Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Mémoire ...

Recherche

Contact

Archives

Intro

17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 08:00

les-3-singes.jpg14 juillet, intervention de F. Hollande ... Je suis sidéré par le rôle confié à Jospin, chargé de la commission sur la "moralisation" de la vie politique.

Une couleuvre de plus à avaler. Et un affront supplémentaire pour Ségolène Royal. Dans l'affaire de la Rochelle, on sait qui était dans l'ombre ... Quelqu'un qu'on ne peut soupçonner de se complaire dans les cancans, Jean-Louis BIANCO, avait relevé le silence jospinien au moment des faits ...
Il n'aurait plus manqué que Falorni soit intégré à la commission, tiens !!!
Quant au cumul des mandats, ne serait-ce pas encore une arnaque pour faire durer, différer les décisions évidentes ??? 
Quelle que soit la qualité de l'intervention -- et c'est tout de même "normal" à ce poste de responsabilité ... oublions le prédécesseur -- la décision concernant Jospin est selon moi une très grave erreur, une grande déception. Tout le monde ne sera pas d'accord, mais j'ai le droit de le dire, je ne vais pas m'en priver !

 

.

Partager cet article
Repost0
17 juillet 2012 2 17 /07 /juillet /2012 07:00

 

Jospin-ne-se-retirera-plus-jamais.jpg

.

Partager cet article
Repost0
15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 18:00

 

"Dessine-moi le Parti Socialiste"

Gaëtan GORCE, déjà en 2007 !  :


Gaétan Gorce - 4 septembre 2007  par arp

.

Partager cet article
Repost0
15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 08:00

gaetan-gorce---DA44.jpg 

Gaëtan Gorce : "Une motion unique,

c'est empêcher le débat"

Source : 20minutes.fr  -  le 12 juillet 2012

 

INTERVIEW - Le député de la Nièvre, qui dépose une contribution générale avec la conseillère de Paris Juliette Méadel, aimerait changer le fonctionnement du parti...

Quelle est votre réaction à la suite de l’annonce d’une contribution unique de Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault ?
Un peu surpris. Je n’avais pas le sentiment que la situation au PS était à ce point tendue qu’elle nécessitait une intervention de ce niveau. Mais c’est une clarification. Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault disent qu’ils veulent promouvoir la rénovation, très bien, mais je pense que la méthode proposée, qui s’achemine vers une motion unique, est en contradiction avec cet objectif. Encore une fois, c’est mettre la charrue avant les bœufs. Les contributions ont pour vocation à ouvrir le débat et ensuite, on se rassemble autour d’une motion après discussion. En tout cas, il n’est pas question pour nous d’arrêter notre démarche qui est plutôt validée par cette initiative que le contraire.

Y voyez-vous un verrouillage du parti ?
C’est votre interprétation. Si oui, cela donnerait raison à ceux qui, comme nous, veulent ouvrir le débat sur le rôle du parti quand la gauche est au pouvoir, son fonctionnement et sa capacité à porter le débat. On pourrait penser que c’est faire en sorte que le grand débat attendu n’ait pas lieu. Mais ce serait paradoxal par rapport aux ambitions affichées par Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault. Le bon moyen d’aider le gouvernement, et il faut l’aider face à la période difficile qui s’annonce,c’est d’ouvrir le débat, l’organiser. Car on ne peut pas empêcher un débat, il se fera ailleurs, dans les médias par exemple, et ce ne sera pas mieux.

Martine Aubry met en avant le souci du rassemblement …
Je comprends cet argument. On doit avoir le souci de la sagesse. Mais ce serait paradoxal de justifier l’abandon du débat au prétexte que des personnalités pourraient s’en saisir. Ce serait une forme de critique implicite de la manière dont fonctionne le parti, avec cette lutte des courants et cette concurrence des clans permanente. Nous voulons un fonctionnement différent du parti, que les débats ne se traduisent pas par des polémiques publiques mais par des prises de positions démocratiquement tranchées par des militants. On ne peut pas demander l’unanimisme, la politique ce n’est pas ça. Mais là, on est dans un système qui favorise des rentes de situation d’hommes et de femmes qui ont perdu leur influence acquise au congrès de Reims dont personne ne veut se souvenir. Et quel sens aurait une motion unique pour les militants? Ils n’auraient qu’à la ratifier? Ce serait démobilisateur pour eux.

Pensez-vous qu’il s’agit d’un pas de plus d’Aubry vers un nouveau mandat ?
On peut naturellement se poser la question. Mais là, on est plus dans de la «kremlinologie», où l’on en est à étudier les photographies, pour voir qui y est ou pas, qui est dans le couloir, etc. Il faut un fonctionnement clair et se débarrasser de cette culture. La vraie question c’est : est-ce que le PS peut fonctionner normalement quand le PS est au pouvoir? La réponse qu’on a tendance à nous donner, c’est non. Et ça ne correspond pas au temps présent où nous sommes sous le contrôle permanent de l’opinion. Il faut rester solidaire bien sûr et nous ne voulons pas gêner le gouvernement mais l’aider. Mais nous sommes convaincus qu’aider le gouvernement, c’est être franc : ne pas dire ce qu’il veut entendre mais ce qu’il doit entendre pour son bien.

Que proposez-vous ?
On part d’un constat: les citoyens se sont éloignés de la politique en raison du fonctionnement des partis politiques. On veut rapprocher le PS des catégories populaires, prendre en compte les sympathisants, ceux qui se sont exprimés à la primaire et qui n’ont jamais été recontactés. Nous prônons aussi une direction collégiale, un binôme paritaire pour le poste de Premier secrétaire et tous les autres postes de direction. Nous voulons combattre toutes les formes de cooptation pour que les militants aient le choix final et réduire l’influence des courants.

Irez-vous jusqu’à la motion ?

On n’a encore rien décidé. On peut prendre Martine Aubry au mot sur le plan de la rénovation. Nous allons voir quelles propositions elle fait et nous allons soumettre les nôtres. Nous verrons bien. Mais une motion unique, c’est empêcher le débat. La méthode proposée, sans doute pleine de bonnes intentions, n’est pas la bonne. Nous voulons faire comprendre à nos chefs que la bonne solution, c’est le débat, la confrontation des points de vues, tranchés dans la clarté et pas par des arrangements entre des chefs qui n’ont plus de troupes. Les socialistes peuvent faire mieux et méritent mieux. Nous devons rester à l’avant-garde d’un parti démocratique, suivre le chemin ouvert par les primaires.

On aurait désigné notre candidat à la présidentielle par des primaires et on désignerait notre chef du parti par un échange de platitudes, dans une quasi unanimité ?

.

Partager cet article
Repost0
15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 07:00

soldats-au-garde-a-vous.jpg 

La gauche du PS fait fi du texte unique

Source : LIBERATION.FR  -  le 11 juillet 2012

 

Emmené par Benoît Hamon, le courant "Un monde d’avance" défend son droit de débattre. 

Vingt-deux députés, une sénatrice et… un ministre : le courant «Un monde d’avance» (UMA) copiloté par Benoît Hamon s’est retrouvé comme tous les autres devant le fait accompli mardi soir.

Mais selon nos informations, le héraut de l’aile gauche du PS, qui a petit-déjeuné hier matin avec Jean-Christophe Cambadélis dans un café près de l’Assemblée, a pris sa décision : il signera bien une contribution générale au nom du débat d’idées. Sans que cela ne donne, selon lui, un coup de canif dans la solidarité gouvernementale. «Un cabinet ministériel n’est pas une blanchisseuse idéologique que je sache ?» s’insurge Razzy Hammadi, député de Seine-Saint-Denis. 

«Si on a un congrès, c’est pour débattre du fond !» abonde la sénatrice Marie-Noëlle Lienemann, qui plaide pour aller jusqu’à la motion, en septembre, mais recommande de ne pas présenter de candidat au poste de premier secrétaire. Benoît Hamon, lui, ne devrait pas a priori franchir le cap des «motions». La seule question qui se pose encore avant le conseil national de mercredi, où doivent être déposés les textes, est de savoir s’il sera le «premier signataire» de ce texte. «Ce n’est peut-être pas opportun», reconnaît le socialiste Pascal Cherki.

 

Depuis que François Hollande est au pouvoir, pas mal de décisions restent en travers de la gorge de la gauche du PS, comme le coup de pouce a minima du Smic ou la réduction des dépenses publiques à marche forcée. Alors une contribution, ça ne mange pas de pain et ça permet de rappeler qu’on existe, notamment sur l’Europe (statut de la BCE ou eurobonds) ou la compétitivité. Pour Cherki, «ce sont des questions lourdes qu’on ne peut pas laisser trancher par des technos».

.

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2012 6 14 /07 /juillet /2012 09:00

Gaëtan Gorce - France3 Bourgogne

 

Gaëtan Gorce dénonce

la fermeture du débat au PS

Source : bourgogne.france3.fr

le 11 juillet 2012 

 

Le sénateur PS de la Nièvre, candidat au poste de premier secrétaire, critique Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault. Gaëtan Gorce a confirmé mercredi 11 juillet 2012 qu'il déposerait une contribution lors du Conseil national du 18 juillet, malgré l'appel de Jean-Marc Ayrault et Martine Aubry en faveur d'une contribution unique.

Le dépôt de contributions est la première phase de la préparation du congrès du PS. Les différentes sensibilités du parti ont jusqu'au 18 juillet, date du conseil national du parti, pour déposer la leur.

Théoriquement, le congrès d'octobre doit permettre l'élection d'un nouveau premier secrétaire, mais l'incertitude demeure sur les intentions de Martine Aubry. Durant la campagne des législatives, la numéro un du PS a assuré qu'elle quitterait ses fonctions et que son rôle était de préparer le congrès. Mais, depuis que François Hollande lui a préféré Jean-Marc Ayrault pour Matignon, la maire de Lille s'est montrée plus évasive.

Pour un membre du PS, Martine Aubry "fait un pas de plus" vers un nouveau mandat à la tête du parti. En tous cas, "c'est de mémoire la première fois qu'on demande aux ministres et aux dirigeants du PS de signer exclusivement une contribution", a-t-il dit à l'AFP soulignant que cette initiative avait "surpris tout le monde". 

Les mois à venir promettent d'être délicats.

L'objectif de cette contribution unique demandée par Martine Aubry et Jean-Marc Ayrault est d'assurer l'union et d'apporter un soutien au gouvernement. Cela s'annonce d'autant plus nécessaire que les mois à venir promettent d'être délicats, compte tenu des efforts réclamés aux Français. Il s'agit ainsi de circonscrire le plus possible les critiques qui pourraient apparaître, notamment du côté de l'aile gauche du parti. Mais, certains y voient une sorte de verrouillage du parti.

 

Réaction de Gaëtan GORCE sur Twitter :

"Communiqué Aubry -Ayrault où comment fermer un débat qui n'est pas encore ouvert ?"


"La démarche de Martine Aubry et de Jean-Marc Ayrault proposant une motion unique se justifie pour les membres du gouvernement en cette période de démarrage du quinquennat", mais pas pour "tous les autres militants et élus", écrit Gaëtan Gorce dans un communiqué.

"Le meilleur soutien que puisse apporter le PS au gouvernement, à moyen et long terme, est de permettre le débat avec tous les militants, et au-delà avec tous les citoyens qui le souhaitent", ajoute le sénateur de la Nièvre. Il cosigne le communiqué avec celle qu'il a choisie pour présenter aux militants un ticket, la conseillère municipale de Paris Juliette Méadel.

Leur initiative intitulée "Dessine-moi un parti" "poursuit sa démarche et déposera une contribution générale le 17 juillet", concluent-ils.

.

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2012 6 14 /07 /juillet /2012 08:00

gaëtan gorce et juliette méadel

        Gaëtan GORCE               Juliette MEADEL

 

Pourquoi la candidature de Gaëtan Gorce

est une chance pour le Parti Socialiste

paru sur L'EXPRESS.fr  -  le 24 juin 2012   -  extrait

 

... le Parti Socialiste de 2008, celui de Reims et des bourrages d'urnes, celui des barons et de la démocratie bafoué est encore là, toujours vivant. Non le PS n'est pas devenu un parti transparent et ouvert, ou chacun a la parole et où cette dernière est respectée.

Le chemin à faire de ce point de vue est extrêmement long, certes, mais on ne pourra avancer que si l'on commence un jour. Il faudra ouvrir le parti à la société afin de sortir de l'absolue sécurité idéologique que permet l'entre-soi, également responsable de la distance toujours grande entre le PS et la société. Si les primaires ont été un grand pas en avant qui a permis de légitimer la candidature socialiste, elles n'ont pas à elles seules réussi à combler le fossé qui sépare un parti essentiellement constitué d'élus et des fonctionnaires qui travaillent pour ces derniers. 

Face à toutes ces questions, Gaëtan Gorce peut aujourd'hui opposer une vraie réflexion, un réalisme si fort qu'il en semble parfois violent, une lucidité qui nous manque cruellement. Il n'est certes pas le meilleur politiquement pour remporter cette bataille, lui qui n'a jamais été l'homme des réseaux, mais sa candidature est une chance pour ce grand corps malade qu'est le Parti Socialiste, aujourd'hui anesthésié par l'ivresse du pouvoir.

 

La candidature de Gorce est une chance pour Solférino, peut-être la seule chance de voir la réalité enfin pénétrer les murs de la citadelle.

.

Partager cet article
Repost0
9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 12:00

 

Oui, beaucoup sont frustrés. Peut-être pas parmi ceux que la situation présente arrange bien, mais parmi les militants qui veulent que les choses bougent véritablement au PS. J'en fait partie, ce qui explique amplement ma présence à la réunion du collectif "Dessine-moi un parti" organisée le samedi 7 juillet par Gaëtan GORCE et Juliette MEADEL, le ticket-candidat pour le prochain Congrès.

Gaetan-Gorce-et-Juliette-Meadel---7-juillet-2012---2.jpg 

Ils ont tout, et pourtant... : le blues des socialistes

Source : Rue89.com  -  le 7 juillet 2012

 

Autour du projet "Dessine-moi un parti", des militants socialistes se sont réunis au Sénat samedi pour préparer le congrès socialiste d’octobre.

Avoir tous les pouvoirs mais se sentir très vulnérable. Et étouffer d’insatisfaction. C’est la drôle de sensation qui habite nombre de militants socialistes. Pendant un an et demi, ils se sont tus. Tendus vers la réussite des élections cantonales, puis des sénatoriales, de la primaire, de la présidentielle et des législatives. Maintenant que tout est gagné, ils peuvent se lâcher.

Près de 80 d’entre eux étaient réunis ce samedi matin au Sénat. De tous âges. Des hommmes franciliens pour la plupart. Parmi eux, beaucoup d’ex-Royalistes et quelques anciens de clubs rénovateurs comme Nouvelle voix ou Ré-Génération. 

"Parti godillot"

Tous s’impliquent dans le projet "Dessine-moi un parti" : ils sont là pour élaborer une contribution "participative" (ce n’est pas la seule) en vue du congrès socialiste qui aura lieu fin octobre à Toulouse.

Les deux initiateurs – Gaëtan Gorce, sénateur de la Nièvre, et Juliette Méadel, conseillère municipale à Paris – briguent en duo le premier secrétariat du PS, pour contrer le ticket formé par Jean-Christophe Cambadélis et Harlem Désir. Une affiche, qui, ici, désespère tout le monde ("Est-ce que monsieur Harlem Désir a des idées ?")

 

Assis dans des fauteuils bleus, face à un portrait de François Mitterrand, les participants sont donc venus rêver ensemble à un PS qui ne soit pas "un parti godillot", "réduit à répéter ce que dit le gouvernement, comme dans les années 1980", qui puisse "être le réceptacle de ce qui se passe dans la société et s’en faire l’écho". 

Un PS « néocolonialiste »

Mais au micro, pendant deux heures, c’est un défilé de frustrations. Tout y passe :

  • l’état-major de Solférino qui "ne fait que de la com"
  • "la pauvreté des débats" dans les sections où prévaut "un regard sur la société caricatural, simpliste et condescendant"
  • l’incapacité du parti à attirer de nouveaux membres
  • l’absence de "diversité sociale" en ses rangs et la "coupure" avec les chômeurs, les ouvriers, les travailleurs indépendants – "On ne représente qu’une partie très réduite de la société", insiste Marc
  • le fait de ne pas être au cœur de la "vie réelle" – "Quels partis appuient les luttes ? A PSA Aulnay-sous-Bois, c’est Lutte Ouvrière, à travers un délégué CGT", regrette Richard.

Pour eux, comme dirait Ségolène Royal, "tout est lié" : un petit nombre d’élus noyaute le parti ; ils sont préoccupés par la conservation de leur pouvoir ; toute la vie du parti est donc tournée vers les échéances électorales à venir ; le parti ne prend pas le temps de réfléchir à son rôle dans la société.

Une autre critique revient avec insistance : la façon "néocolonialiste" dont le PS aurait traité la question de la diversité.

Quand ils ont fini de s’exprimer, René, Odile, Daniel, Jules, Gilles, Farid, Hervé, Fabio, Bertrand, Philippe, Nicolas, Albert et les autres semblent soulagés d’avoir trouvé un lieu "où on dit vraiment les choses, où on met les pieds dans le plat, sans ces apparatchiks qui parlent beaucoup mais ne disent rien".

Des codirections homme-femme partout ?

Quelques pistes sont lancées pour rénover "la vieille maison" :

- supprimer les courants, "clé" de répartition à partir de laquelle tous les postes sont distribués partout où règne le PS ;
- instaurer "une gouvernance bottom-up" [qui part des propositions de la base, ndlr] ;
- organiser les débats et désigner les candidats aux élections sur une base régionale, pour court-circuiter les barons départementaux
- étendre le principe de la primaire à d’autres désignations que le candidat à la présidentielle
- instaurer des codirections homme-femme à la tête de chaque section, chaque fédération...
- "cesser de fonctionner en suivant des valeurs que l’on dénonce : l’hyperlibéralisme, la concurrence, le rapport de force"
- "reprendre le travail intellectuel"

- réserver une vraie place aux sympathisants : "Ce n’est pas parce qu’on n’est pas physiquement présent dans les réunions qu’on n’a pas envie de s’impliquer sur un sujet."

Il leur reste quelques jours pour travailler en ligne (les contributions doivent être déposées le 18 juillet). Ils comptent ensuite faire parler d’eux à La Rochelle où se tiennent, fin août, les universités d’été du parti.

Ils sont conscients de la difficulté de leur entreprise. Ils savent aussi qu’ils reprennent à leur compte des combats anciens. Yves, un vieux militant, se souvient :

"Dans le fond, en 1984, Ségolène Royal, François Hollande et leurs amis énonçaient déjà toutes ces idées-là".

Il ajoute : "Là, je sens que c’est mûr."

.

Partager cet article
Repost0
9 juillet 2012 1 09 /07 /juillet /2012 09:00

 

Voyez la configuration actuelle des assemblées de sections, le peu de diversité sociale, les âges, le nombre minuscule d'ouvriers présents, la faiblesse du nombre de femmes à qui on a "octroyé" des responsabilités, regardez ce que donne concrètement la parité, inscrite dans la déclaration de principes du PS (dans le Nord, seulement deux femmes députées sur les 21 circonscriptions !), et vous comprendrez le vaste chantier à mener. Mais qui veut réellement faire bouger ?
Moi par exemple, en accompagnant Gaëtan GORCE (qui depuis des années se bat pour une rénovation au delà du ravalement de façade !) et Juliette MEADEL ! 

Contribution-GG-JM---un-parti-moderne-et-ethique.jpg

.

Partager cet article
Repost0
8 juillet 2012 7 08 /07 /juillet /2012 19:00

 

logo complet Dessine-moi un parti

 

Ayant participé à la réunion de "Dessine-moi un parti" le samedi 7 juillet au Sénat, en présence de Gaëtan GORCE et Juliette MEADEL, je reprends ici le début du projet de contribution ... qui a le mérite de poser dès le départ le problème ! 

 

Contribution-GG-JM---l-intro.jpg

.

Partager cet article
Repost0

Articles RÉCents

Européennes 2009


...

Ma sélection musicale

Musique à la demande