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7 octobre 2008 2 07 /10 /octobre /2008 09:00

"Pour un travail décent" - Manifestation à DUNKERQUE
.
ce mardi 7 octobre
, place Jean Bart à 15 heures
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6 octobre 2008 1 06 /10 /octobre /2008 15:00

Hué par les apprentis, Sarkozy pose un lapin

France Info - 3 octobre 2008


Le chef de l’Etat était vraiment trop accaparé par la préparation du mini-sommet européen pour honorer son rendez-vous devant les jeunes apprentis. Mais son nom a aussi été copieusement hué par une bonne partie de la salle, à quelques minutes de son entrée en scène. De là à imaginer que… 



Le chef de l'Etat a annulé le discours qu'il devait prononcer, vendredi 3 octobre au matin, lors des Rencontres européennes des jeunes apprentis. Avant même l'annonce de son absence à cette réunion, le nom de Nicolas Sarkozy a été hué par une partie de la salle.

Ils ne l’avaient appris que ce matin. A peine quinze minutes avant l’heure prévue du discours. Et quand la venue de Nicolas Sarkozy a été annoncée aux quelque 12.000 jeunes apprentis réunis au Palais omnisports de Paris-Bercy (POPB), le nom du président de la République a été salué par les sifflets et les huées de la part d’une bonne partie de l’assistance. Et devant un parterre de ministres.

Il y avait Christine Lagarde (Economie), Xavier Darcos (Education) et Roselyne Bachelot (Santé). Mais aussi les secrétaires d’Etat aux Sports Bernard Laporte, aux Affaires européennes Jean-Pierre Jouyet, et au Commerce Hervé Novelli. "Vous connaissez les jeunes", a lancé ce dernier.

Alors, même si aucun lien n’a été officiellement établi - bien au contraire - entre les huées et l’annonce, à la dernière minute, du désistement de Nicolas Sarkozy, il est bien difficile de s’empêcher de penser que la préparation si accaparante du mini-sommet européen est tombée à pic. La tenue de cette rencontre demain après-midi nécessite en effet "des communications téléphoniques répétées avec un certain nombre de chefs d’Etat et de gouvernement", a précisé Hervé Novelli.

Pas le temps donc de s’extraire pour aller prononcer devant les 12.000 jeunes apprentis des 27 pays européens, un "simple discours sur le travail et l’apprentissage", précise l’Elysée. Un discours au cours duquel le chef de l’Etat devait faire la promotion du programme "Leonardo" -l’Erasmus de l’apprentissage, une initiative pour encourager la mobilité des jeunes apprentis européens, à l’image de ce qui est déjà proposé aux étudiants.

Le reste du programme s’est déroulé comme prévu : d’anciens apprentis comme le coiffeur Franck Provost, l’ex-pilote de F1 Alain Prost ou le secrétaire d’Etat au Commerce Hervé Novelli, titulaire d’un CAP de mécanique, ont partagé leur expérience.

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6 octobre 2008 1 06 /10 /octobre /2008 13:00

Pour faire suite au billet précédent, relatif à l'appel des organisations CFDT, CFE-CGC, CGT, FSU, Solidaires et UNSA , voici le contenu de l'article paru dans La Voix du Nord du vendredi 3 octobre :



Comme d'habitude, je serai probablement présent dans cette manifestation, avec d'autres camarades (nous surveillons la météo de près !), et je ne manquerai pas d'en rapporter quelques échos.



Le Chiffon rouge

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5 octobre 2008 7 05 /10 /octobre /2008 20:00

Le 07 octobre 2008, les organisations CFDT, CFE-CGC, CGT, FSU, Solidaires et UNSA
appellent les salariés à participer massivement à

 

la journée d’action syndicale mondiale pour le travail décent

à l’initiative de la Confédération Syndicale Internationale (CSI)


Une mobilisation d’ampleur est nécessaire pour promouvoir dans le monde les libertés et la solidarité, avec la volonté de faire reculer la précarité et la pauvreté.

Dans notre pays, ce sera l’occasion pour les salariés dans toutes les professions et sur tout le territoire d’affirmer l’exigence :

- d’emplois de qualité pour toutes et tous,
- de salaires revalorisés,
- d’amélioration des conditions et de la durée du travail respectant la santé et la dignité des personnes,
- d’une protection sociale et de retraite garantie et de haut niveau,
- de services publics efficaces et contribuant à la cohésion sociale.

Le 07 octobre donnera lieu à des initiatives sur l’ensemble du pays (rassemblements, manifestations, actions ciblées…)

Les organisations signataires de cet appel demandent à leurs organisations professionnelles et territoriales de se rencontrer pour décider des formes et des modalités de mobilisation permettant la plus large implication des salariés.



"DECENT WORK, DECENT LIFE" : le PSE ... et DA Flandre-Littoral (!)  vous informent :

A l'occasion d'une réunion à BRUXELLES le 19 mai 2008, avec Jean-Louis BIANCO, qui s'était tenue dans les locaux du Parti Socialiste Européen, j'ai pu emporter plusieurs documentations, dont une plaquette très intéressante sur LE TRAVAIL DECENT.

En voici une partie (si vous êtes intéressés par l'intégralité de ce document, vous pouvez m'en informer, via le "contact" sur ce blog) :

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5 octobre 2008 7 05 /10 /octobre /2008 15:00

Le mini-sommet de Sarkozy : un feu vert pour les déficits ?
Rue89  -  05/10/2008

Ils sont tous là sur le podium de la salle de presse de l’Elysée. Le Premier ministre britannique Gordon Brown avec des grosses notes au feutre devant lui, la chancelière Angela Merkel en veste rose, le président du conseil italien Silvio Berlusconi qui gigote tellement sur sa chaise qu’il ferait passer Nicolas Sarkozy pour un maître zen, le président de la commission européenne José Manuel Barroso et aux deux bouts de la table les deux gendarmes, le premier ministre luxembourgeois et président de l'eurogroupe Jean-Claude Juncker et le président de la Banque centrale européenne Jean-Claude Trichet.

A la sortie de leur réunion samedi (un jour bien choisi, les marchés sont fermés), les quatre membres européens du G8 annoncent qu’ils soutiendront les établissements financiers européens en difficulté. Les solutions seront nationales et les pays de ce G4 s’engagent "à ce que les dirigeants qui ont failli soient sanctionnés".

Un spectacle d'unité rassurant

Les membres du G4 appellent à la tenue rapide d'un sommet économique international pour revoir les règles du capitalisme financier "avec les Etats les plus concernés" (ce ne sera pas tout de suite, un Etat très concerné attend de connaître son prochain président).

Chacun leur tour, les invités du président français prononcent des discours similaires qui répètent les mots  "confiance", "coordination", "stabilité", "responsabilité". Après ce concert d'unité, un journaliste demande à Nicolas Sarkozy ce qu’il est advenu de l'idée de son ministre des finances de créer un fonds commun européen pour venir en aide aux institutions bancaires européennes. "Je n’ai d’autant eu moins de mal de renoncer à cette proposition que je ne l’ai jamais assumée, proposée, imaginée", répond t-il. La réponse, à défaut d’être gracieuse pour Christine Lagarde, a le mérite de faire plaisir et d’effacer la cacophonie de la semaine précédente. Angela Merkel, opposée au projet, approuve de la tête.

Le président français rebondit sur l’idée du sommet "pour poser les bases d’un capitalisme de l'entrepreneur et non pas du spéculateur". On ne s’attendait certes pas à ce que le président français annonce que le G4 avait décidé d’ouvrir les vannes au capitalisme sauvage, mais la voix se veut rassurante, le ton moraliste.

Quid des critères de déficit de Maastricht ?

Plus difficile, la France, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et l'Italie demandent aux autorités européennes de faire preuve de "flexibilité” dans l'application du Pacte de stabilité qui impose aux Etats-membres de ne pas avoir un déficit dépassant le seuil de 3% du PIB. Cela veut-il dire qu’on peut désormais laisser filer les déficits ? Et de quelle “flexibilité" parle t-on si le luxembourgeois et président de l'eurogroupe Jean-Claude Juncker, demande à ce que le pacte soit respecté ‘dans son intégralité.

Les quelques 150 journalistes internationaux venus à la conférence de presse n’ont droit en tout qu’à une question pour chaque dirigeant. On en saura donc pas beaucoup plus.

A la sortie de la salle, les représentants des médias tentent de lire entre les lignes du paragraphe du texte de la déclaration commune qui dit que "l’application du Pacte de stabilité et de croissance devrait également refléter les circonstances exceptionnelles que nous traversons".

Le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy Henri Guaino explique à un groupe de journalistes que le problème, c’est d’aider "les banques centrales" à rendre confiance aux épargnants "pour éviter qu’il y ait une panique et un effondrement du système bancaire." (Avec ces mots, là, heureusement que ce n’était pas lui qui était chargé d'être rassurant à la tribune).

Flou

Et quand on demande à cet ancien anti-Maastricht si les critères du pacte de stabilité sont caduques, il répond  d’une périphrase : "la priorité des priorités, c’est de sauver le système bancaire."

Après une semaine de communication brouillée sur le sujet par des ministres qui se contredisaient parfois, il reste est difficile de se faire une idée claire de la façon dont le gouvernement français compte répondre à la crise financière et ce qu’il va advenir du respect des critères de Maastricht.

Aux Etats-Unis, l’adoption du plan Paulson a été l’occasion de discussions, de va-et-viens, d’amendements qui ont occupé le Congrès cette semaine avant son approbation. En France, on attend toujours le débat parlementaire ou la conférence de presse où ces questions seront posées.

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30 septembre 2008 2 30 /09 /septembre /2008 10:00

"Le véritable ennemi, j’allais dire le seul, parce que tout passe par chez lui,  le véritable ennemi si l’on est bien sur le terrain de la rupture initiale,  des structures économiques, c’est celui qui tient les clés… c’est celui qui est installé sur ce terrain là, c’est celui qu’il faut déloger… c’est le Monopole !

Terme extensif pour signifier toutes les puissances de l’argent, l’argent qui corrompt, l’argent qui achète, l’argent qui écrase, l’argent qui tue, l’argent qui ruine, et l’argent qui pourrit jusqu’à la conscience des Hommes !"

 

13 juin 1971 - Congrès d’Épinay  -  François Mitterrand

 


"Le monde a changé. Le culte de l’argent roi prospère, malmenant nos principes démocratiques,
dessinant un nouvel ordre mondial, synonyme de naufrages sociaux, humains, écologiques.

D’immenses défis surgissent, de grands dangers menacent. La crise financière mondiale illustre à l’envie les risques d’une économie mondiale dérégulée, une économie qui voit des banques provoquer le sur-endettement de millions de foyers et fermer le robinet du crédit aux petites et moyennes entreprises, une économie qui tolère que des paradis fiscaux hébergent sans entraves des fonds d’investissement sans éthique."

septembre 2008 - L'équipe de Ségolène ROYAL
Motion "L'espoir à gauche - Fier(e)s d'être socialistes

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26 septembre 2008 5 26 /09 /septembre /2008 18:00

Ségolène ROYAL :
"La musique adoucit les mœurs…"

Source : metrofrance.com  -  26 septembre 2008

En marge de la campagne pour la direction du PS, Ségolène ROYAL organise samedi un grand concert gratuit au Zénith de Paris avec Trust, Cali, Alpha Blondy ou encore l’humoriste Thomas N’Gijol.


Une personnalité politique qui organise un concert, c’est un peu atypique, non ?
C’est le résultat d’un engagement pris il y a un an et demi. J’avais promis après la campagne présidentielle qu’on se retrouverait, que j’aurais l’occasion de dire merci aux gens qui m’ont soutenue. Après, il y a eu les législatives, les municipales… Le parti socialiste n’a pas voulu organiser ce rendez-vous, donc c’est Désirs d’avenir qui le fait et le finance. J’ai également reçu l’appui de Dominique Besnehard pour réunir ce plateau d’artistes magnifiques qui font tous cadeau de leur talent.

Mais si vous faites salle comble, vous en tirerez un enseignement politique ?
Je ne veux pas instrumentaliser cet événement. Il s’agit de partager un moment de fraternité, d’émotion collective, de partager des valeurs. Ce serait absurde de nier la dimension politique. Mais ceux qui seront présents ne seront pas spécialement engagés dans ma motion.

Même si vous avez mis votre candidature " au frigidaire ", vous êtes quand même le leader de votre motion. Si elle gagne ou échoue, que ferez-vous ?
On verra ce que décideront les militants.
La motion que je soutiens, c’est la seule qui assume la campagne présidentielle. Les autres sont portées par des personnalités qui ont été aux abonnés absents, comme Martine Aubry, ou qui m’ont critiquée, comme Lionel Jospin qui a écrit un livre abominable après les élections. Ils pensent que ma campagne a été un mauvais rêve. Or moi, je crois qu’elle représente un patrimoine commun. J’ai entraîné 17 millions de Français derrière moi et ce socle est essentiel. Certaines idées qui ont émergé à ce moment, comme la démocratie participative, tout le monde se les approprie maintenant au sein du parti. Cela vaut aussi la valeur travail, le sens de l’effort, .... Il faut une nouvelle génération aux commandes du PS, des gens qui n’ont pas eu de responsabilités ministérielles.

Martine Aubry n’est pas avare de petites phrases à votre égard…
Elle balance, mais ce n’est pas nouveau de sa part. Qu’elle vienne au Zénith, la musique adoucit les mœurs !

J'ajoute : MEME LES GRINCHEUX PEUVENT VENIR !!!

Sur le fond, qu’est-ce qui différencie votre motion de celles de Bertrand Delanoë et Martine Aubry ?
C’est la seule à être aussi précise sur la réforme fiscale et la réforme des retraites. Elle est également la seule à avoir été construite de façon participative, avec plus de 2 000 contributeurs sur le site www.congresutileetserein.com. C’est la démonstration qu’il faut changer la façon de faire de la politique. Il y a une attente de révolution démocratique partout, en économie, comme chez les militants du parti socialiste. Il faut également pousser jusqu’au bout la décentralisation. Les élus régionaux de la Ligne Claire ont compris que c’est avec un Etat fort qui régule, et des territoires très vivants qui ont des marges de manœuvre qu’on peut construire et libérer des énergies.

Faut-il punir les responsables de la crise comme le souhaite Nicolas Sarkozy ?
C’est le discours démagogique par excellence qui plaît toujours ! Il avait dit qu’il sauverait Gandrange et il ne l’a pas fait. Il faut le punir lui ! Le problème, ce n’est pas de punir, c’est de prévenir les dégâts.

Il a annoncé à Toulon un encadrement des rémunérations des patrons et la fin des parachutes dorés. Ca va dans le bon sens ?
Mais il l’avait déjà annoncé pendant sa campagne ! Si quelqu’un avait hiberné et se réveillait devant la télévision, il aurait l’impression que Nicolas Sarkozy n’est toujours pas président de la République. Pourtant, il est aux responsabilités et la première chose qu’il a faite, c’est le bouclier fiscal pour les traders et ses amis du Fouquet’s. Et il fait financer le RSA par une taxe sur l’épargne des moyens revenus, les loyers ou les assurances vie !
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26 septembre 2008 5 26 /09 /septembre /2008 08:00

Lors de sa visite à New York, Nicolas Sarkozy a reçu le " prix de l'homme d'État de l'année ". Ce prix lui a été remis, devant tout le gotha new yorkais, par le rabbin Arthur Schneier, président de la Fondation Appeal of Conscience, qui promeut le dialogue interreligieux.


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23 septembre 2008 2 23 /09 /septembre /2008 19:00

(Site webmatin.fr) :

Le Président de la République française (et de l’Union européenne) s’est exprimé lundi soir à New York avant même l’ouverture de l'Assemblée générale de l'ONU.
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Nicolas Sarkozy a déclaré que les responsables de la crise financière actuelle devaient être sanctionnés et qu’il fallait moraliser le capitalisme financier…
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C’est Olivier Besancenot qui lui écrit ses discours maintenant ?
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23 septembre 2008 2 23 /09 /septembre /2008 11:00


"Aucune armée étrangère n’a réussi

dans un pays qui n’était pas le sien"


"Il était certainement utile qu’on envoie nos soldats dans la mesure où il y avait un combat contre le terrorisme, mais la présence à long terme des troupes française dans cet endroit du monde [Afghanistan] ne me semble pas décisive (…) Jacques Chirac a pris la décision de rappatrier nos forces spéciales et un certain nombre d’éléments, c’est une politique que je poursuivrai.


De toute manière si vous regarder l’histoire du monde, aucune armée étrangère n’a réussi dans un pays qui n’était pas le sien (…) Aucune. Quelque soit l’époque, quelque soit le lieu."

 

Ce sont les propos tenus par Nicolas Sarkozy (vidéo) …

en avril 2007, entre les deux tours de l’élection présidentielle…


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