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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 08:00

 

Ouais, ça ne mange pas de pain !

Et la négociation dans les entreprises ? Passée sous silence ! C'est très révélateur ...

Et pourtant, afin de conclure des accords et réduire les inégalités, des obligations existent dans les entreprises, au pays du dialogue social ... euuuh !

 

Egalité hommes femmes :

L'éternelle découverte de Laurence Parisot

Source : marianne2.fr  - par J-C Slovar, le 5 mars 2012

 

Régulièrement, Laurence Parisot brandit son combat pour l'égalité professionnelle hommes femmes. Au point qu'on finit par se demander si elle dirige le Medef dont les adhérents ne semblent pas vraiment concernés !

Si Laurence Parisot est volontairement discrète sur le nombre de ruptures conventionnelles qui ont atteint un record, ou sur les accords de chantage à l'emploi que l'UMP essaye de faire passer avant les présidentielles, elle est volontiers diserte sur les discussions sur la « qualité de vie au travail » auxquelles vont participer syndicats de salariés et patronaux.
C'est au cours de ces discussions que sera évoqué un de chevaux de bataille de madame Parisot : L'égalité professionnelle hommes-femmes. Elle s'en explique : « (...) l'organisation patronale compte notamment mettre l'accent sur l'égalité des chances en matière de progression de carrière car c'est là la clef de l'inégalité des salaires (...) On propose moins d'opportunités aux femmes qu'aux hommes dans l'entreprise (...) dans le cadre de ces négociations, je proposerai de créer un indicateur de taux de promotion hommes-femmes (...) »
Le 27 juin dernier, nous avions consacré un article aux déclarations de Laurence Parisot qui lançait avec l'UMP, à l'époque un vibrant plaidoyer pour l'égalité hommes-femmes.
Nous écrivions : « (...) d’après le rapport du Forum économique mondial de Davos de 2010, la France est classée au 127ème rang sur 134 pays en matière d’égalité salariale entre les hommes et les femmes, derrière le Kenya ou le Kazakhstan ! Malgré la volonté du législateur, l’égalité professionnelle est rarement une orientation stratégique au sein de l’entreprise. On constate même aujourd’hui des signes de régression (...) Le constat actuel est implacable : les femmes représentent 51% de la population française, 47% de la population active mais 82,2% des travailleurs à temps partiel et les écarts de salaires entre les hommes et les femmes sont encore de 19% (...) » Ne cherchez pas, il est disponible sur le site Web Projet UMP 2012 !

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Si le sujet de l'égalité hommes-femmes n'était pas si important, on pourrait, avec humour, déplorer, que la droite parlementaire et le Medef, ne soient pas aux commandes ... de la société française et de ses entreprises.
En effet, qu'est ce qui a empêché Laurence Parisot, Présidente du Medef depuis 2005, d'imposer aux entreprises adhérentes au Medef, l'obligation d'une véritable égalité hommes-femmes ?

 Car en ce qui concerne : le refus des augmentations de salaires, du partage de la valeur ajouté, du refus de quotas d'apprentis, ou de l'assouplissement des licenciements, elle a montré qu'elle savait traiter les salariés hommes et femmes de la même façon !
Que n'a t-elle mobilisé son mouvement contre la situation décrite par l'UMP : « (...) les femmes connaissent un risque accru d’être des « outsiders » sur le marché de l’emploi (...) Elles passent de plus ou moins longues périodes sur le versant « précaire » du marché de l’emploi et représentent 82,2 % des travailleurs à temps partiel (...) »

Et lorsqu'on lui demande s'il faut : En passer par une loi pour codifier les rapports hommes-femmes dans l’entreprise, pour mettre fin aux comportements anormaux et aux injustices flagrantes, elle n'hésite pas un instant : « (...) Les lois existent déjà. Sans une prise de conscience et une adhésion générale, elles ne seront pas appliquées. Oui, il faut normaliser mais plutôt par des codes, des principes, des chartes de bonne conduite dans les entreprises, petites et grandes, ou grâce à des formations qui expliquent ce qu’il convient de faire et d’éviter, y compris dans les administrations (...) »

Et oui, avec le Medef, c'est une habitude : Tout commence par un débat pour finir par ... un code de bonne conduite.
Ne reste plus qu'à attendre la fin des discussions pour savoir si les nouvelles "propositions innovantes » de Laurence Parisot se résument une fois de plus à éviter une intervention des élus de la nation et leurs éventuelles sanctions ou pénalités ...  

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 07:00

 

Vu sur Facebook ... j'aime !

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 17:00

 

Je m'autorise sans vergogne à reprendre cette expression ("la pauvre"), puisque son petit mari adoré s'est permis de l'utiliser sur France2 hier soir, à propos de Ségolène ROYAL.

Avec l'élégance et la retenue qu'on lui connaît depuis qu'il essaie de conduire le pays, depuis 5 ans ...

5 ans ...    P.....     !!!

elle est bientôt finie cette nuit du Fouquet's

Carla Bruni : "Nous sommes des gens modestes"

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 7 mars 2012

 

Evidemment, Carla se devait d'accompagner son mari de président à l'émission de France 2 "Des paroles et des actes" hier soir.

"Le Monde" a suivi la première dame de France, qui n'a pas sa langue dans sa poche, dans les coulisses de l'émission. "Il fait un froid de gueux", lance-t-elle en arrivant à la loge du candidat à la présidentielle. 

Dans le couloir, Carla Bruni-Sarkozy rencontre Rémy Pflimlin, directeur de France Télévision, et les journalistes de France 2. "Les journalistes sont tous des Pinocchio", dit-elle en rigolant, mimant le geste du nez qui s'allonge.

[ Pitoyable. C'est l'hôpital qui se fout de la Charité, non ??? ]


Et la première dame de France de défendre son mari, lorsque la journaliste Nathalie Saint Cricq demande à Nicolas Sarkozy s'il regrette la soirée du Fouquet's : "Nous sommes des gens modestes."

Un argument choc.

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 16:00

 

Lors d'un tractage réalisé il y a une dizaine de jours sur le marché de Dunkerque, des UMPistes distribuaient un document truffé de mensonges.

un pinocchio

Le dit document UMP invitait à rejoindre "le parti des droits et des devoirs" ...

Le droit de faire des proposition, certes ...

Mais aussi le devoir de ne pas manier "attaques, falsification, caricature" , comme l'a déjà déclaré François HOLLANDE en réaction aux multiples déclarations du candidat Sarkozy.

   

Le tract UMP nous fournit l'occasion de dénoncer cette falsification dans la campagne de la Droite, et ça tombe bien on peut commencer par la lettre A :


"A" comme "Autorisation administrative de licenciement"

On peut y lire sous le chapitre LE PS PREFERE L'ASSISTANAT :

 "Le PS est pour le retour à l'autorisation administrative de licenciement".

  

FAUX, ARCHI-FAUX !

Dans les projets du PS (de 2005 comme de 2010) il n'est aucunement question de cela.

Dans le projet présidentiel de François HOLLANDE, non plus !

(c'est d'ailleurs quelquefois un reproche qui a été fait à la gauche : quand elle a été aux affaires sous les 2 septennats de F. MITTERRAND, elle n'est pas revenu sur la suppression de cette autorisation)

 

Bref, sur le thème de la valeur "travail", l'UMP y va de ses grosses ficelles pour berner l'opinion, il ne faut pas laisser passer.

 

A la lettre "B", comme Banques, pas mieux !!! :

"Le PS est pour la nationalisation des banques"     !!!

 

Suite au prochain numéro ...

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 13:00

 

Le 15 février, déjà, le candidat-président usait de la falsification des intentions de son adversaire François HOLLANDE sur la question de l'immigration, et plus précisément de la régularisation des étrangers :  

un pinocchio   

Nicolas Sarkozy, Pinocchio de la

régularisation des étrangers

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 17 février 2012 

 

"Le Nouvel Observateur" décerne un Pinocchio à Nicolas Sarkozy pour son intervention sur TF1 mercredi 15 février.

 

Juste après avoir annoncé sa candidature, il a fait mine de ne pas vouloir parler de François Hollande. Mais il a tout de même abordé le projet de son concurrent socialiste :

"Est-ce que c'est raisonnable de dire : 'l'immigration, on va régulariser tout le monde' ?"

 

Cet argument est utilisé depuis longtemps par la droite pour suggérer une forme d'irresponsabilité de la gauche. Il n'est pas exact. Il y a bien longtemps que les socialistes ne proposent plus de régularisation systématique.

On peut d'ailleurs lire dans le programme de François Hollande : 

"Je conduirai une lutte implacable contre l’immigration illégale et les filières du travail clandestin. Je sécuriserai l’immigration légale. Les régularisations seront opérées au cas par cas sur la base de critères objectifs."

 

En réponse aux propos du chef de l'Etat, Mireille Le Corre, responsable du pôle immigration-intégration au sein de l'équipe de François Hollande, précise : 

 

"François Hollande a toujours été très clair : il veut mettre un terme à la politique arbitraire menée par le gouvernement, non pour procéder à des régularisations massives mais pour rétablir une procédure juste et transparente. Il s'est ainsi engagé, sans ambiguïté, à ce qu'il soit procédé à un examen individuel de la situation de chaque étranger en situation irrégulière à partir de critères objectifs, transparents et appliqués uniformément sur le territoire.

Ces critères tiendront compte notamment de la durée de présence, de la situation de travail, des attaches familiales et de la scolarisation des enfants. Les étrangers dont la situation ne correspond pas à une régularisation possible feront l'objet de procédures d'éloignement, dans des conditions qui respectent leurs droits et leur dignité."

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 12:00

 

Hollande : "Un objectif chiffré de régularisations serait stupide" :

 

Invité sur Europe 1, François HOLLANDE a critiqué ce mercredi les propositions de Nicolas Sarkozy visant à durcir les conditions d’immigration et a accusé son rival "d’incohérence", se refusant pour sa part à fixer des "objectifs chiffrés".

En 2007, Nicolas Sarkozy "avait promis l’immigration choisie" estimant que "sur les 200.000 personnes qui viennent en France depuis maintenant 10 ans, la moitié devaient être des immigrés venant travailler dans notre pays", mais en réalité "l’immigration économique est tombée à 10%", a affirmé le candidat PS à l’Elysée.

Il a pointé "une nouvelle fois, une incohérence" chez le président sortant qui, hier, souhaitait l’immigration économique" et "aujourd’hui veut la réduire".

Réaffirmant qu’il supprimerait la circulaire Guéant sur les étudiants étrangers, "qui a fait beaucoup de mal", il s’en est pris aux nouvelles règles que Nicolas Sarkozy veut imposer aux conjoints étrangers de Français.

"Moi je suis pour qu’on lutte contre la fraude" et "les mariages de complaisance", a-t-il dit mais "en revanche, pour ceux qui se sont mariés avec un conjoint étranger, femme ou homme, et qui ne peuvent plus obtenir que leur conjoint vienne vivre en France, mais quelle est la situation, qu’est-ce qu’on va créer comme famille?", a-t-il demandé.

François HOLLANDE a estimé que cela allait multiplier "les recours" car "le droit européen, comme le droit international, pose l’obligation, quand vous êtes mariés, de vivre ensemble".

Mardi soir sur France 2, M. Sarkozy a confirmé vouloir soumettre à des conditions plus difficiles de revenus et de logement le regroupement familial et la délivrance des visas d’installation aux étrangers mariés à des ressortissants français.

François HOLLANDE a aussi qualifié de "contre-vérités" les affirmations de la droite selon lesquelles il ferait des régularisations massives, et rappelé son intention de faire "des régularisations au cas par cas", avec "des critères clairement établis, transparents" : "le critère du travail", "de la présence sur le territoire" et "le critère familial".

"Aujourd’hui, il y a 30.000 régularisations par an (...). Nous serons sans doute dans le même ordre de grandeur", a-t-il dit, jugeant qu’il serait "stupide" de donner des objectifs chiffrés.

"Aujourd’hui, il y a beaucoup d’arbitraire", visant "des situations de complaisance de ces personnes haut placées qui, pour avoir un certain nombre de personnels de maison (n’ayant pas de papiers), demandent leur régularisation".

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 10:00

un pinocchio   

Les 5 imprécisions de Nicolas Sarkozy sur France2

Source : NOUVELOBS.com  -  le 7 mars 2012

 

Le Nouvel Observateur décerne trois Pinocchios à Nicolas Sarkozy. Le chef de l'Etat a commis quelques erreurs plus ou moins volontaires, mardi 6 mars, sur le plateau de "Des paroles et des actes" sur France 2. Décryptage.


TVA sociale

Nicolas Sarkozy a défendu la TVA sociale (augmentation de la TVA sur tous les produits et baisse des charges employeurs et salariés pour les entreprises en France) : "La concurrence est telle aujourd'hui que l'augmentation de 1,6% de TVA n'aura pas d'impact sur le pouvoir d'achat des Français". Selon le chef de l'Etat, les entreprises répercuteront la baisse de charge sur leurs prix hors taxe, venant ainsi compenser la hausse de la TVA.

Mais rien n'est moins sûr. Dans un rapport sur la TVA sociale réalisé en septembre 2007 par Eric Besson, alors secrétaire d’état chargé de la Prospective et de l’Evaluation des politiques publiques, on peut lire : 

Les entreprises pourraient, en effet, choisir de ne pas répercuter l’intégralité de la baisse des charges dans leurs prix de production afin de reconstituer leurs marges, ou bien avoir besoin de délais d’ajustement. Dans l’un et l’autre cas, on assisterait à une hausse des prix TTC, suivie d’une augmentation des minima sociaux et des salaires."

Le chef de l'Etat utilise désormais le terme de "TVA anti-délocalisation" soulignant ainsi que, la baisse de charge ne s'appliquant pas aux entreprises important en France, la production locale serait avantagée par la mesure. Devant l'ancien Premier ministre Laurent Fabius, il a même affirmé que ce serait ces entreprises importatrices qui participeraient aux finances publiques. Mais le chef de l'Etat omet de préciser qu'en réalité, ce sont les consommateurs des produits importés qui paieront cette hausse de prix. Les Français.

Cette hausse de prix a d'ailleurs été implicitement confirmée par Valérie Pécresse lors d'une interview sur France inter fin janvier. En effet, la ministre du Budget, pour justifier la mesure, a affirmé qu'il y aurait une anticipation des consommateurs avant la hausse de la TVA. Pourquoi une telle anticipation s'il n'y a pas de hausse des prix ?

RSA

Nicolas Sarkozy a confirmé son intention de généraliser la mise en place de sept heures d'intérêt général obligatoires pour les bénéficiaires du RSA qui n'ont aucune activité ni formation.

Le chef de l'Etat a évalué le coût de cette mesure à 500 millions d'euros pour l'Etat. En réalité, ce coût serait supporté à la fois par l'Etat et par les collectivités locales, et serait compris entre 0,8 et 1,5 milliards d'euros, selon l'Institut de l'entreprise, think tank plutôt libéral.

Les dépenses de François Hollande

Nicolas Sarkozy a affirmé que François Hollande ne proposait aucune baisse des dépenses. Ce n'est pas tout à fait exact. Dans son programme, le candidat socialiste prévoit une économie de 2,1 milliards d'euros grâce à la maîtrise des effectifs de l'Etat. Il écrit d'ailleurs page 41 : "Je maîtriserai les dépenses de l’État : toute nouvelle dépense sera financée par des économies et le nombre total des fonctionnaires de l’État n’augmentera pas." François Hollande vise d'ailleurs une baisse des dépenses publiques de 56,5% du PIB en 2012 à 53,9% en 2017.

Le quotient familial

Le chef de l'Etat a répété plusieurs fois que les socialistes avaient voulu supprimer le quotient familial, avant d'y renoncer. S'il est vrai que l'équipe de François Hollande a rétropédalé sur sa proposition, celle-ci ne prévoyait pas sa suppression mais sa réforme.

La compétitivité

Enfin, Nicolas Sarkozy a affirmé que le mot "compétitivité" ne figurait sur aucune page du programme de François Hollande. Il y figure en fait une fois.

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7 mars 2012 3 07 /03 /mars /2012 08:00

 

Michel Sapin : "Il ne faut pas confondre l'énergie et l'agressivité"

Source : le site du PS  -  7 mars 2012

 

Invité de Jean-Michel Apathie sur RTL, Michel Sapin, chargé du projet de François Hollande, est revenu sur les interventions de Nicolas Sarkozy et de son contradicteur, Laurent Fabius, lors de l'émission Des Paroles et des Actes la veille. 

 

Michel Sapin : "Une élection se gagne ... à la fin !  par rtl-fr

 

Contradictions et agressivité

S'agissant de la prestation de Nicolas Sarkozy, Michel Sapin est clair : "personne ne lui contestera cette énergie, mais j'ai remarqué que, comme d'habitude avec Nicolas Sarkozy, cette énergie se transformait en agressivité [...] vis-à-vis de celui qui sur les questions économiques et sociales mettait en face de lui des faits et des chiffres indiscutables et qu'il traitait de menteur". Puis d'ajouter: 'Il ne faut pas confondre l'énergie et l'agressivité".

Selon lui "Laurent Fabius était parfaitement dans son rôle: c'est-à-dire qu'il n'était pas le candidat mais qu'il essayait de faire dire au candidat quelles étaient ses propositions et qui au fond démontrait quelles étaient ses contradictions". Ainsi, "Laurent Fabius a parfaitement maîtrisé cet exercice".

Immigration: une proposition impossible à mettre en oeuvre

S'agissant de la proposition de Nicolas Sarkozy de diminuer l'immigration de 200 000 à 100 000 personnes par an, Michel Sapin a estîmé que cette annonce n'était qu'une "proclamation" de la part de NS en interrogeant: "que ne l'a-t-il pas fait ?". Puis de préciser que la vraie question portait sur la maîtrise de l'immigration illégale. Or pour le député, "sa seule proposition ne porte pas sur le regroupement familial mais c'est de supprimer à des Français le droit à la vie commune pour maîtriser le nombre d'étrangers en France". Autrement dit, "c'est une proposition juridiquement et constitutionnellement complètement impossible à mettre en oeuvre".

Michel Sapin rappelle alors la proposition de François Hollande: la mise en oeuvre de manière humaine et respectueuse des lois de la République. Avant de conclure: "on ne résume pas une politique et surtout le résultat d'une politique à des chiffres".

Une fiscalité qui différencie petites et grandes entreprises

Enfin, interrogé sur la proposition fiscale de Nicolas Sarkozy d'instaurer un impôt société minimal pour les sociétés qui font des bénéfices, Michel Sapin réagit: "il a mis lui-même un certain nombre de niches fiscales qui profitent à de grosses entreprises". et rappelle la proposition de François Hollande "il faut différencier les grandes entreprises qui doivent payer plus d'IS qu'aujourd'hui, des PME qu'il faut encourager qui doivent payer moins d'IS".

 

>> Voir les infographies sur le bilan de Nicolas Sarkozy

>> Voir les 60 engagements pour la France de François Hollande

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 16:00

 

Le tract, en cours de distribution par les militants dunkerquois :

 

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Non-a-la-TVA-Sarkozy---2.jpg

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4 mars 2012 7 04 /03 /mars /2012 18:00

 

LYON, jeudi 1er mars, au Palais des Sports de Gerland.

Beaucoup de monde, la salle du meeting pleine à craquer ... j'exagère car on n'y a pas fait rentrer davantage de personnes qu'elle ne peut contenir !

(et je parle en connaissance de cause, désormais, ayant participé au service d'ordre mis en place, avec la participation notamment de 15 dunkerquois, volontaires et motivés) 

La salle était donc pleine (attention ! cliché pris par un camarade me relayant, car dans la mission pas question d'abandonner le poste !!!)

Et, m'a t-on dit, plus de 3000 personnes sont restées dehors, assistant au meeting devant un écran géant.


Quant au contenu de l'intervention de François HOLLANDE : l'explication, dans la constance et sans effet d'annonces -- suivez mon regard ... à droite --  d'une bonne partie des 60 engagements du candidat.

 

Meeting-de-Lyon--le-1er-mars-2012.jpg

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