La violence, elle vient de l’Elysée qui a ordonné que l’on envoie des gaz lacrymogènes à la figure des salariés !

Les ouvriers savent désormais à quoi s’attendre avec Nicolas Sarkozy : la fin de leurs droits syndicaux, la criminalisation de leur mobilisation. Ils doivent subir les décisions qui les condamnent sans protester.

Au lieu de faire la preuve de sa détermination face à Lakhshmi Mittal, c’est contre les salariés d’Arcelor que le candidat sortant a retourné sa colère. Les Français sauront lui rappeler qu’il a été élu pour les défendre et qu’il ne peut se prendre qu’à lui-même de l’échec de sa politique industrielle."