être clair.

 

Il y avait bien les 18% de F. Bayrou, et le débauchage souterrain des parlementaires de l'UDF pour brouiller les choses, mais bon !

 

Et maintenant, fini ! On zappe.

 

Plus de Droite, plus de Gauche, un gouvernement ... de Droite ...  mais d'ouverture, avec des personnalités de Gauche.

 

ET APRES TOUT, QU'ELLE UTILITE

D'AVOIR UNE OPPOSITION !!!

 

Il faut dire que des français le clament : "Marre de ces différences, m'en fout !"

 

Bien, on verra après qu'un programme de Droite, le plus à Droite depuis longtemps,  aura frappé !!! 

On en reparlera  ...

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15 mai 2007 2 15 /05 /mai /2007 23:36

  

  

Précision sur Jean-Michel B.  :  Président du Parti Radical de Gauche (PRG), Jean-Michel Baylet vient de prôner un rapprochement avec les radicaux associés à Sarkozy.

 

J-M B. est pourtant allié au PS : il a soutenu Ségolène ROYAL, il a conclu un accord réservant 32 circonscriptions législatives au PRG, celui-çi s'engageant à soutenir partout ailleurs les socialistes.

 

Quelqu'un pourrait-il lui rappeler ceci : quand Bernard Tapie (futur ministre de la Justice ???) avait annoncé son soutien à Sarkozy, il l'avait accusé de

 

 "SE COMMETTRE AVEC  N. SARKOZY" ! 

   

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13 mai 2007 7 13 /05 /mai /2007 23:08

 Désirs d'Avenir   ...    en résistance              n° 3

 

 

Cécilia S.  s'est abstenue de voter ... Le Journal du Dimanche s'est abstenu de publier un article sur l'enquête de ses journalistes. ...

Désirs d'Avenir ne s'abstiendra pas, lui, d'apporter ses commentaires !

On rembobine ... nous sommes le 28 avril :

Le feuilleton autour du débat ROYAL-BAYROU avait relancé, il faut s'en souvenir, la polémique sur les relations ambiguës du candidat de l'UMP avec les patrons de presse.

 

Voici un article édifiant, publié le 28 avril dans LIBERATION :

 

 

 La haute main de Sarkozy sur les médias  

 

 

 

 

Les médias sont-ils au service de Sarkozy ? Et, si oui, qui passe les plats ? Alors que l'organisation du débat entre Ségolène Royal et François Bayrou a continué vendredi de défrayer la chronique, la question d'une certaine intrusion ­ pour rester poli­ ,du candidat Sarkozy dans les médias se repose avec une méchante acuité. Suite d'un long feuilleton, lors duquel l'homme a su déployer un large registre : grosse colère (récemment, en coulisses de l'émission France Europe Express sur France 3, parce qu'il n'avait pas de loge), invectives directes à des journalistes, remerciements douteux, par exemple à Robert Namias (TF1) et Arlette Chabot (France 2) pour avoir levé le pied sur le soulèvement des banlieues fin 2005, quand il ne s'agit pas d'abus de pouvoir caractérisé. C'est bien Nicolas Sarkozy qui, lorsqu'il était encore ministre de l'Intérieur, a exigé et obtenu le limogeage du patron de Paris Match, qui avait eu l'outrecuidance de montrer Cécilia en compagnie d'un autre que lui en une. Caractère autoritaire ? Manque de respect pour l'indépendance des médias ? Ce qui est sûr, c'est ce que le candidat jouit d'un formidable réseau de copains qui tiennent le haut du pavé dans les médias. 

 

Un grand réseau   D'abord, il y a Martin Bouygues, le plus proche de tous, son meilleur ami et, ça tombe bien, patron de TF1 (soit un tiers de l'audience télévisuelle). Mais il y a aussi Arnaud Lagardère, son «frère», patron du groupe qui abrite en son giron Europe 1, Paris Match, le  JDD, etc. C'est sans compter avec Serge Dassault, déçu du chiraquisme, et propriétaire du Figaro, Bernard Arnault, le témoin de son mariage avec Cécilia, et propriétaire de la Tribune, ou encore François Pinault, propriétaire du Point avec qui Sarko partage entre autres la même passion du vélo. Et alors ? Tous ces patrons-actionnaires ont-ils le petit doigt sur la couture et peuvent-ils vraiment mettre leurs journalistes au garde-à-vous ? Pas si simple. Mais certains faits sont troublants.

 

La télé sous influence   Coups de fil, conseils, pressions, et sans doute et aussi une bonne dose d'autocensure de la part des chaînes de peur de déplaire, l'ombre de Sarko plane sur les JT. La crise des banlieues de 2005 en est l'illustration toute spéciale. Novembre de cette année-là, 7 à 8 (TF1) saisit en caméra cachée une provocation policière envers des jeunes. Savon du directeur de l'information. Le dimanche suivant, l'émission contrebalance avec les interviews de maires de banlieues chaudes. Le 10 novembre, cette fois, c'est France 2 qui diffuse dans son JT les images du tabassage de jeunes par des policiers. Ceux-ci sont suspendus. Arlette Chabot décide d'ôter le reportage du site web de France 2 : «Nous ne voulions pas tomber dans la surenchère.» En août dernier, le ministre de l'Intérieur, invité à TF1 pour une interview, en profite pour passer un savon mémorable à un journaliste. La raison ? Un reportage sur les sans-papiers de Cachan, jugé trop complaisant. En juin 2005, quand Canal + songe à se débarrasser de Karl Zéro à la déontologie variable, Sarkozy appelle Bertrand Méheut, patron du groupe, pour l'en dissuader. Pour le coup, il n'est pas le seul, puisque Laurent Fabius s'est lui aussi fendu d'un coup de fil. Autre affaire : le 7 mars 2006, la veille d'un délicat voyage du ministre aux Antilles, TF1 annonce que le joker de PPDA sera désormais le journaliste noir et antillais Harry Roselmack. Un bien beau hasard n'arrivant jamais seul, Sarkozy est déjà au courant. Le 17 février, recevant Place Beauvau le club Averroes, qui défend l'image des minorités dans les médias, le ministre de l'Intérieur avait en effet annoncé la nouvelle : il y aura, cet été, un Noir au 20 heures. D'ici à ce que ce soit Sarkozy qui ait lui-même soufflé l'idée à Bouygues... Plus récemment, ainsi que le raconte cette semaine le Canard enchaîné, Claude Guéant, directeur de campagne de Sarkozy, a tenté de s'assurer auprès de Patrick de Carolis, président de France Télévisions, que les émissions de Georges-Marc Benhamou, récent soutien de l'UMP, seraient bien reconduites à la rentrée. Raté : Carolis l'a envoyé sur les roses. Mercredi dernier encore, lors de l'interview de Sarkozy sur TF1 par PPDA et François Bachy, un détail amusant : plusieurs plans ont montré que, sous la table, le candidat de l'UMP avait enlevé ses chaussures. Sarkozy en chaussettes ! Il se croit chez lui, ou quoi ?

 

Brouillage sur les ondes    Est-ce un hasard si les Guignols s'en donnent à coeur joie sur un si zélé Jean-Pierre Elkabbach qui, du haut d'Europe 1, pratiquerait à outrance des interviews cire-UMP ? En tout cas, en février 2006, le Canard enchaîné révèle que Jean-Pierre Elkabbach, directeur de la station, a pris conseil auprès de Nicolas Sarkozy sur le choix d'un journaliste politique. «C'est normal, fanfaronne Sarkozy. J'ai été ministre de la Communication.» Et il ajoute : «Je les connais, les journalistes.» De son côté, Elkabbach revendique sa «méthode» de recrutement, qui consiste, dit-il, à prendre l'avis des politiques, mais aussi de syndicalistes ou d'associations : «Je fais cela pour tous les services parce que je veux avoir les meilleurs... Je ne peux pas interdire aux politiques de me donner leur avis. Mais, ensuite, je décide à 100 % moi-même.» 

Pressions sur la presse

C'est sans doute sur Paris Match que les interventions de Nicolas Sarkozy ont été les plus directes et les plus pressantes. Témoin, l'incroyable limogeage de l'ancien patron de Paris Match, Alain Genestar. Témoin aussi, depuis, le chouchoutage du candidat. Ah ! ce titre «Un destin en marche»,  dont a bénéficié Sarkozy en décembre dernier (sans parler des huit pages lui étant dédiées). Mais si c'était tout. Très déboussolant aussi, le tout récent «outing» de Joseph Macé-Scaron, actuellement directeur adjoint de la rédaction de Marianne, dans l'émission On refait le monde du 16 avril sur RTL : «J'ai été démissionné du Figaro Magazine [en juin 2005], tout simplement parce que j'ai refusé de tailler des pipes à M. Nicolas Sarkozy.» Direct. Autant que les coups de fil de Sarkozy à Edouard de Rothschild (actionnaire de référence de Libération ) pour se plaindre...

 

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12 mai 2007 6 12 /05 /mai /2007 09:42

 

Désirs d'Avenir ...    en résistance        n° 1

 

 L'affaire SARKO / BOLLORE :

 Mais non, c'est pas grave !

 

 

Bolloré a bien obtenu des marchés publics 

Le groupe de l'homme d'affaires Vincent Bolloré s'est bien vu attribuer, ces dernières années, des marchés publics.

 

C'est ce qu'a constaté l'AFP sur le site web des Journaux Officiels de la République française.

 

L'information contredit les affirmations de Vincent Bolloré et de Nicolas Sarkozy.

  

En pleine polémique sur le séjour luxueux du Président élu, le groupe Bolloré avait affirmé mercredi n'avoir "jamais eu aucune relation commerciale avec l'Etat français".

 

 

Depuis Malte, Nicolas Sarkozy avait indiqué de son côté que "Vincent Bolloré est un des grands industriels français.

Il n'a jamais travaillé avec l'Etat.

Il fait honneur à l'économie française".

 

Les contrats passés par Bolloré avec l'Etat :


Le 10 août 2006, SDV, une filiale logistique du groupe Bolloré, a obtenu l'attribution du marché du "traitement de la valise diplomatique fret" par le ministère des Affaires étrangères, selon l'annonce numéro 368 publiée le 6 novembre 2006 dans le Bulletin officiel des annonces de marchés publics (BOAMP) 050 C.

 

Le 17 juin 2005, SDV a également obtenu un marché de "transport de fret par voie aérienne commerciale à la demande et pour le compte du ministère de la Défense", d'une valeur estimée à 36 millions d'euros, hors taxes, peut-on lire dans l'annonce numéro 907 publiée le 26 septembre 2005 dans le BOAMP 041 C. Le contrat est lui aussi d'une durée de 48 mois.

 

Pour se défausser, M. Bolloré déclare que les marchés publics ne représentent "quasiment rien" pour le groupe ... 

 

Ah bon ! Mais puisque lui et son grand ami de Président ont déjà menti, pourquoi ne continueraient-ils pas ? ... à nous prendre pour des imbéciles ! 

 

 

Pour reprendre les termes de Jacques DELORS prononcés au meeting de LILLE :

"MAIS QU'EST-CE QUE C'EST QUE CETTE FRANCE ..."

OU L'AFFAIRISME REGNE, OU LES TRICHEURS (mot utilisé par Sarko lui-même) PEUVENT TOUT SE PERMETTRE, AVEC LA BENEDICTION DU CLAN !

 

Car mentir, c'est tricher ... car mentir puis se trouver des excuses, c'est lancer à la face des "honnêtes gens" tout le mépris des puissants pour les manants !

VIVE L'ANCIEN REGIME !

 

J'en vois venir d'autres, des excuses : "Certains, à Gauche, ont fait pareil dans le passé !" ... et de citer des noms ...

 

Vous avez déjà entendu un gamin vous dire, pour s'excuser : "Il le fait bien, lui ... pourquoi pas moi ?"

 

PAREIL !!! 

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11 mai 2007 5 11 /05 /mai /2007 23:22

 

Désirs d'Avenir ...    en résistance        n° 0

  

Le titre est assez éloquent. Quelques explications quand même :

Certes, l'élection est passée. Le choix majoritaire n'est pas celui  que nous avons défendu pendant toutes ces semaines de campagne.

 

Nous n'avons aucune confiance dans le nouveau président de la République. Ses premiers "gestes", avant même la passation du pouvoir, illustre bien le style et la politique qu'il est capable de mener.

 

Il assume pleinement sa "droititude", certes, et l'on en attendait rien d'autre. Mais il ne tardera pas à révéler son double langage, qui a trompé tant de français.

 

Nous serons donc, au travers de ces articles "En résistance", des opposants très attentifs, relevant les contradictions et les actes de ce président-démagogue.

 

"Président de tous les français" ... mon oeil !

 

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