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28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 22:28

 

  Jean-Pierre Grand

Député UMP propose de laisser son siège à Dominique de Villepin...

" ce serait un geste politique fort de démissionner afin qu'il puisse siéger à l'assemblée nationale ..." a-t-il déclaré.

Heureusement qu'il n'y a que l'image et le son qui peuvent être mis en ligne ...

Pensez donc ... si nous pouvions aussi y mettre les odeurs

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28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 07:34

 

La dépêche de l'Agence France Presse a été diffusée mercredi 25 juillet, à 17 h 11 :

Ariane Mnouchkine est nommée "professeure associée à temps plein au Collège de France, sur la chaire de création artistique". 

La dépêche précise "par décret du président de la République en date du 23 juillet 2007."

 

Libération reprend cette information sur son site Internet, quelques heures plus tard :

"Ariane Mnouchkine nommée au Collège de France par Nicolas Sarkozy".

 

Du coup, la metteuse en scène, fondatrice et animatrice du Théâtre du Soleil depuis 1964, fait paraître un communiqué où elle indique qu'elle est : "très touchée d'avoir été proposée comme titulaire de la chaire de création artistique pour l'année 2007-2008 par Mireille Delmas-Marty et Alain Berthoz, professeurs au Collège de France. (Elle) croyait avoir eu l'honneur d'être élue par l'assemblée des professeurs du Collège, le dimanche 26 novembre 2006, (mais) vient d'apprendre qu'elle n'est que "nommée" par Nicolas Sarkozy. Très déçue, elle refuse donc cette nomination".

D'Avignon, où elle se trouve, Ariane Mnouchkine explique son geste : "Je suis furieuse que l'information ait été publiée en ces termes. Elle fait de moi une collaboratrice du régime de Nicolas Sarkozy. Alors que les membres du Collège de France sont choisis par l'assemblée des professeurs." 

Effectivement, le président de la République ne fait que valider ces choix 

 

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28 juillet 2007 6 28 /07 /juillet /2007 07:02

 

SOUFFRIR AU TRAVAIL

Paru dans le journal LE MONDE, le 21 juillet :

Interview de Christophe Dejours, psychiatre et titulaire de la chaire de psychanalyse santé-travail au CNAM (Conservatoire national des arts et métiers)

 

Depuis quelques mois, on parle de plus en plus de cas de suicide au travail. Y a-t-il une accélération du phénomène ?

Autrefois, les suicides au travail étaient rarissimes. Le phénomène correspondait à des situations très précises, comme lors de l'exode rural, qui s'est accompagné d'une crise effroyable dans le monde agricole. Mais, depuis une dizaine d'années, les troubles musculo-squelettiques, le nombre de pathologies liées à la surcharge au travail, ce qu'on appelle aussi les karoshis ("mort par surtravail" en japonais) se multiplient à un rythme inquiétant.

Comment expliquer ce phénomène ?

Il faut en chercher l'origine dans la division du travail poussée à l'extrême. Celle-ci est avant tout au service d'une méthode de gouvernement au sein des entreprises, qui estime que plus on a de pouvoir disciplinaire, de maîtrise des gens, plus on gagne en termes d'efficacité et de réactivité. Or, la meilleure façon de dominer, c'est de diviser les gens. Mais depuis la crise du taylorisme, les salariés se sont organisés, ils ont créé de la solidarité au travers de mutuelles, de syndicats, obtenu le droit de grève, des protections, toutes sortes de choses qui enquiquinent les entreprises, d'où la volonté de casser ces protections.

 

C'est ce qui explique la tendance à l'individualisation des postes de travail et d'évaluation permanente des performances ?

Tout a commencé dans les activités de services à la fin des années 1980. L'informatisation a été un moyen sans lequel on n'aurait jamais pu déployer le système d'organisation dont Taylor avait rêvé. Dès lors, le poste de travail permet d'enregistrer, voire d'espionner, tout ce qu'on fait et tout ce qu'on ne fait pas. C'est ce qui a permis de systématiser l'individualisation des performances, dont on constate aujourd'hui les effets. Les solidarités, les liens, les protections ont commencé à sauter.

A partir de là, quel mécanisme se met en place pour aboutir à la souffrance au travail, qui peut se traduire, dans sa phase ultime, en suicide ?

Le suicide est l'aboutissement d'un processus de délitement du tissu social qui structure le monde du travail. Une organisation du travail ne peut pas être réductible à une division et à une répartition des tâches, froides et rationnelles, évaluables à tout instant. Dans le réel, les choses ne fonctionnent jamais comme on l'avait prévu. Elle doit reposer également sur le "vivre ensemble". Lorsqu'on se parle, qu'on s'écoute, qu'on se justifie autour d'un café, c'est là qu'on dit des choses qu'on n'évoque jamais dans un cadre plus institutionnel : on critique la hiérarchie, on parle de ce qui ne marche pas, de ce qui fait difficulté et de ce qui irrite, bref on fait remonter le réel, qui est souvent décalé par rapport à la façon dont le management voudrait que ça marche.

C'est dans ces lieux de convivialité, informels, que se transmettent beaucoup de ces éléments qui permettent de renouveler les accords normatifs, constitutifs des règles de travail et de la coopération dans l'entreprise. Activité obligatoire et convivialité marchent de pair. C'est très important, parce que c'est dans ces moments que se construit le plaisir de s'accomplir, de se retrouver sur des enjeux communs, bref de vivre. C'est un processus extrêmement pacificateur des relations dans l'entreprise.

Sauf que cela devient rare...

Gérer les rapports humains par la violence, les crocs-en-jambe, les humiliations, les calomnies est ce qu'il y a de plus facile. C'est banal. Le fait que les êtres humains peuvent aller au pire est une pente naturelle. Que quelqu'un souffre dans son travail n'est ni nouveau ni exceptionnel. Mais avant, la communauté de travail offrait des contreparties aux conditions de travail difficiles, aux injustices, aux harcèlements, à travers des systèmes de solidarité assez forts, qui permettaient de tenir le coup. On ne laissait pas l'autre s'enfoncer. Le problème, c'est qu'aujourd'hui, souvent, le lien social a été liquidé, on ne peut plus compter sur les autres, parce que la communauté est divisée et désorganisée.

Le système des évaluations individuelles entretient-il cette dégradation de l'organisation du travail ?

Les systèmes d'évaluation cassent le collectif. Les gens n'ont plus les moyens et les conditions psychologiques pour délibérer, faire remonter les problèmes, participer à l'activité obligatoire, parce qu'il faut à tout prix atteindre des objectifs. Travailler sous cet angle, c'est échouer. En fait, dans le meilleur des cas, les évaluations ne mesurent que le résultat du travail, elles ne reposent que sur ce qui est visible, quantifiable et objectivable. Or le travail n'est pas ce qu'on croit. Il ne se limite pas au temps qu'on passe dans l'entreprise. Entre le travail et le résultat de mon travail, il n'y a pas de commune mesure. Où s'arrête votre travail ? Au bout des 8 heures quotidiennes ? Mais quand vous n'en dormez plus, quand vous en rêvez, ça en fait partie ? On voit bien que lorsqu'on dit qu'on a produit tant de pièces ou tant de kilowattheures, on n'a pas réellement mesuré le travail. Prenons l'exemple du fonctionnement d'une ANPE. Admettons que l'évaluation dépende du nombre d'entretiens effectués dans une journée. Si vous avez en face de vous quelqu'un de peu qualifié, qui a du mal à s'exprimer, le traitement va prendre plus de temps que pour quelqu'un qui a un profil mieux adapté au marché du travail. Or dans un système d'évaluation, la tentation sera grande pour que les plus anciens, ou les plus malins, ou les plus forts préemptent les dossiers les plus faciles et laissent aux plus jeunes ou aux plus faibles les cas les plus délicats. C'est injuste, parce que ce n'est pas forcément celui qui a travaillé le plus qui va être le mieux évalué.

Ce peut être parfois aussi le meilleur qui recueille une bonne évaluation ?

Cela peut arriver, mais avoir de meilleurs résultats constitue l'un des critères de l'excellence, mais pas le seul, car le travail n'est pas mesurable, n'est pas quantifiable. Ce sont avant tout les pairs qui peuvent se rendre compte que vous respectez les règles de l'art. Dans le système actuel, on met tout le monde en concurrence, avec des critères qui peuvent conduire à des injustices, voire à de la déloyauté, pour parvenir à ses fins. C'est tout cela qui concourt au délitement auquel on assiste.

Mais, pourtant, les entreprises ne sont-elles pas de plus en plus rentables ?

Il s'agit de performances en termes de profit, mais pas en termes d'amélioration de la qualité du travail. Prenons le tropisme de la qualité totale, qui actuellement se répand de toutes parts. C'est un système redoutable et pervers, car la qualité totale n'existe pas. Si on la décrète, on pousse les gens à frauder et à tricher. Comme il s'agit d'un idéal inatteignable, on est tenté de tordre la réalité. On compense par de la communication, on multiplie les bilans d'activité flatteurs, on truande. Du patron au salarié, chacun à son niveau participe au trucage. Dans ce système, il peut y avoir dégradation de la qualité du travail alors qu'on dégage des bénéfices. Quand on fait le bilan, cela donne des Eron, des Vivendi, des WorldCom, des AZF... Enron est un cas très intéressant, car ce n'est pas l'affaire d'un délinquant, c'est l'affaire de toutes les petites tricheries causées par une certaine organisation du travail, de la qualité totale érigée en principe intangible, qui pousse les gens à mentir et à ne pas faire les retours sur les décalages qu'il peut y avoir avec la réalité.

La remise en cause du système des évaluations, du management par le stress, est-elle compatible avec la compétition mondiale ? Certains parlent de guerre économique...

Il n'y a pas de guerre économique. Dans nos pays, de l'argent, on n'en a jamais eu autant que maintenant. La France n'a jamais été aussi riche. Ce n'est pas le manque de moyens qui nous empêche de faire des efforts et des progrès dans l'organisation du travail. Ce qui manque, c'est une volonté politique, capable de remettre à plat des processus qui sont en train de créer une casse sociale sérieuse. Les suicides en entreprise, de plus en plus nombreux, sont un signal d'alarme inquiétant sur la pérennité du système.

Quelles sont les solutions ?

La clé ne peut pas venir d'en haut, car tout le monde est sous pression, et, dans ce phénomène de cascade, il n'est pas facile de calmer le stress. L'une des voies consiste à s'appuyer sur la capacité des gens à reprendre la parole pour améliorer le "vivre ensemble". Savoir se dire ce qui rend la vie impossible, faire remonter les suggestions, avoir la volonté de se poser pour réfléchir, dialoguer avec l'autre. Le plus difficile pour l'encadrement, c'est d'écouter, et ensuite de le traduire en termes de management.

Croyez-vous que nous serons capables de le mettre en oeuvre ?

Nous souffrons beaucoup du court-termisme des dirigeants. Economistes et politiques exaltent le système qui consiste à ramasser le maximum d'argent dans un minimum de temps. Or ces bénéfices sont de plus en plus déconnectés du travail. Le "vivre ensemble" n'est pas rentable immédiatement, mais il est fondamental pour la pérennité du système. En tout état de cause, on ne laisse pas des gens mourir à cause du travail. On ne peut pas accepter qu'au nom de l'efficacité économique on casse notre société en mettant les gens sur le bord de la route. Cette violence générée par une mauvaise organisation du travail, c'est la société qui doit ensuite l'assumer en termes de dégâts sociaux et financiers. On ne peut pas constamment pomper le capital humain et l'intelligence collective sans se préoccuper des conséquences. Parce qu'au bout d'un moment, il n'y aura plus rien à pomper, nous aurons une société invivable, et le système économique ne fonctionnera plus. On a peut-être déjà atteint ces limites.

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27 juillet 2007 5 27 /07 /juillet /2007 22:18

 

    Michèle Alliot Marie

choisit d'être victime

au travers de la mise en cause de son conjoint Patrick Ollier, figurant sur les listes de Clearstream.

L'ex-ministère de la défense de l'ancien gouvernement n'avait-il pas fait l'objet de perquisitions dans le cadre de l'enquête dans cette affaire Clearstream afin d'identifier l'éventuel corbeau.

En 2006, MAM ignorait-elle l'existence de ces listes, et qu'elles étaient falsifiées, enfin c'est ce qui est avancé ...

Dans le cadre de sa candidature UMP à la candidature des présidentielles de 2007, MAM n'avait-elle pas interêt, elle aussi, à ce que Sarkozy soit mis en cause dans cette affaire ? 

Suite au prochain numéro.

A voir la tête de notre Premier ministre et des porte-parole de l'UMP, nous pouvons nous attendre à pire encore ....

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27 juillet 2007 5 27 /07 /juillet /2007 19:20

Dominique de Villepin mis en examen dans l'affaire Clearstream pour complicité de dénonciation calommieuse, recel de vol, recel d'abus de confiance et complicité d'usage de faux ...

Rien que ça !!!

Il doit en outre verser une caution de 200000 € et il lui est interdit de rencontrer les principaux protagonistes de l'affaire dont

Jacques Chirac.

Et si la vérité en sortait de cette nébuleuse affaire ?

Souvenez vous il avait déclaré n'avoir rien fait dans cette affaire.

 

Jacques Chirac et Dominique de Villepin

avaient appelé à :

voter Sarkozy

Il était selon leurs déclarations " the best "

et tout allait hyper bien au sein de l'UMP

De quoi débrider ceux qui dernièrement se sentaient

un peu  "constipés" 

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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 21:25

 

 Immigration : Hortefeux ignore le code du travail

 

Les inspecteurs du travail protestent contre un décret du ministre Brice Hortefeux, qui les fait passer pour des auxiliaires de police.

Après les historiens, c'est au tour des inspecteurs du travail de s'élever contre Brice Hortefeux, le ministre de l'Immigration et de l''Identité nationale. Quatre syndicats de l'inspection du travail ont déposé un recours devant le Conseil d'Etat contre un décret d'attribution du ministre qui lui permet d'utiliser les inspecteurs du travail dans la recherche des travailleurs étrangers illégaux.

"Nous attendons la décision du Conseil d'Etat." Le commentaire laconique du service de la communication du ministre témoigne de l'embarras dans lequel se trouve Brice Hortefeux. Dans ce ministère hybride, le mot d'ordre principal semble être, pour le moment, "expulsions". A tel point qu'un "décret Hortefeux" publié le 1er juin suscite la colère des inspecteurs du travail.

Ce décret permet de placer la Direction générale du travail sous l'autorité du ministère de l'Immigration, alors même que son référent principal est le ministère du Travail, en conformité avec la convention n°81 de l'Organisation internationale du travail (OIT), qui garantit l'indépendance de l'inspection du travail.

En clair, avec ce nouveau décret, la police pourra entrer dans n'importe quelle entreprise, à n'importe quel moment, pour y effectuer des contrôles. Ce qui n'était pas le cas avant, l'autorisation d'un juge étant un préablable à tout contrôle effectué par les services de police. Les inspecteurs du travail ont, eux, ce droit de contrôle permanent sur les entreprises.

Problème juridique et pratique grave :

Aujourd'hui, un tel décret, s'il venait à être maintenu par le Conseil d'Etat, placerait l'inspection du travail sous l'autorité de Brice Hortefeux. Pierre Mériaux, membre du bureau national du SNU-TEF (travail, emploi, formation) estime qu'il s'agit là d'une "violation flagrante de la convention 81 de l'OIT, ce qui est très grave car cette convention est précieuse pour nous, elle garantit l'indépendance de l'inspection du travail : sans cela, nous sommes soumis à tous les aléas de la vie politique alors que notre mission fondamentale est de veiller à l'application des dispositions du code du travail".

Un seul objectif : "Bourrer les charters"

Pour les quatre syndicats, représentant 80% de la profession, l'objectif de Brice Hortefeux est clair : "Bourrer les charters." Aspiration qui ne colle pas tout à fait à l'idée que se font de leur métier les inspecteurs du travail : "Les dispositions qu'on applique sont celles du code du travail, qui protègent les salariés..."

Les syndicats dénoncent une dénaturation de leur profession et une situation "intenable" du point de vue déontologique : "Nous devenons ainsi de simples auxiliaires de police", des "ouvre-boîtes".

La manifestation la plus claire de cette dérive policière reste sans doute la lettre de mission de Nicolas Sarkozy adressée à Brice Hortefeux et donnant le nombre d'expulsions à atteindre pour 2007 : 25000. Pour Pierre Mériaux, le ministre de l'Immigration a, par ce décret, fait main basse sur l'inspection du travail.

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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 11:41

Ces derniers jours, j'ai publié sur ce blog de nombreux articles sur l'actualité concernant l'heureux dénouement pour les infirmières et le médecin bulgares.

Par son aspect humanitaire, cet événement le méritait amplement.

J'ai tenté de synthétiser d'autres aspects, largement abordés dans les médias : le rôle des Sarkozy, éclipsant par trop les autres intervenants européens ... les impacts économiques, en vertu de la "real" politique ... l'utilité du ministre des Affaires (qui lui sont) Etrangères, ...

Cet article termine (peut-être) cette série, en mettant en parallèle l'hypothétique "normalisation" et l'exigence que tous les partenaires de la Lybie devraient avoir vis-à-vis des droits de l'homme.

 

 

PUISQU'IL FAUT RENOUER DES RELATIONS

AVEC LES DICTATEURS ET LES TORTIONNAIRES ...

 

 

 

 N'OUBLIONS JAMAIS !!! 

 

 

 

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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 08:50

 

Analyse de Christophe Barbier sur LCI

 

 

Cynisme du calcul financier ... la rançon !

  

N. Sarkozy va "honorer Kadhafi" ... c'est la "real" politique

 

Kouchner ? :

"les ministres d'ouverture sont tenus avec des rênes courtes"

... et même certains ministres de Droite !

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26 juillet 2007 4 26 /07 /juillet /2007 02:17

                                            

                                             

 

 ^

                                                                                   GAG  en supplément gratuit !

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25 juillet 2007 3 25 /07 /juillet /2007 23:48

 

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