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13 mai 2011 5 13 /05 /mai /2011 18:00

 

Le ministre Wauquiez regrette "l’interprétation de ses propos". C'est encore nous qui avons mal compris !

Dans la cacophonie permanente de ce gouvernement incapable et impuissant conduit par Sarko, on  a l’habitude : un serviteur en service commandé ou une grosse bévue ... une polémique entre ministres ... et c’est ensuite le spectacle de "relativisation" de l’embrouille, du déminage.

J’ai lu un commentaire sur l’article du NOUVELOBS, court mais on comprend d’emblée :

Wauquiez ça rime avec "fumier"  ...  euh, attention ce n’est pas moi qui l’ai dit … il ne faudrait pas interpréter mes propos !!!

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RSA : Wauquiez regrette "l'interprétation de ses propos"

Source : NOUVELOBS.COM  -  le 12 mai 2011


Laurent Wauquiez regrette "l'interprétation de ses propos" sur le RSA, a-t-il déclaré jeudi 12 mai. Le ministre des Affaires européennes affirme qu'il se taira sur le sujet jusqu'à une prochaine convention de l'UMP consacrée à ce thème, le 8 juin.

Le chef de file de la "droite sociale" au sein de l'UMP précise avoir fait part de ces regrets à François Fillon jeudi matin.

"Les récentes propositions, faites par la Droite sociale, sur les questions de justice sociale ont suscité de nombreuses réactions au sein de la majorité. Comme je l'ai dit ce matin au Premier ministre, nous regrettons que ces propos aient été interprétés comme une remise en cause du RSA", fait valoir Laurent Wauquiez.

Mercredi, le président Nicolas Sarkozy avait recadré Laurent Wauquiez lors du Conseil des ministres, en vantant le "bilan exceptionnel" du Revenu de solidarité active. Le président aurait même envisagé de se séparer de son jeune ministre.

"En toute sérénité" 

"Le RSA, réforme importante du quinquennat, a amélioré la situation, mais dans la sortie de crise il peut encore être amélioré pour renforcer la revalorisation du travail", s'est défendu le ministre.

Laurent Wauquiez a souhaité que le débat "important", soulevé par ses propositions de renforcer les contreparties demandées aux bénéficiaires de cette mesure, "puisse être mené en toute sérénité".

"Par respect de la cohésion gouvernementale, je ne m'exprimerai plus sur le sujet

[ il aurait fallu y penser plus tôt ! ]

jusqu'à la convention UMP du 8 juin sur la justice sociale, où dans le cadre de mes fonctions à l'UMP, je prendrai activement part au débat pour expliquer nos convictions", ajoute le ministre.

Recadrage 

L'ex-porte-parole du gouvernement avait déclaré que "les dérives de l'assistanat" constituent le "cancer de la société française". Il avait alors évoqué une proposition de loi de son groupe "La Droite sociale", qui obligerait les bénéficiaires du RSA à assumer "chaque semaine cinq heures de service social". 

Des déclarations qui ont provoqué un tollé à gauche, divisé la majorité, jusqu'au recadrage par Nicolas Sarkozy.

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 15:00

 

- ISF, bouclier fiscal : et les inégalités sociales, et la répartition des efforts ???

 

- Affaire Lagarde / Tapie : crise morale, connivences de pouvoir et d'argent

 

- assistanat, RSA, le message de Wauquiez : c'est  la faute des plus pauvres ?

En réalité, pour beaucoup les salaires sont trop bas

 

- la "filiation" avec François MITTERRAND

 

- pour 2011 / 2012, c'est aux français de décider, sur la base d'un débat d'idées

 

Ségolène Royal, invitée de France Info  par FranceInfo

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 14:00

 

nanard-finalement-lucide.jpg

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 12:00

wauquiez-fustige-l-assistanat.jpg 

Sur le blog de Pascal COBERT  -  le 9 mai 2011 :

Il n'y a pas trop d'assistés, il y a trop de pauvres ...

 

Le Ministre des Affaires Européennes s'est distingué en lançant une nouvelle croisade contre les "assistés". L'assistanat est le "cancer" de notre société juge le Ministre.

"Salauds de pauvres !" en d'autres termes. J'ai débattu de ce sujet à l'antenne d'Europe 1 avec l'éternel Philippe Tesson et Laurent Mauduit du site Médiapart. Et, nous fûmes unanimes à dénoncer les annonces du Ministre. Même Philippe Tesson... C'est dire ! "Il n'y a pas trop d'assistés, il y a trop de pauvres" ais-je lancé. Le concept d'assistanat est utilisé pour stigmatiser une population qualifiée de fainéante et de profiteuse alors qu'elle est exclue du marché du travail. Les gouvernements, tant de gauche que de droite, prévoient des aides sociales pour éviter que les pauvres ne vivent totale misère. Il faut bien que celles et ceux qui ne trouvent d'emploi et ne peuvent bénéficier des allocations chômage puissent se loger et se nourrir. Si il y a tant de personnes "aidées" c'est bien parce qu'il y a trop peu d'emplois. La notion d'assistanat ne sert qu'à masquer l'échec de la politique de l'emploi. Alors, examinons les joyeuses propositions de ce Monsieur Wauquiez...

Il envisage de contraindre les "bénéficiaires" du RSA à travailler gratuitement 5 heures par semaine. Une sanction. Une punition. Et que vont ils faire ? Intervenir là où on a supprimé des emplois: nettoyage des espaces publics, surveillance de la sortie des écoles, et même accueil dans les services publics. Il y a du travail, alors ? Oui, du travail mais pas d'emploi et donc ceux qui n'en ont pas vont devoir y travailler en contrepartie de l'aide sociale. Belle logique...

Le Ministre demande également à ce que le cumul des aides soit plafonné à 75% du SMIC. Comment vivra une famille avec 4 enfants pour se nourrir et se loger avec 800€ par mois ? Les restos du coeur ont de l'avenir !

Il demande enfin à ce que les immigrés ne puissent percevoir des allocations familiales qu'après avoir travaillé au moins 5 ans. Mieux que le Front National ! Une discrimination inacceptable et illégale. On ne demande pas aux français d'avoir travaillé avant de percevoir les allocs ! Quand l'UMP reprend à son compte le thème de la préférence nationale...

Le Ministre a pourtant raison de souligner le fait qu'il n'est pas acceptable qu'une famille perçoive autant de revenus avec les aides sociales qu'avec un salaire. Mais le problème n'est pas le montant  trop élevé des aides sociales. Non, le problème,c'est que les salaires soient trop faibles.

 

[ même Sarko pourrait être d'accord ... d'ailleurs il l'a dit

dans sa campagne 2006-super-menteur ! ]

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 20:00

 

Le 8 mai 2011 à Paris, aux Blancs Manteaux, Pierre Bergé est intervenu avec enthousiasme, parlant de sa grande amitié avec François MITTERRAND.

Parlant ensuite du retour de la gauche et de Ségolène ROYAL, ces phrases ont retenu particulièrement l'attention :

"C’est pour ça que je crois pouvoir dire que le vrai successeur de François Mitterrand s‘appelle Ségolène Royal." 

"François Mitterrand n’était affilié à aucun camp, à aucun clan, à aucun mouvement, et, tout juste au Parti socialiste …  il avait dépassé tout cela."    ... "Et Ségolène n’est affiliée à rien."

"Je vais terminer, avec un seul mot : bonne chance, Ségolène ! "


 

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 19:00

Francois-Mitterrand-le-21-mai-1981.jpeg

 

L'actualité des combats de François MITTERRAND :

10 leçons d’Histoire pour l’avenir

par l'Equipe de Ségolène ROYAL  -  le 10 mai 2011

 

Voici un extrait  du discours où Ségolène Royal expose ces dix leçons d’Histoire avant de parler de l’avenir :


"La première de ces leçons c’est la volonté, la continuité de ce que je viens d’exprimer, c’est la volonté pour porter l’espoir et vous la connaissez cette belle phrase de François Mitterrand dans sa déclaration d’investiture :

«Il n’y a qu’un vainqueur le 10 mai, c’est l’espoir»

 

Et la seconde, c’est la fidélité à des valeurs solidement ancrées.

 

Et la troisième leçon c’est le courage et ne jamais renoncer. De la jeunesse à la vieillesse, François Mitterrand fut un homme de courage. Même ceux qui contestent ses choix lui en donnent acte.

 

L’amour de la France, c’est la quatrième leçon d’Histoire de François Mitterrand. Il ne fut jamais de ceux qui attisent les peurs. Notre pays qu’il aimait tant.

«On ne peut rien faire avec la France, disait-il, si on ne la connaît pas

 

La cinquième leçon d’Histoire c’est l’artisan inlassable de libertés nouvelles. Il fut l’artisan d’une extension sans précédent des libertés publiques.

 

La sixième leçon et Yvette l’a dit c’est le soutien indéfectible au combat des femmes et au droit à l’égalité. Qu’on se souvienne de l’appui qu’il apporta toujours à  ce combat pour leur émancipation.

 

La septième leçon est la suivante. François Mitterrand avait de la tenue, de l’allure et du charisme dans l’exercice du pouvoir.

Il avait le trait parfois féroce mais uniquement contre les puissants. En revanche, il détestait les vulgarités de langage, les familiarités déplacées, le laisser-aller.

Il avait de la tenue dans le débat politique et dans ses rapports avec les Français.

 

Huitième leçon, François Mitterrand fut écologiste avant l’heure. (…) à la différence de ceux qui n’y voyaient qu’un sujet périphérique la protection de la nature ou qui s’accrochaient à  une vision dogmatique et productiviste, François Mitterrand avait déjà lui pris la mesure de l’enjeu de civilisation et du potentiel économique des questions écologiques.

 

La neuvième leçon c’est François Mitterrand visionnaire mais lucide. On sait avec quelle détermination inflexible François Mitterrand a relancé la construction d’une Europe qu’il avait trouvé quasi-paralysée.

Je voudrais ici rappeler que sa ferveur européenne n’a jamais aveuglé François Mitterrand et qu’il avait une conscience vive, très vive de ce qui risquait d’advenir si l’Europe échouait à protéger les siens et à peser dans le monde.

 

La dixième leçon de François Mitterrand que je voudrais partager avec vous, je l’ai dit tout à l’heure il y en aurait bien d’autres. Il a bien fallu faire des choix, tout cela n’a pas vocation à être exhaustif, c’est de donner du temps au temps.

François Mitterrand disait que l’Histoire n’est pas toujours au rendez-vous : il lui arrive de prendre son temps, de faire faux bond aux impatients, mais aussi de surprendre ceux qui ne l’attendaient pas. Nulle boussole infaillible en la matière car il faut à la fois, comme il y excellait, savoir laisser le temps au temps sans perdre de vue l’objectif, mais savoir  aussi empoigner l’événement quand il permet d’accélérer le mouvement pour assurer la transformation de ce qui doit l’être pour améliorer la vie quotidienne des français, pour renforcer la force de la France et c’est cela le cœur et la raison de l’action politique."

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 17:00

 

Jean-Louis-Bianco-le-8-mai-2011.jpg

Sur le blog de Jean-Louis BIANCO  -  le 10 mai 2011 :

François Mitterrand

 

Je vous retranscris ci-dessous le discours que j’ai prononcé dimanche dernier à l’occasion de l’UPP de Désirs d’avenir sur la victoire de François Mitterrand en 1981 et en présence de notamment Pierre Bergé, Dominique Bertinotti, Laurianne Deniaud, Charles Fiterman, Yvette Roudy et bien sûr Ségolène Royal.


J’ai eu la chance et l’honneur de travailler aux côtés de François Mitterrand, d’abord comme Secrétaire général de la présidence de la République pendant 9 ans, puis deux ans comme Ministre.

10 mai 1981 : ‘Quelle histoire !’ disait François Mitterrand ce soir-là.

10 mai 1981-8 mai 2011 : Nous vivons une autre époque, le monde a changé. Profondément. Et pourtant… pourtant, ce que nous a dit François Mitterrand demeure incroyablement actuel.

‘Donner du temps au temps’ : L’actualité devient folle. Dans notre système médiatique, il faudrait commenter les évènements heure par heure. Le long terme commence à la fin de la semaine.

Et pourtant, une vie, une famille, un métier, un pays se construisent lentement, jour après jour. À condition d’avoir une vision claire de l’avenir, de la faire partager par tout un peuple, à condition de fixer un cap, alors oui, il faut donner du temps au temps.

Combattre d’urgence toutes les injustices. Redonner du pouvoir d’achat. Sortir de la précarité. Tout cela devra aller vite.

Mais pour le reste… L’insécurité ne se réglera pas par un empilement de lois d’émotion et de circonstance, sans changer en profondeur les comportements et les méthodes. Une vraie réforme des retraites, commençant par rétablir la retraite à 60 ans, demande du temps, afin de parvenir, dans toute la mesure du possible, à un consensus.

Ne laissons personne au bord de la route. Nous vivons la plus grande explosion des inégalités depuis un siècle. L’injustice indécente s’étale sans vergogne. Un petit groupe de super-privilégiés, la bande du Fouquet’s, a mis la France en coupe réglée.

Pour que notre pays reprenne sa marche en avant, nul ne doit être exclu. Il faut mobiliser le potentiel d’idées, de travail, de courage de toute la France. Il faut que chacun puisse espérer un avenir meilleur pour ses enfants. Il faut que la démocratie s’épanouisse à tous les étages : démocratie participative, démocratie décentralisée, démocratie sociale, démocratie parlementaire.
Autrement dit, François Mitterrand encore : ‘Prendre le pouvoir pour le rendre aux citoyens’.

‘Changer la vie’. Oui ! Changer la vie ! Il y a eu tellement de désillusions, il y a tant de souffrances, de désespoirs et de colères. Le monde globalisé de la finance spéculative semble échapper à tout contrôle.

Nous avons raison de ne promettre que ce que nous pourrons tenir. Nous avons raison de dire que la situation de la France en 2012 sera dramatique : un tissu social brisé, la peur de tous contre tous, l’accumulation des dettes et des déficits.

Si nous voulons être entendus, il faut dire la vérité. Mais c’est précisément parce que nous aurons dit la vérité que nous pourrons faire renaître l’espérance.

Oui, la vie n’est pas condamnée à être triste, sans perspective ! Oui, les inégalités peuvent être réduites ! Oui, la France, l’Europe ont encore un rôle, ont encore un avenir !

Comment faire ? Ce sera, évidemment, très difficile. Pour y parvenir, nous devons retrouver la confiance de l’électorat populaire et les forces de la jeunesse. François Mitterrand encore, François Mitterrand toujours.

‘Là où il y a une volonté, il y a un chemin !’

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 16:00

 

Le dimanche 8 mai 2011, Ségolène ROYAL et Désirs d’Avenir organisaient, sous les couleurs de la France, une Université Populaire destinée à tirer les enseignements politiques des combats de François MITTERRAND, deux jours avant le 30e anniversaire du 10 mai 1981.

Dominique BERTINOTTI, maire du 4ème arrondissement de Paris, historienne et mandataire des archives présidentielles de François Mitterrand, a rendu le premier hommage à l’ancien Président : 

 

 

Charles FITERMAN, ministre communiste du premier gouvernement d’union de la gauche de François MITTERRAND : 

 

 

Yvette ROUDY, ministre des Droits de la Femme de 1981-1986 a rappelé le soutien continu de François Mitterrand au combat des femmes : 

 

Jean-Louis BIANCO, secrétaire général de l’Elysée aux côtés de François MITTERRAND 1982 à 1991, a dit la nécessité de retrouver la confiance de l’électorat populaire et les forces de la jeunesse pour pouvoir incarner l’espérance : 

 

 

Lauriane DENIAUD, présidente des jeunes socialistes a rendu hommage à François Mitterrand au nom des générations qui n’étaient pas nées en 1981 (Laurianne Deniaud est en effet née en 1982 ) : 

 

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 12:00

 

Présidentielle : 1er meeting pour Ségolène Royal par BFMTV

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 09:00

 

Ségolène ROYAL rend hommage à François MITTERRAND

et en appelle à la force citoyenne

par l'Equipe de Ségolène ROYAL  -  le 9 mai 2011

 

Sous le drapeau tricolore, Ségolène Royal a rendu un vibrant hommage à François Mitterrand et repris ce dimanche le flambeau républicain en invitant les Français à s’emparer de nos couleurs et à se mettre en mouvement dans une force citoyenne pour le changement.

 

 

Il s’agissait pour cette université populaire de tirer les enseignements politiques des combats de François Mitterrand, deux jours avant le 30e anniversaire du 10 mai 1981. Mais dans la salle surchauffée des Blancs-Manteaux (IVe arrondissement de Paris), le discours de la candidate à la primaire socialiste avait tous les airs d’un meeting de campagne des plus offensifs.
Ségolène Royal arrivée sous les applaudissements avec la chanson de Barbara "Regarde" écrite pour célébrer l’élection de François Mitterrand à l’Elysée, a d’abord renoué avec un thème de sa campagne de 2007 : les valeurs républicaines. Elle a demandé de s’emparer des couleurs bleu-blanc-rouge, car "elles appartiennent à tous", et le Front national ne doit pas s’en attribuer "le monopole".
Les promesses de liberté, égalité, fraternité, ce sont "trois valeurs, trois couleurs dont vous vous êtes emparés et vous avez bien fait", a-t-elle encore dit, devant au moins 900 participants selon les organisateurs, dont certains brandissaient des fanions tricolores ou rouges.
Aux jeunes des quartiers populaires ou issus de l’immigration, elle a assuré : "ce drapeau, c’est aussi le vôtre, soyez en fiers !"  du haut d’une estrade derrière laquelle étaient hissés trois triangles représentant le drapeau français.
En mars 2007, Mme Royal avait suscité la critique en affirmant que, si elle était élue présidente, elle ferait en sorte qu’il y ait un drapeau dans toutes les familles.
Elle s’est ensuite employée à citer quelques-unes des leçons  à retenir de Mitterrand, parmi lesquelles: "répondre à l'espoir", avoir de la  "fidélité à des valeurs", "l’amour de la France", "avoir de la tenue, du courage" ...

Avant d’embrayer sur 2012 : "dans un an, nous devons renouer avec la victoire de la gauche !"

 

Dénonçant le chômage de masse, la précarisation généralisée, les "citoyens qui prennent des coups", elle a réclamé que se "mette en mouvement" partout en France une "force citoyenne", de sorte que 2012 permette de "changer d’époque", sous les ovations de ses supporteurs scandant "Ségolène, présidente !".
Exemple de cette force citoyenne, elle a notamment lancé, aux jeunes victimes de discriminations et qu’on ne veut pas embaucher: "regroupez-vous et créez vous-mêmes votre petite entreprise".

 

"Le vrai successeur de François Mitterrand s’appelle Ségolène Royal", a déclaré l’homme d’affaires et mécène Pierre Bergé, venu s’exprimer à la tribune.
Il faut "faire pousser de nouvelles branches sur l’arbre de la démocratie, dans le droit fil de la victoire de François Mitterrand (…) que nous fêtons aujourd’hui, et c’est tout naturel, autour de Ségolène Royal" a dit Charles Fiterman, un des ministres communistes du gouvernement Mauroy (1981-84).

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